[Concours] Fiel Embrasé.*

Cette odeur ? … Celle du sang… Ce sentiment ? … Celui de l’affliction… Et ce froid…

Voilà les sensations de ma première émergence dans ce souffle perturbé des vents magiques de cet instant. La vision commençait à me venir peu à peu, les détails m’apparaissaient de plus en plus net et finalement, quand celle ci fut limpide, je pus remarquer un jeune corps bleui par le froid et parsemé de quelques petites marques sombre. Bien qu'il soit éventré, aucunes taches de sang ne venaient souiller cette neige recouvrant ce sol, l’enfant semblait avoir été vidé de son sang.

Ces bras qui se tendent… Les miens ? Non…

Ces membres qui n’étaient pas encore les miens commencèrent à se saisir de ce corps froid et rigide. C’est au moment où les bras l’enlacèrent que la vision se troubla, inondée de larmes.

Etait ce… son fils ?

Puis, regardant dans le vague, nous pouvions apercevoir des traces de pas menant vers une sombre et lugubre bâtisse.

Eventré… Exsanguiné… Et ces marques… Des morsures ? Et cette maison qui semble abandonnée… Serait-ce l’oeuvre d’un vampire ? Ho… Voilà qui est l’occasion rêvée… Vas-y… Venge-toi… VENGE-TOI !

C’est alors qu’il commença à se lever et que l’envie de vengeance l’inonda. C’est à ce moment-là que je pus réaliser que je pouvais l’influencer, que je pouvais gagner du terrain, et finalement… Que je pouvais le dominer...

Le rouge… CE rouge… Celui du sang… Celui de la haine… Celui de l’Aqshy… Il commence à l’entourer, à m’entourer…

Les énergies commencèrent à se condenser, la perturbation magique devenait toujours plus instable et cette haine… Elle émergeait enfin...

Vas-y, brûle, brûle, BRÛLE !

Les flammes commencèrent à jaillir de ces mains, le bâtiment était en proie au feu, et la haine montait de plus en plus. Mon influence était grandissante.

Vas-y ! Continue ! Encore un peu et je pourrai enfin agir à ma guise !

La chaleur m’atteignait toujours plus à chaque instant, le crépitement des flammes commençait même à me parvenir, j’y étais presque...

Arrête ! Je t’en prie !

A cet instant son regard se tourna dans la direction d’où provenait cette voix qui domina tout. Nous pouvions voir une femme, vêtue d’une armure de cuir sombre, elle portait à sa taille un pieu d’aubépine ainsi qu’une rapière marquée de quelques symboles kislévites.

Pourquoi t’arrêtes-tu ?! Ne l’écoute pas ! Tout le reste, ainsi que moi même, venions d’être occulté.

Cette femme… Sa femme... Elle venait de tout faire échouer… Ce sentiment… Son sentiment… Quelle horreur. Je commençais à perdre pied, toutes ces sensations que je venais d’acquérir s’estompaient une à une.

Le silence… Non pas ce silence !

Ce silence imposé dura près d’une année, mais de nouvelles perturbations magiques, bien plus puissantes qu’auparavant, me firent resurgir…

Cette odeur ? … Celle de la chair brûlée… Ce sentiment ?… Celui de la peur… Et cette fatigue…

Cette fois-là, l’ouie put m’atteindre bien avant que la vision ne me parvienne. Les premiers sons que je pus percevoir furent les plus sourd et les plus arriérés, ceux provenant de fortes détonations comparables à celles des tirs de canons. Puis, plus proches, de plus brèves et plus rapides séries d’explosions provenant des cotés et entrecoupées de divers ordres de mise à feu pouvaient se faire entendre, celles des tirs d’arquebuses. Et enfin, les bruits les plus aigus me firent face, ceux des boucliers qui s’entrechoquent et des lames qui s’entrecroisent…

Ces notes… Je reconnais bien là celles de la guerre… La bataille semble se rapprocher… Perdent ils du terrain face à cette puissance ? Qui peuvent-ils être ?

C’est sur cette interrogation qu’un cri déchirant traversa le fond sonore. Concentré à la récupération de cette vision perdue, ce hurlement, tel un catalyseur, focalisa ma puissance sur cette plainte et son origine ce qui me permit de discerner quelques ombres…

Ma vision… Enfin ! Mais il me faut agir… Et vite ! Si je ne veux périr je dois absolument prendre le contrôle ! Ce cloporte de bon à rien, se faire avoir par une femme… Il succombera bien vite quand les défenses lâcheront face à cette déferlante…

Récupérant peu à peu la vue, je pouvais commencer à discerner le ciel, celui de l’aurore. Il était parsemé de grandes colonnes sombres provenant des nombreux brasiers nous entourant. Ce détachant de celui ci, je pus apercevoir des bannières, de très nombreuse bannières, les vôtres… Ces étoiles à huit branches dont certaines incrustées en leur centre de cet œil, bleu. Puis baissant le regard je pus voir l’immensité de votre armée, venant de tous cotés, celle ci était impressionnante face aux défenses de cette ville. Cette vision me réconforta au plus haut point, savoir que vous étiez là, que je pouvais vous rejoindre, me permit d’accroître mes prises afin d’écraser cet avorton.

Regarde moi cette armée… N’est t’elle pas terrifiante ?! Bientôt elle vous aura écrasé et cette ville ne sera plus que cendres ! Laisse moi prendre le contrôle… Laisse moi te sauver… Nous sauver… Me sauver…

Je pouvais sentir sa peur, sa crainte, peu à peu il perdait du terrain me permettant ainsi de l’influencer de façon plus intense. Ses sorts devenaient plus puissant, plus meurtrier hélas je ne pouvais encore contrôler ses cibles, mais son efficacité était grandissante. Toutefois l’apparition de diverses brèches dans les rangs humains en firent paniquer, les troupes devenaient de plus en plus désorganisées. La précision des sortilèges de mon hôte paniquant lui aussi devenaient plus incertaine, ses erreurs étaient plus nombreuses, je commençais à le submerger. Mais ma joie fut des plus totale lorsqu’il commença à blesser plusieurs combattants kislévites, les autres mages, ses collègues déjà intrigués par sa montée en puissance tentèrent de le raisonner, de le stopper dans sa folie, mais rien n’y faisait, il tombait sous mon contrôle. C’est à l’instant où leur armée céda sous votre pression que mon destin fut décidé, pour survivre je devais tout tenter.

Pense à ton fils ! Que dirait il si tu meurs maintenant ! Veut il que tu abandonne sans l’avoir vengé ?!

Cela venait de marcher, sa haine… Ma haine… Elles l’envahissaient… Il ne pouvait plus me contenir, personne ne pouvait le sauver cette fois ci, il dut lâcher prise et me laisser prendre le dessus. Toute ma frustration accompagnée de cet instabilité magique se libéra d’un seul coup dans une formidable explosion de feu ravageant tout autour de moi. Achevant ceux que je venais de blesser, je pus prouver ma loyauté envers vous. Votre attaque surprise fut une réussite totale, je pus enfin vous rejoindre et la ville fut ravagée.

Candidature enregistrée.

Merci à toi

Bon ben la je vous laisse critiquer mon texte ^^ je vais tout de meme pas en dire du mal

Aki Ne'Dolo a écrit:

Cette odeur ?… celle du sang…, ce sentiment ?… celui de l’affliction… et ce froid…

Bon, là il y a un un usage immodéré de points de suspension, mais pas forcément à bon escient. Les points de suspension sont là pour représenter le temps de réflexion, c'est très bien, mais les points de suspension restent des points et donc ne sont pas exempts de respecter les règles élémentaires de la ponctuation.

Un point d'exclamation juste avant ou juste après des points de suspension ? Non ! Choisis l'un ou l'autre, mais ne met pas les deux. Même chose pour la virgule. La virgule marque une pose, les points de suspension aussi. Il y a donc redondance inutile. De même, les points de suspension signalent la fin d'une phrase (inachevée ou non, c'est une fin), il doit donc y avoir une majuscule au mot qui les suit.

Citation :

Malgré qu’il soit éventré,[/i]

En français, "malgré que" est une hérésie. C'est un abus de langage que l'on fait souvent à l'oral, mais en aucun cas il ne doit apparaître à l'écrit (tant que ça n'a pas été approuvé par les vieillards gâteux de l'Académie Française). "Malgré" est en effet toujours suivi d'un substantif (mot qui a la fonction d'un nom). Le synonyme de "malgré" est "bien que", qui, quant à lui, n'est pas soumis à cette obligation.

Donc la formulation correcte est soit "malgré son éventrement", soit "bien qu'il soit éventré". J'aurais une préférence pour la seconde option.

Citation :

Serait ce l’Oeuvre d’un vampire ? Ho… Voilà qui est l’occasion rêvée… Vas y… venge toi… VENGE TOI !

Oubli de tirets. "Serait-ce", "vas-y", "venge-toi". Et pourquoi "oeuvre" prend-il une majuscule ? Il n'y en a guère besoin.

Plus loin dans le texte, à chaque fois qu'il y a "vas-y", tu as aussi oublié les tirets.

Citation :

C’est à ce moment-là

Citation :

et finalement…que je pouvais le dominer...

Oubli d'un espace après les premiers points de suspension.

Citation :

Vas y, Brûle, Brûle, Brûle !

Oubli d'un tiret, mais aussi : pourquoi une majuscule à "brûle" ? On met une majuscule au milieu d'une phrase pour signifier que c'est un nom propre, pas pour donner de l'importance au mot, sinon on l'écrit en gras ou entièrement en lettres capitales, pas seulement la première lettre.

Citation :

Les flammes commencèrent à jaillir de ses mains,

D'après le contexte, j'ai pensé que "ses", possessif, était plus judicieux que "ces", qui est un démonstratif.

Citation :

Vas y ! Continu ! Encore un peu et je pourrais enfin agir à ma guise !

Encore un tiret oublié dans "vas-y". "Continuer" à la première personne de l'impératif s'écrit "continue", et non "continu" qui est un adjectif. "Je pourrai", sans "s", car à mon avis c'est un futur que tu as voulu mettre au lieu d'un conditionnel.

Citation :

quelques symboles Kislev.

J'imagine que tu as voulu dire "quelques symboles kislévites".

Citation :

Pourquoi t’arrête tu ?! Ne l’écoute pas !

Il manque un "s" et un tiret à "t'arrêtes-tu". Le point d'exclamation après le point d'interrogation est contingent, à ta place je l'enlèverai.

Citation :

Ce silence imposé dura près d’une année, mais de nouvelles perturbations magiques, bien plus puissantes qu’auparavant, me firent resurgir…[/i]

Citation :

Cette odeur ?… Celle de la chair brûlée… Ce sentiment ?… Celui de la peur… et cette fatigue…

Même remarque concernant les points de suspension qui décidément violent toutes les lois de la ponctuation.

Citation :

Cette fois-là, l’ouie put m’atteindre bien avant que la vision ne me parvienne. Les premiers sons que je pus percevoir furent les plus sourd et les plus arriérés, ceux provenant de fortes détonations comparables à celles des tirs de canons.

Citation :

Puis, de façon plus proches,

Je ne comprend pas pourquoi tu te compliques : "plus proches" aurait suffit.

Citation :

de plus brèves et plus rapides séries d’explosions provenant des cotés et entrecoupées de diverses ordres de mise à feu pouvaient se faire entendre, celles des tirs d’arquebuses. Et enfin, les bruits les plus aigüs me firent face, ceux des boucliers qui s’entrechoquent et des lames qui s’entrecroisent…

Citation :

Qui peuvent- ils être ?

Décidément tu n'aimes pas les tirets.

Citation :

cette vision perdue, ce hurlement, tel un catalyseur, focalisa ma puissance sur cette plainte et son origine me permettant ainsi de discerner quelques ombres…

"Et son origine me permit", ou "son origine me permettant", mais pas un mix des deux !

Citation :

Ce cloporte de bon à rien, se faire avoir par une femme… Il succombera bien vite quand les défenses lâcheront face à cette déferlante…

Citation :

Se détachant de celui-ci, je pus apercevoir des bannières, de très nombreuse bannières, les vôtres… Ces étoiles à huit branches dont certaines incrustées en leur centre de cet œil, bleu. Puis baissant le regard je pus voir l’immensité de votre armée, venant de tous cotés, celle-ci était impressionnante face aux défenses de cette ville. Cette vision me réconforta au plus haut point, savoir que vous étiez là, que je pouvais vous rejoindre, me permit d’accroître mes prises afin d’écraser cet avorton.[/i]

Regarde moi cette armée… N’est-elle pas terrifiante ? Bientôt elle vous aura écrasé et cette ville ne sera plus que cendres ! Laisse moi prendre le contrôle… laisse-moi te sauver… nous sauver… me sauver…

Je pouvais sentir sa peur, sa crainte, peu à peu il perdait du terrain me permettant ainsi de l’influencer de façon plus intense. Ses sorts devenaient plus puissants, plus meurtriers hélas je ne pouvais encore contrôler ses cibles, mais son efficacité était grandissante. Toutefois l’apparition de diverses brèches dans les rangs humains en firent paniquer, les troupes devenaient de plus en plus désorganisées. La précision des sortilèges de mon hôte paniquant lui aussi devenaient plus incertaine, ses erreurs étaient plus nombreuses, je commençais à le submerger. Mais ma joie fut des plus totales lorsqu’il commença à blesser plusieurs combattants kislévites, les autres mages, ses collègues déjà intrigués par sa montée en puissance tentèrent de le raisonner, de le stopper dans sa folie, mais rien n’y faisait, il tombait sous mon contr[color:a9f7=red:a9f7]ôle. C’est à l’instant où leur armée céda sous votre pression que mon destin fut [color]décidé, pour survivre je devais tout tenter.

J'ai corrigé en rouge tes fautes. "Décisif" est une erreur dans ta dernière phrase, je l'ai remplacé par "décidé", car je pense que c'est le sens que tu voulais lui donner. Une lame peut être incisive, mais la peau est incisée.

Citation :

Pense à ton fils ! Que dirait il si tu meurs maintenant ! Veut- il que tu abandonne sans l’avoir vengé ?!

Cela venait de marcher, sa haine… Ma haine l’envahissait, il ne pouvait plus me contenir, personne ne pouvait le sauver cette fois-ci, il dut lâcher prise et me laisser prendre le dessus. Toute ma frustration accompagnée de cet instabilité magique se libéra d’un seul coup dans une formidable explosion de feu ravageant tout autour de moi. Achevant ceux que je venais de blesser, je pus prouver ma loyauté envers vous. Votre attaque surprise fut une réussite totale, je pus enfin vous rejoindre et la ville fut ravagée.

Gérikhan Zakayev - Ancien mage flamboyant - présent lors de la bataille de Zhêdevka sous les ordres du Maréchal Neiber - 2521.

Voilà, sinon beau texte, bien prenant.

Comme je l’avais déjà dit a je sais plus qui, c’est une des premières fois où je me lance dans un texte de ce style donc s’il y a quelques erreurs de style c’est peut être un peu logique ^^

J’ai aussi une petite précision à faire, ce qui est en écriture normale c’est ce que le personnage principal a pensé au moment de son emergencies, ce qui est en italique c’est ce qu’il raconte après coup.

Citation :

Cette odeur ?… celle du sang…, ce sentiment ?… celui de l’affliction… et ce froid…

Donc la c’est ce qu’il a pensé sur l’instant, j’ai voulu marquer les temps de pause tout en gardant la ponctuation pour marquer les interrogations. J’aurais peut être du espacer les points de suspensions des points d’interrogations. Pour ce qui est de la virgule c’est juste que j’ai oublié de l’enlever après une modification de cette partie. Les majuscules, la aussi c’est un oubli pour la même raison car pour d’autre moment du texte je ne les ai pas oublié. J’aurais peut être du écrire cette partie comme ça :

Citation :

Cette odeur ? … Celle du sang… Ce sentiment ? … Celui de l’affliction… Et ce froid…

Citation :

Malgré qu’il soit éventré

Bon ben vu que je l’utilise quand je parle je me suis dit que c’était la bonne formulation ^^ mais bon c’est pas une catastrophe, je pense que tout le monde a compris le plus important. Mais sinon merci pour la précision, ça m’évitera de faire la même erreur et puis c’est vrai que ta deuxième formulation est beaucoup moins lourde, plus agréable. Donc j’écrirais ça :

Citation :

Bien qu'il soit éventré

Citation :

Serait ce l’Oeuvre d’un vampire ? Ho… Voilà qui est l’occasion rêvée… Vas y… venge toi… VENGE TOI !

Heu… Non, les tirets ne m’ont jamais traumatisé, pourquoi ? xD Je ferais gaffe maintenant, promis ^^. ( la j’ai oublié une majuscule mais sinon j’ai fait plutôt gaffe à ce moment :p)
Sinon pour la majuscule à œuvre, c’était pour marquer que le personnage principal était plutôt content de ça, qu’il aimait bien, et qu’il trouvait ça beau (et utile). J’ai voulu montrer ce qui était important pour lui, c’était peut être pas comme ça que j’aurais du faire mais bon c’est tout ce que j’ai trouvé sur le moment. (oui il est un peu dérangé mais bon il est chaotique en même temps ^^). J’aurais peut être du faire comme ça mais bon sans la majuscule à œuvre je trouve que ça perd de l’intérêt par rapport à ce que je voulais retranscrire.

Citation :

Serait ce l’oeuvre d’un vampire ? Ho… Voilà qui est l’occasion rêvée… Vas-y… Venge-toi… VENGE-TOI !

Citation :

C’est à ce moment-là

Ouais la j’ai un peu merdé, je sais pas pourquoi en plus, enfin bon c’est impardonnable xD

Citation :

Vas y, Brûle, Brûle, Brûle !

Oui, la aussi j’ai voulu montrer l’importance que ce mot avait pour lui, j’ai pensé que la majuscule était appropriée vu que je l’ai déjà vu dans d’autres textes (qui ne sont pas de moi, mais de personnes qui sont plus expérimenté dans l’écriture). Encore désolé si ce n’est pas un bonne usage des règles de l’écriture.

Citation :

Les flammes commencèrent à jaillir de ses mains,

Haaa… Merci de me faire plaisir… Hum… Pardon…

Désolé mais le « ces » était fait exprès. A ce moment-là (j’ai fait gaffe :p) le mage flamboyant perd le contrôle donc ce ne sont plus ses mains, toutefois ce ne sont pas encore celles du chaotique qui apparaît. J’ai donc voulu marquer la perte, d’un coté, et la prise, de l’autre, du contrôle, tout en étant dans une transition de phase (merde j’ai trop fait de thermodynamique -_-‘). Donc si tu m’enlève ça, ce passage n’a plus trop d’intérêt ^^. Donc c’est bien :

Citation :

Les flammes commencèrent à jaillir de ces mains

Citation :

quelques symboles Kislev.

En fait j’ai regardé sur Internet et j’ai vu les deux et donc j’ai utilisé Kislev. Kislevites j’aime pas, ça fait trop jeu de mot xD

Citation :

Pourquoi t’arrête tu ?! Ne l’écoute pas !

Mal cliqué pour le s :s. Pour le « ?! », comme il s’agit des pensés qu’il a eu sur le moment, j’ai pensé que ça aurait bien rendu en faisant comme dans les BD xD, une interrogation mêlée d’un étonnement :p

Citation :

Regarde moi cette armée… N’est-elle pas terrifiante !

En fait j'ai oublié un ? devant le ! je voulais faire aussi une interrogation mais cette fois mélée d'un enthousiasme face à cette armée ^^.

Citation :

Cette odeur ?… Celle de la chair brûlée… Ce sentiment ?… Celui de la peur… et cette fatigue…

Même explication qu’au début ^^.

Citation :

Puis, de façon plus proches,

C’est vrai que je me suis compliqué ^^

Citation :

cette vision perdue, ce hurlement, tel un catalyseur, focalisa ma puissance sur cette plainte et son origine me permettant ainsi de discerner quelques ombres…

Heu… Je vois pas ce que tu as voulu corriger, je n’ai fait aucun mixe, j’ai écrit exactement ce qu’il y a en rouge.

Mauldred a écrit:

"Décisif" est une erreur dans ta dernière phrase, je l'ai remplacé par "décidé", car je pense que c'est le sens que tu voulais lui donner. Une lame peut être incisive, mais la peau est incisée.

Oui tu as eu raison ^^ c’est bien comme ça que je le voyais :p encore une erreur que j’aurais pu corriger en faisant une bonne relecture .

Citation :

Cela venait de marcher, sa haine… Ma haine l’envahissait

Non, c’est bien « aient », car il y a deux sujets, « sa haine » et « ma haine ».

Sinon pour toutes les autres fautes que tu as vu et sur lesquelles je n’ai rien dit sont, bien sur, impardonnables ^^. Je me demande comment j’ai pu les laisser apparaître :p j’aurais du mieux relire.

Merci de m’avoir corrigé, toutefois quand je demandais des critiques c’était sur le style d’écriture, l’ambiance, l’histoire, pas sur l’orthographe, la grammaire ou la bonne façon d’écrire, surtout quand on voit que plus de la moitié des textes finalistes ont du langage Ork. Pour moi tes remarques ne sont pas des plus pertinentes surtout de façon aussi flagrante, ça fait un peu trop martelé ^^, j’ai pris des risques mais bon ça n’a pas payé :p


P.S : Mauldred, pas la peine d'etre désolé, tu es le seul à avoir laissé un commentaire donc tu es loin de devoir t'excuser ^^

Edit : Voila, texte corrigé.