[RP] La plaine du village

kronir se rejouit de voir Florencio suivre sa chanson, et sous la nuit descendante, il ne pouvait y avoir plus beau spectacle.

"Je propose de monter le camp ici , quand dites-vous ??"

Kronir prit le gouvernail et déposa le radeau sur la rive.Il déposa ses affaires sur le sol, et n'attendant pas la reponse des humains, il avait deja commencé à ramasser du petit bois, et a tenter deseperement d'allumer un feu.

Hrp: Ma question est rhétorique, c'est pour cela que je continu l'histoire, mais vous pouvez encore protester, les mjs avait l'air de vouloir qu'on fasse un camp ( pour le meilleur .... et pour le pire )

Le chevalier descendit calmement de l'embarcation et observa le nain occupé à allumer un feu.

_Très bien, qui prend la garde pour cette nuit ?

Le nain énervé par le feu qui refusait obstinément de s'allumer tourna son regard vers Theon qui lui dit :

_Ne me regardez pas comme ça ! Je suis moins doué que vous pour allumer un feu.

Florencio sortit un morceau de silex et un bout de métal rectangulaire.

-Laissez faire l'expert.

Il prit un morceau tissus et un flacon dans son sac.

-Ca me rebute de devoir gâcher de la bonne huile de lin, mais j'aimerais me sècher rapidement.

Il imbiba légèrement le tissus, referma rapidement le flacon et plaça le morceau sous une bûche.

Il gratta ensuite le bout de métal sur le silex à proximité du morceau de tissus. Des étincelles jaillirent, lorsque l'une d'elle pris sur le tissus, il souffla abondamment dessus.

Une fois assuré que le feu prenait, il sortit un chiffon et entreprit de retirer son armure pour nettoyer les pièces qui avaient été en contact avec l'eau.

Kronir était vexé qu'on ait pu croire qu'il avait besoin d'aide , et fis remarquer:
"je suis desolé pour votre huile de lin, mais vous m'auriez laissez faire , un petit peu de poudre et hop la route .."
" Je vais prendre le premier tour de garde, pour l'instant, je vais chercher des buches, autant avoir un feu toute la nuit, cela nous empecherat de dormir et peut etre nos compagnons resté sur terre pourront le voir, bien que le fait de revoir jadis ne m'enchante guerre... "

L'idée de quitter cette charrette de malheur en tête, Belk se précipita pour mettre pied à terre une fois que Jadis eut immobilisé les sangliers. L'endroit était assez large et dégagée pour y installer un campement relativement important. De plus, les arbres alentours offraient un beau camouflage pour tamiser la lumière et la fumée du feu. Le Prêtre des Runes fit le tour de la clairière, examinant d'un coup d'œil évasif les sous-bois et en cherchant du bois sec. Alors qu'il revenait au centre, un petit fagot sous le bras gauche, les autres membres du Clan Neanias descendaient de la carriole en s'étirant. Le Nain plaça ses branchages pour former un cercle peu probant, se releva, pointa son bâton runique sur l'ensemble et l'agita pour former Ansuz. Alors que la lumière du soleil était désormais quasiment inexistante, le feu ainsi allumé fut bien accueillit par le groupe.

Mais j'vous préviens, j'irais par chercher de quoi l'entrenir, marmonna-t-il en pointant son édifice.

Le chevalier s'allongea lourdement près du feu et prit son outre afin de prendre une bonne lampée de bière "empruntée" à la taverne du village. Il prit quelques rasades et rangea son réservoir dans un endroit sur.

_Quand tu auras finis ta garde, tu réveilleras Florencio pour te remplacer, je pense que ça lui fera plaisir. ajouta Theon avec un sourire, avant de fermer les yeux et de laisser les ténèbres le submerger.

Le feu allumé par le prêtre des runes réchauffa l'âme du brise-fer, la journée avait été pénible et particulièrement ennuieuse. Olaf posa son baluchon et son bouclier sur sa couverture, non loin du feu, puis commença à retirer certaines pièces de son armure. Il déposa précautionneusement son heaume, sa cuirasse, ses épaulières et toutes les autres pièces situées au dessus de sa ceinture, ne gardant que sa cotte de maille et ses sous-gantelets de cuir. Après avoir bu une gorgée à son tonnelet de bière, il empoigna sa hache et se dirigea vers les arbres.

-A défaut d'elfes à savater, j'vais aller couper du bois pour le feu...ça me défoulera.

Kronir était toujour eveillé , bien qu'il ait probablement depassé son Tiers de nuit, le feu marchait toujours, et il n'avait pour l'instant rien entendu de suspect. Mais il desirait s'allongait un peu, et décida de reveiller Florencio, respectant le choix du jeune bretonien.

Il s'approchat du pretre-guerrier, et le reveilla en douceur, en lui donnant des coups de pieds sur le dos ( Tout est relatif)

"Allez reveille toi faignasse, jvai pas rester tout la nuit debout !!"

Le pretre ouvrit un oeil et kronir lui adressa un grand sourire, qui dans la lueur du feu lui donnait un air de vieux compagnon, et il bourra alors sa pipe qu'il alluma sans plus de discours, en regardant le feu qui eclairait de sa seule lumiere la plaine.

Florencio rêvait d'un ogre en tenue d'apparat qui lui apportait son petit déjeuner dans sa tente de campagne en Tilée.

""V'là vot'bouff' commandant. L'señor argenteri l'a ordonné qu'on l'cuise dans l'feu des just' "

Le petit déjeuner était disposé dans un grand plat de porcelaine. C'était le nain nommé Todin Neannias, il avait une pomme dans la bouche. Il s'appretait à répondre qu'il avait déjà peint le seigneur Malekith lors d'une visite diplomatique à Nehekhara et que le seigneur Settra s'était comporté très discourtoisement en lui chippant ses fusains.

Il remarqua alors que l'ogre n'était plus un ogre. C'était un répurgateur au vu de son chapeau caracteristique, mais dans une imposante armure slaaneshi rose fuchsia, il fumait dans un pieu sigmarite creux et lui disait d'un air nonchalant.

-Allez, reveille-toi faignasse, j'vais pas rester tout la nuit debout !!!.

Il ouvrit les yeux et reconnut Kronir. Mollement, il fit un décompte à voix haute pour rassembler tout son courage :

-1, 2... 3 !

Il se redressa avec la simple force des abdomens, sans dire un mot, croisa les jambes sous sa couverture, posa les coudes sur ses genous et entama sa veille.

L'aube pointa le bout de son nez entre les montagnes, permettant à chacun de reprendre la route. Du côté du chariot, tout était normal, presque ennuyant... Serait-ce le calme avant la tempête ?

Les trois aventuriers sur le radeau quant à eux purent alors reprendre la route, mais le pire restait à venir... Au loin, ils pouvaient déjà apercevoir les rapides glissant entre les montagnes, se perdant hors de vue. D 'après les villageois, c 'était le dernier obstacle entre eux et la forteresse !

HRP : A vous ! ça va secouer dans le radeau ! je vous laisse faire votre rp la dessus, regardez la carte pour voir où vous êtes ! Merci de ne pas torcher les rapides en un message ^^

La nuit avait été courte et pourtant Olaf pensait que c'était déjà trop long, ils devaient se dépêcher pour arriver au plus vite à la forterresse. S'étant réveiller un peu avant l'aube, le nain rangea ses affaires et les mit dans le chariot, après quoi il en fit de même avec les affaires de ses compagnons.
Lorsqu'il eu finit, il réveilla Arnfiarnunn...en douceur.

-Arnf...allez, on doit se mettre en route, le soleil se lève déjà.
Sans attendre une hypotetique réponse de son patriarche, il se dirigea vers le prêtre des runes qui dormait à poings fermés comme un bien-heureux.

-Belk, lèves toi. Assures toi que tout le monde se bouge, et vite! J'vais préparer les sangliers, on part dans deux minutes.

-Belk, lève toi. Assure toi que tout le monde se bouge, et vite ! J'vais préparer les sangliers, on part dans deux minutes.

Belk rêvait de Karak aux Huits Pics lorsque Olaf le réveilla. Le son de sa voix se fit de plus en plus fort et compréhensible. Le Prêtre des Runes ouvrit doucement les yeux. Le soleil venait à peine de se lever, plongeant les cimes des arbres alentours dans un bain de lumière pourpre. Il se redressa difficilement, ses membres encore engourdis par le sommeil. Il tâta le sol à ses côtés, mit la main sur son bâton runique et s'en servit comme d'un support pour se relever. Le Nain réajusta sa prise sur son arme et remonta sa main de manière à la tenir juste en dessous de Thurisaz, sa rune de focalisation. Il réfléchit quelques instants et traça en son sommet Mannaz mais modifia quelque peu sa forme en inversant deux barres obliques. Cette fois-ci, la rune qui avait absorbé le grondement de l'explosion sur la corniche, allait lui servir à amplifier sa propre voix.
Belk se gratta la gorge, aligna sa bouche avec l'extrémité de son bâton et parla pas plus fort qu'à l'accoutumée :

DEBOUT TOUT LE MONDE !!!

Belk explosa de rire à la vue de l'Ingénieur Jadis se relevant en un quart de seconde, comme s'il avait senti l'haleine d'un Ork. Le Prêtre des Runes, satisfait de lui, se dirigea vers la charrette et grimpa à l'intérieur.

"Allez les gars debout ! "BANG"

Kronir venait de tirer un coup avec son arquebuse pour reveiller les autre paresseux, et se diriger dejà vers le radeaux en verifiant les paquet de poudre et de nourriture qu'il avait preparer.

Allez debout les feignant, manger un bout et on y va !!


Hrp: je vous laisse demarer les rapides, jvoudrait pas prendre vos perso

Mordrep est désormais en plein milieu des rapides, dans son radeau de fortune ! Attention aux cailloux qui dépassent...



HRP : Kronir et les deux humains ont quelques heures de retard sur lui, merci donc de ne pas sortir des rapides avant lui !

Les sangliers étaient maintenant harnachés et Olaf se tenait à l'avant de la carriole, prêt à partir. Lorsque Jadis eut trainé sa carcasse à l'arrière, le brise-fer fit claquer les rènes et le modeste convoi se remit en marche.
Alors qu'il grignotait un morceau de pain, il s'adressa à ses frères d'arme.

-Dites, on était pas censés rencontrer les mineurs hier? lâcha-t-il, l'air innocent.
-J'sais pas ce que vous en pensez mais j'trouve que ça sent pas bon c't'histoire. J'vois venir d'ici le plan foireux...

Belk s'était installé à l'arrière de la charrette, juste derrière Olaf. Le paysage défilait lentement... Trop lentement.

<<On sera jamais là bas à temps>> se dit-il.

Mais, de toutes évidences, il n'y pouvait rien et se résigna donc. Il fallait juste attendre que cela se passe. Au bout de quelques minutes, le Brise-Fer brisa la monotonie du voyage en posant une question sur les mineurs.

Mes avis qu'ils sont tombés sur des Orks... Dès que le doyen nous en a parlé, je m'suis dit qu'ils avaient passé l'arme à gauche : ils n'ont pas grandes chances au milieu de ce conflit.

Kronir remarqua que le courant allait de plus en plus vite, et cela l'inquiéta d'autant plus que le nombre de nombre de secousses à la minute augmentait considerablement ...
Une grosse secousse faillit faire renverser la frele embarcation

" Je vous conseille d'enlever un peu vos armures, si vous ne voulez pas coulez a pic, d'ailleurs pour evitez de se mouiller la barbe, Il faudrat equilibrer les poids...Chacun essaie de prendre le meme poids"

Une autre secouse faillit faire tomber kronir à la renverse, il eut alors l'idée de prendre une branche qui flottait dans les remouts, et se mit a repousser les rochers qui se faisait de plus en plus raproché

" Hardi mousaillon !!"

Les dernières montagnes du périple marin du vieux nain passèrent. Les eaux se calmèrent de nouveau, les arbres changeaient de taille, l'herbe se faisait quelque peut plus verdoyante, puis un embranchement se présenta. Sur la droite, ou devait selon la logique se trouver la forteresse, une nouvelle plaine se présenta, avec en son centre la rivière.
Le mercenaire n'était plus très loin du but, il débarqua à l'embranchement menant vers la forêt lointaine, du coté des montagnes.
Le nain s'occupa d'abord de remettre son radeau au bon vouloir du courant, afin qu'il ne reste pas la, à le trahir. Puis il se tourna vers les montagnes, et retenant sa respiration, le vieux nain au kilt vert pu apercevoir...

Jadis somnolait au rythme lent de la carriole, les battements de son coeur calqués sur les balancements lents du convoi. Il se tourna vers l'avant.
Je l'avais bien dit au vieux: ses mineurs ont du périr depuis plusieurs jours... J'espère juste que nous atteindrons la forteresse rapidement, et surtout avant nos ennemis. Arriver la bouche en coeur dans une forteressse tenue par l'ennemi ne serait pas une bonne chose, vous en conviendrez...

Alors que le trio sur le radeau affrontait les rapides, sur la terre ferme, quelque chose se dessina enfin à l 'horizon. Une rivière en face d'eux, au loin, en plus de celle qu'ils avaient longés avant d 'arriver dans la zone montagneuse, ou ils avaient perdus la trace de la rivière pour éviter les falaises.

Une construction était visible sur cette rivière.. un pont ! La mine, d 'après les dire des villageois, ne devait plus être bien loin.


HRP : Postez votre dernier message dans cette section avant de rejoindre le topic de "La mine naine" pour le chariot et le topic qu'ils veulent pour le trio du radeau !
Pour les terriens, vous ne pouvez pas encore voir les traces du combat d'ici ! ça va venir lorsque vous passerez le pont, en changeant de topic, je vous décrirais la scène !!