[Quête annexe] Sauver Drugnalf Brise-Squig. [Terminé]

[HRP] Un doublon pour faire évoluer la situation. C'est le récit du duel entre Drugni et Linnavouable. Nous avons tout deux rédigé ceci mais concernant la fin tout dépend encore de la décision des MJ. [HRP]

Drugni accouru à la rescousse de Borgir Darkmoon, ce dernier semblait grièvement touché et l’honneur dictait au vieux nain de ne pas laisser un homme à terre. Soudain il cogna contre quelque chose et se retrouva par terre.

En levant les yeux il fit face à Linnavouable revêtu d’une sombre armure flanqué de symboles maudits. Le vieux capitaine et l'élu se lancerent chacun des insultes dans leurs langues respectifs, puis le Nain se saisit de son marteau à deux mains et se jeta sur son ennemi aussi rapidement qu'un squig affamé devant de la chair fraiche. Malheureusement son coup était bien trop gauche et Linnavouable parvint à esquiver l’attaque, puis se retrouvant en posture favorable dans le dos du martelier nain il le frappa de sa masse sur le casque. Drugni s’écroula au sol, sonné.

Alors qu’il reprenait ses esprits il sentit son ombre planait au dessus de lui. Linnavouable le surplombait prêt à lui donner le coup de grâce mais le vieux nain avait de la ressource et au dernier instant il para l’attaque avec le manche de son marteau. Durant quelques instants les deux adversaires se retrouvèrent bloqués et leurs regards se croisèrent, les yeux coussus chaotique rencontrèrent ceux plein de fureux du petit être.

C’est à ce moment que Drugni feinta de reculer pour décocher un coup de marteau dans les jambes de Linnavouable. Un écoeurant craquement d’os brisé ponctua le coup, la douleur lui fit echaper un grognement. Son adversaire handicapé Drugni s’apprêtait à l’achever mais l’Elu de Tzeentch en décida autrement. Il fit s’abattre une pluie de coup sur le nain. Drugni eut bien du mal à parer les attaques de son adversaire et répliquait par de violent coup de son marteau à deux mains.

Au bout d’un moment les deux adversaires étaient à exténués, saignant de plusieurs blessures. Bien malin aurait été celui qui aurait pu prédire qui allait prendre le pas sur l’autre car aucun des deux ne semblait déterminer à flancher.

Drugni se jeta une nouvelle fois à l’attaque, Linnavouable para de ses armes la masse du martelier nain et voyant la faille dans la garde de son adversaire lui asséna un violent coup de genou en pleine figure. Drugni tituba de quelques pas en arrière, sa vision brouillée par le sang lui coulant dans les yeux. Linnavouable s’approcha de lui en boitillant et lui asséna un coup de masse sur le crâne.

Drugni se sentit chuter au sol, puis tout devint noir…

Avec capture
Linnavouable regarda le guerrier Nain assommé. Puis d'un mouvement vif il attrapa un Maraudeur et lui dit:

"Prend quatre guerriers avec toi, amene ce nabot au camp. Et que personne n'y touche il est à moi."



EDIT: Donc voilà c'est ici que se déroulera la mission subsidiaire visant à récupérer le maître de guilde de la Confrérie des Mercenaires du Reikland, on lance donc l'opération lundi histoire que tout le monde puisse être la lorsque l'on débutera.


Je récapitule : Drugnalf a été capturé par les forces d'Obscur, donc nous allons procéder en effectif réduit histoire de ne pas alerter tout ceux d'en face et ainsi pouvoir le récupérer de manière aussi discrète que possible, on va s'arranger avec les gars d'Obscur pour concoctait un truc probant.

Korv

Un jeune soldat kislevite affrontait un maraudeur du chaos, les echanges étaient violent mais le jeune humain n'en demordait pas. D'un habile jeu de passe-passe il créa une ouverture dans la garde du chaoteux et lui enfonça son épée dans la gorge. Le soldat victorieux repris ses appuis lorque sondain les mutations de son opposant eurent un reflexe posthume et une immonde tentacule sorti de son potraille pour venir plaquer le kislevite et lui briser l'épaule sur le sol. Morte dans son élan la tentacule s'affaissa piteusement au sol.

Skinfax était resté derrière la ligne de front pour soigner les nombreux bléssés qui lui parvenaient. Il vit le jeune soldat gemissant au sol, serrant son épaule.
D'une main ferme le nain saisit la cape du soldat.
- "Vient par là p'tit père !" ajouta t'il en le tirant vigoureusement en arrière pour l'éloigner des combats.

Il entrepris de préparer sa rune de soin et traçant des lignes dans le vide. La forme miroitante de la rune se dessinait calmement sous la concentration inébranlable de son créateur.
Puis d'une main lente le prêtre des runes la fit glisser le long de l'épaule du kislevite, la rune émit de petit grésillement lorsqu'elle ressouda les os brisés.
* dommage qu'on est pas payé à la bonne action * pesta le nain dans barbe.
Le jeune soldat se releva peniblement puis joua de son épaule pour verifié son état, étonné, il s'appreta à remercier son bienfaiteur mais celui-ci était déja parti car un duel avait attiré son attention.

A quelque dizaine de mettre il vit le chef de sa guilde affrontait un élu du chaos. Il se precipita pour le rejoindre afin de le requinquer un peu. Mais le destin en decida autrement car un vil coup de genoux du soldat de tzeentch lui fit mordre la poussière.
Impuissant, car trop loin, Skinfax vit Drugni disparaitre à la lisière de la fôret.

- "Drugni !" beugla t'il en exteriorisant une infîme partie de la rage qui tempêtait dans sa tête.

- "Bordel mais où est ta longue barbe et ton marteau imbécile. " maugrea t'il pour lui même sans réel amertume.

Il savait pertinement que seul, il ne pourrait le sauver et c'est avec un deplaisir veritable qu'il leva sa main en l'air pour tracer une second rune. Il dessina un suite complexe de ligne au dessus de sa tête, celles-ci levitaient au dessus de sa tête. Une fois la rune activé, elle s'illumina intensement et s'éleva dans le ciel.

*Y'a interêt que ces fichus mercenaires comprennent mon signal de detresse* râla t'il interieurement et sans réel rancoeur.

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[HRP]

J'ai vu que personne n'était motivé pour sauvé notre chef .

m'enfin j'essaie de lancé un peu l'histoire avec mon RP tout nul ^^.

NB : si y'en a qui sont motivé pour jouer mon perso c'est ok, parce que cette semaine je ne suis dispo qu'a 12h et 23h grosso modo !

Drugni se réveilla, fébrile, ne sachant pas où il se trouvait. Un instant le vieux nain cru être enfin mort, mais une vive douleur le ramena sur terre. Il se trouvait dans ce qui semblait être un camp de fortune dressé non loin du lieu de l'embuscade. Il tenta vainement de se relever mais il était maintenu par des liens.

"Dans quel draps t'es tu fourré ?" Se dit-il en tentant de chercher où il pouvait se trouver. Il se souvint brièvement de son face à face avec Linnavouable, l'élu du chaos. L'issu avait été incertaine jusqu'à ce que son adversaire fasse preuve de ruse et ne l'attaque alors qu'il lui tournait le dos.

Il était à présent aux mains de ses ennemis, pieds et poings liés, dépouillé de ses armes et armures et à leur merci. Ils pourraient s'essayer à la moindre torture il resterait muet comme une tombe. Il préférait encore mourrir que risquer la vie de ses frères...

La bataille avait été éprouvante et beaucoup d'entre eux avaient été sévèrement touchés. Il revit Dangorn affalé sur sa monture sa tunique poissée de sang. Il en oublia presque ses propres douleurs. Son crâne ne cessait de le lancer et sa vision était troublée par le sang qui s'écoulait de son cuir chevelu.

Il attendait à présent que son heure vienne et se jura intérieurement de rester fier et honorable jusque dans la mort.

Ankor se reveilla doucement alors qu'il était baloté bizarement.
Après avoir ouvert les yeux il se rendit compte qu'il était sur l'epaule d'un soldat du chaos, celui qu'il venait d'affronter il y a quelques minutes.

Le soldat était gigantesque et le nain ne s'était jamais retrouver aussi haut. Alors qu'ils approchaient d'une tente surveillé par de nombreux maraudeurs, d'un geste qui ne contenait aucune attention vis à vis du prisonnier, le chaotique balanca le nain par terre, ce qui sucita le rire des serviteurs des Dieux Sombres.

" - Voici un autre prisonnier pour le sacrifice, attachez le avec l'autre, ça lui fera de la compagnie ! "

Après avoir donner cet ordre, le guerrier de Tzeench s'en alla.
Alors 4 maraudeurs attrapèrent le nain et le relevèrent, le nain avait remarqué que ses ravisseurs ne mettait pas beaucoup d'entrain à la tâche et le tenait assez faiblement, il profita de cette occasion pour leur rappeler quel genre de prisonnier était un nain : il decocha un enorme coup de tête à un maraudeur avant d'envoyer un crochet du droit monumental dans la tête de son compagnon.
Alors que le mercenaire allait se saisir de l'épée d'un des deux maraudeurs tombé à terre, un autre rester près de la tente avait encoché une flèche et bander son arc. Il semblait prêt à le tuer à n'importe quel faux mouvement. Le nain se dit que cette fois ce n'était pas le bon moment pour mourir et qu'il fallait mieux se laisser faire.

Les deux derniers maraudeurs encore en etat de le porter dans la tente lui infligèrent une pluie de coup, alors même que le nain était au sol.
Puis à moitié assommé, celui-ci fut transporté dans la tente et attaché solidement à un poteau en bois.

La tente était plongé dans l'obscurité, mais les nains avait une très bonne vision dans le noir comparé aux humains, et une fois que ses yeux se furent habitué à l'obscurité, Ankor descela la présence d'un autre prisonnier, qui à l'odeur était aussi un nain.
Il regarda plus attentivement et remarqua qu'il conaissait cette armure que trop bien : c'était celle du chef de sa guilde, Drugni !
En etant sur de lui, il s'adressa à son vieil ami en chuchotant :

" - Hep, Drugni, c'est moi Ankor, par les puces de la barbe de Gordor l'intrepide, qu'est ce que vous faites là ? "

Laconfir ne pouvait plus se permettre d'incanter quoi que se soit, ce ne serait que perte de temps, mieux valait battre en retraite et au plus vite...
Mais alors qu'il s'apprêtait à monter dans une charrette pour partie du combat, il assista à l'épique combat entre drugni et un élu du chaos.
Ils étaient si proches que Laconfir ne put rien faire pour aider son chef, et il le vit se faire capturer.
C'est à ce moment que Laconfir dut choisir entre ses deux nature, mage céleste ou mercenaire, la première lui imposait de partir, son analyse de la situation était claire, ils avaient perdu, il fallait fuir.
La deuxième lui imposait de ne pas laisser un mercenaire en arrière, le chef qui plus est..
Après 30 seconde de réflexion, Laconfir se mit en quête de compagnon pour sauver son chef, après tout, cela faisait bientôt un an qu'il vivait avec les mercenaires et il ne pouvait se résoudre à en abandonner un...

-Mercenaires !!! J'ai besoin de vous !! le chef, nous devons !! Enfin bref, réunion de crise dans la charrette pour les mercenaires disponibles !!!

Il espérait que certains mercenaires parmi les plus discret pourraient répondre à son appel, ils devaient préparer une mission d'infiltration, et ce en 4ème vitesse, Laconfir détestait avoir à se presser...

"Ankor... ? Ankor c'est bien toi?" Parvint à demander Drugni. "Vieux frère je ne croyais pas te revoir de sitôt... Et j'aurais espéré que cela reste ainsi..."

Ankor faisait parti des compagnons d'arme que Drugni estimait le plus. Sa fougue, son courage et sa fureur de vaincre faisait de ce nain un redoutable adversaire.

"Ces fils de chiens le paieront... Je le jure sur ma barbe et sur mon honneur !" Maugréa le vieux nain. "J'arracherai leurs entrailles avec mes mains s'il le faut..."

Korv, bringuebalant légèrement sur son féroce destrier, apparut à Laconfir de dérrière la charette, un sourire torve aux lèvres, une lueur de folie embrasée dans les yeux, serrant à s'en faire bleuir les phalanges des doigts son bâton noueux.

Dans l'autre main Korvadiel enserrait fermement avec l'assurance qu'obtenait au fil de longues années de service les soldats citoyens de l'île blanche un long pique récupéré sur la dépouille d'un des nombreux cadavres gisant lividement sur le champ de bataille.

-Allons astromancien, dit-il avec un large sourire inquiétant, il est encore temps de secourir notre ami, si de célérité nous faisons montre huhuhu...

Et sur ces paroles concises l'asur sautât à terre, délaissant son improvisée monture et laissant le soin à un soldat dépenaillé et entailler en de multiples endroits de s'en charger.
Rejoignant en quelques pas le sorcier humain, il lui désigna un endroit situé plus en arrière d'ou émanait une pâle lumière émeraude.

-Je crois que l'on essait de nous prévenir d'une chose dont nous avons déjà prit conaissance, l'elfe réfléchit un instant puis interpella un soldat au teint cireux et à la mine emplie d'une noirceur indescriptible, l'ami, oui toi la, pourrais tu courir aussi vite que te porte tes jambes dire à celui qui est responsable de cette étrange lumière de nous rejoindre sur le champ ? Le soldat opina du bonnet sans même discuter et s'éxécuta

Durant tout le voyage, KarakAlaric s'était contenté de rester au milieu du convoi, à guetter une attaque de flanc, fusil à la main. Mais, au fil du temps, sa garde commencait à baisser. Je crois que je ne serai jamais chez moi dans une forêt...
C'est alors que l'attaque commenca, frappant l'avant du convoi.
Plutot que de risquer sa vie en premiere ligne, il préféra se replier à l'arriere du convoi, usant de l'incroyable précision de son arquebuse pour cracher la mort, depuis une poisition sure, sur les hordes qui deferlaient sur ses compagnons.
Alors que la bataille tournait vraiment au désavantage des forces de l'Ordre, et que de plus en plus de blessés et de mourrant se repliaient derriere le feu du nain, une lumière étrange attira l'attention de KarakAlaric. C'étais une rune de detresse. Voyant Aki partir pour le front, et plus précisement vers la rune, l'Alchimiste se décida de la suivre. Ce n'étais que mon 9e gobelin. J'ai vraiment perdu la main depuis mes jeunes années... Attend-moi Aki, j'arrive !
Puis il partit à toute vitesse derriere la Niponne, tout en rechargeant d'une main habile son fusil.

" - Content de vous revoir chef ! Moi aussi je m'excuse que se soit en de telles circonstances. "

Ankor respira profondement, puis secoua la tête avant de reprendre la parole.

" - En tout cas cela sera pour moi un honneur de mourir sous vos ordres ! Je suis neanmoins daccord je suis sur que nos compagnons ne vont pas nous laisser dans cet état. Quand ils viendront nous liberer, nous ferons payer cher à ces maudits adorateurs paranoïaque ! Je leur montrerai comment se venge un nain ! Pour l'or et la gloire mon vieux Drugni ! Par ma barbe je vous protegerai ! "

Ankor fit un clin d'oeil à son chef...mais aussi à son vieux frère d'arme, ainsi qu'à son frère de race...

Skinfax était au prise avec un gobelin à moitié mort qui lui mordillait la cheville. Enervé par ce déseagrement, il lui enfonça la tête dans le sol avec son pied. Son humeur n'était vraiment pas de s'amuser avec de la vermine.

un jeune soldat vînt le héler :

- "M'sieur le nain, y'a un elfe d'chez vous qui vient de m'dire que vous devez aller le r'joindre !" Le pauvre soldat paressait bien fatigué, aurait bien mieu fait d'être rester dans la campagne d'où il venait.

- "Un elfe !" repeta le nain en fronçant les sourcils. il eu vite fait de le tour des mercenaires qui correspondait. "Korvadiel surement... "bon on fait avec ce qu'on a, ça reste un bon magicien quand même." marmona le runiste. Il questionna le soldat et lui demandaù se trouvait Korvadiel, elui-ci lui expliqua qu'il se trouvait quelque mêtre plus loin dans la diresction qu'il indiqué.
Renvoyant le soldat au front, Skinfax parti rejoindre l'elfe. Il croisa Aki et KarakAlaric et les invita à le suivre d'un geste ample de la main.

Il reconnu à l'écart de la mélée la silhouette de Korvadiel et de Laconfir. Pressant le pas il les retrouva quelques secondes plus tard.

- "Content de vous voir les gas ! Vous avez surement vu que ces enflures de chaoteux on emabarquer notre chef ?"
Les deux magicien acquiecèrent sous le regard inquiet de la nippone et du nain.
Après un bref achange les cinqs mercenaires mirent au clair la situation. L'heure était grave, Drugni avait été capturé.

[HRP]
je me permet de faire intervenir vos persos légèrement car sinon le temps de que tout le monde se retrouve et tout qu'on se tape la discute et tout le touti.... on a as fini et Drugni aura eu le temps de se transformé en mutation tentaculaire.

Drugni, capturé ? L'alchimiste ne pouvait en croire ses oreilles, le chef des mercenaires venait de se faire prendre par les immondes guerriers du chaos, et sans lui, toute la confrérie risquait la désagrégation. Aussi, il ne reflechit pas bien longtemps avant de parler.
Mais qu'attendons-nous ? Partons immediatement le liberer avant qu'ils ne l'emmenent loin derriere leurs lignes ! Apres avoir regardé le petit groupe ainsi formé, KarakAlaric ne put que se rendre compte de la triste réalité. Seuls, ils n'iraient pas bien loin, et leurs chances de reussite étaient infimes.
C'est quand on a le plus besoin d'eux que les repurgateurs disparaissent ! Pesta-t-il dans sa longue barbe blanche. Et bien, retournons en arriere chercher un minimum de renforts avant de se lancer à la rescousse de Drugnalf. Depechons-nous, le temps nous est compté !



[HRP] Oui, n'hésitez pas à jouer mon personnage pour qu'il realise des actions "simples" comme vous suivre, vous donner une information tactique ou se genre de chose

Laconfir observa les mercenaires réunit, cependant il manquait encore une personne nécessaire à la réussite de la mission...

- chers mercenaires ! Je suis fier de vous, se réunir si vite pour le chef et braver les danger de la mort qui vont en découdre... Bon c'est vrai, pas le temps pour les long discours. Alors, si ça ne dérange personne, je prend la tête de l'opération en temps que membre le plus ancien et mieux gradé ici présent, les autres officiers n'étant pas en État de nous suivre...
Mais nous partirons seulement quand l illusionniste sera là, à mon avis il est pas loin mais se dissimule alors...
DAIMON, PETIT PLANQUE, VIENT ICI DE SUITE HONORER TON SERMENT OU GARE A FESSES EMCAPUCHONNE.
Sur ce nous l'attendrons 5 petites minutes, puis je vous expliquerais le plan. A propos, si vous avez des suggestions, faites les très très vie, nous n'avons que peu de temps pour cette mission, car on ne pourra s'échapper seul de l'arrière des lignes ennemi, le convoi ne doit pas être loin...

Linnavouable se tenait au milieu de la clairière, il s'approcha d'un jeune maraudeur à moitié endormie.
"Réveille-toi imbécile surveille cette cabane, où je te ferais connaître un sommeil des plus tourmenté tu peux me croire"
La cabane en question était celle des chefs du convoi qu'il avait attaqué, construit à la hâte par les esclaves, elle manquait de solidité à son goût. Une autre cabane, elle contenait des prisonniers de moindre importance. Linnavouable s'approcha du sorcier resté ici pour les sacrifices

"Commence à sacrifier les soldats mais ne touche pas aux deux Nains, ils seront gardés pour le retour de notre chef."
Le sorcier s'inclina devant l'élu et partie commencer les préparatifs.

"Toi approche !" Ordonna l'élu, à l'hérétique le plus proche.

"Je te charge de la surveillance de la clairière, allume un grand feu, en son centre pour bien l'éclairer, que les hommes placés sous ta garde surveillent l'orée du bois, qu'ils ne regardent jamais dans la direction du feu sinon leurs yeux ne seront plus habitués à l'obscurité. Et si tu échoue tu aura à faire à moi"

"Très bien maître il en sera fait ainsi" Répliqua l'hérétique un genou à terre

Linnavouable savait qu'ils arrivaient, Elle lui avait dit. Il commença à rire lorsque le sorcier commença à faire ses incantations et que le prisonnier suppliant d'avoir la vie sauve était attaché à l'autel.

"Oui venez pauvres fous, une surprise vous attends, une surprise démoniaque"

Dit Linnavouable en tournant la tête vers homme difforme solidement attaché à des chaînes rougeoyant d'une magie malsaine. Plus les sacrifices avançaient plus l'homme attaché hurlait de douleur et se transformait.

Drugni entendait dehors les cris des premiers suppliciés. Il se maudit de ne rien pouvoir faire. Ankor à ses côtés semblait aussi affligé que lui.

Les chaînes avec lesquelles il était attaché commençaient à lui brûler les poignets, mais il n'avait que faire de la douleur et savait très bien que son tour viendrait à lui aussi. C'est quand son ennemi s'en douterait le moins qu'il attaquera, son sacrifice ne serait pas vain et il aurait le plaisir de partir en héros martyre.

Un nouveau cri déchirant résonna dans la clairière mais il ne provenait pas des suppliciés. Un frisson remonta le long du dos de Drugni. L'air était lourd et colportait une sensation de froid. De la magie ! Il craignait déjà ce qu'il ne tarderait pas à découvrir...

Korvadiel prit à par l'astromancien lui suggérant de lui remettre le commandement de l'opération compte tenu des circonstances quelque peu exceptionnelles, Laconfir n'y vit nulle objection et accepta sans néanmoins adressé un regard sans équivoque au sorcier elfe sur la manière dont il le réprimanderait si celui-ci venait à s'emporter en actions inconsidérées comme il lui arrivait fréquemment.


Sur cette brève entrevue les deux compères revinrent vers le groupe.

Korv balaya l'air ambiant de sa main gracile, dessinant de rares caractères aethyriques prenant l'apparence de volutes éthérées lévitant de manière iréelle.

La glyphe se rompit soudain fusant en une lance bardée de fumée qui vrilla à travers bois.

-Par la, l'umbramancien saura nous retrouver..

La compagnie improvisée s'engagea alors dans le dédale obscures des frondaisons des arbres massifs et des taillis épineux...

Daimon, sur son destrier chevauchant à toute allure, se remémorait les paroles du soldat.
- Capturé. Avait il dit.
Le chef des mercenaires, Drugni machin-chose là, capturé.
" Vous en êtes vraiment sûr ?" Demanda-il, inquiet.
- Bah puisque j'vous l'dis ! En tout cas, la rumeur a déjà fait le tour des troupes.
Paraîtrait même que des mercenaires sont partis l'chercher ... 'vont s'faire crevé, comme leurs chef, moi j'vous l'dis.
Ces saloperies du chaos ... Sigmar nous protège, ils leurs feront pas d'cadeaux.

Comment avait-on pu en arriver là ?
Daimon s'en voulait, s'il avait été présent lors de cette bataille ... mais il n'était pas encore trop tard !
À présent, il devait rejoindre ses confrères, il n'avait eu aucun mal à les repérer, il sut immédiatement que Korvadiel faisait parti des mercenaires partis secourir Drugni et il les remercia, lui et sa monture, de lui permettre de les retrouver aussi rapidement.
Dans une minute, ils les auraient rejoins.

Alors que Death-Dodger approchait, Laconfir et Korvadiel se retournèrent brusquement.
Non pas alerté par le bruit de la monture au galop, elle n'en faisaient pas, ils l'avaient été par la présence de Daimon qui, volontairement, perturba légèrement l'aethyr afin de les prévenir de son arrivée.
Lorsqu'il fut à quelques mètre du groupe, Daimon arrêta son destrier et en descendit.
Dès lors ce dernier s'en alla comme il était venu, disparaissant dans les ombres avoisinante.
" Hé ! Je suis un peu en retard.
Au moins, ça vous a laissé le temps de mettre au point un plan, n'est-ce pas ?"

Laconfir avait de suite repérer daimon, cette perturbation aethyrique, c'était bien son genre, il se retourna alors et lui adressa donc la parole:

- Cher Daimon, cela faisait longtemps, je ne sais pas si vous êtes au courant mais nous allons de suite tenter une mission de sauvetage pour Drugni et Ankor...
Bref assez blablablater, le sort de Korvadiel va nous emmener normalement tout droit où ils sont retenu, mais il est sur qu'il y aura des sentinelles avant et dans le camp de prisonniers de fortune. La discrétion est donc de mise et c'est là que vous intervenez cher Daimon, j'espère que vous vous êtes entraîner à la dissimulation de groupe...
Bref allons-y, a moins que vous ayez quelque chose à dire Korvadiel ? Daimon ? Les autres ?

Florencio avança discrètement vers le campement provisoire d'obscur. Il avait entendu au loin les bruits de bataille et s'en était vivement éloigné pour ne pas risquer de perdre les 3 mules d'Audric Aunulf survivantes de ses piètres soins et leurs précieux chargements d'épices du Cathay.

Le grand feu l'éblouissait et il n'arrivait pas à voir qui étaient ces silhouettes noires qui restaient dos aux flammes.

Ce n'est que lorsque il vit une silhouette être sacrifiée et pousser des cris horribles en mutant qu'il comprit qu'il s'agissait d'un campement de chaotiques. Ne pouvant laisser ce spectacle se dérouler sous ses yeux, il prépara son plan de bataille.

"Mince des hommes du Nord, bon et bien plus qu'à opérer un repli strategique vers la caravane et m'en aller vite fait. Pas touche à mes épices."

Il allait faire demi-tour mais il se prit les pieds dans une racine, faisant avec son armure et les feuilles des buissons un bruit épouvantable.

"Sigmar pourquoi a t-il fallu que tu me fasses d'aussi grands pieds ?"

Il commença à prendre les jambes à son cou et entendit des bruits de pas et des cris derrière lui, signes qu'il était poursuivi. Sans s'arreter il regarda sa boussole et pris la direction de l'est (mais il s'agissait de l'ouest) pour éloigner les maraudeurs de la caravane qui était, il le pensait, au nord.

Florencio venait, sans le savoir, d'alleger la surveillance des prisonniers.

La petite escouade avancait péniblement à travers une foret dont les arbres laissaient filtrer la lumiere d'une lune bien pale. Alors que KarakAlaric commencait à se demander si ils ne s'étaient pas perdus, une vive lumière aggressa ses yeux ; Elle provenait d'un petit feu sans doute allumé par les chaotiques.
On doit etre proche du camp, c'est pas trop tot. Depechons-nous, evitez de vous exposer et en route vers le camp. Des questions ? murmura-t-il.
Devant le regard énervé de ses camarades, il se justifia :
Oui, bon désolé, je sais bien que ce n'est pas moi qui dirige le groupe, mais il faut bien que quelqu'un prenne les devants, le temps nous manque !

C'est ça, va donc te faire occire toi et ta pitoyable achimie, maugréa Korv pour lui-même.

-Allons "camarade", que votre expérience nous servent en matière de sauvetage et autres affectations furtives...Partez donc en éclaireur, votre discrétion méticuleuse et votre aptitude atavique à vous fondre dans les ténèbres nous serons d'un précieux secours. Dit l'elfe sardonique.

Korv attendait sans se départir d'une impatience latente la réaction du nain entreprenant.

Mais je n'ai pas parlé de ma propre furtivité souffla l'Alchimiste en souriant à Korv.
Il savait très bien que cet elfe ne disait pas un centieme de ce qu'il pensait, mais il n'avait pas le temps de ce soucier de ca.
Le nain remarqua alors les cris des chaotiques qui semblaient poursuivre quelqu'un.
J'espere que ce n'est pas Drugni qui se fait pourchassé...
Il prit son long fusil bien en main, s'assura que tout ses ingrédients étaient prets, puis il se prépara à s'élancer dans vers le camps.
Vous pensez bien qu'avec une arquebuse, c'est assez dur d'etre discret. Je vous propose donc de faire diversion afin que les gardes s'éloignent du quartier ou ils retiennent le chef. Reste à savoir où. Je vous laisse le soin de secourir Drugni. Tout le monde est d'accord ? fit-il en regardant Korv droit dans les yeux.

Il y avait de l'agitation dehors. Drugni se demandait ce qui pouvait bien se passer. Ses amis étaient peut être déjà là, en y pensant il esquissa un sourire.

"Ankor, chuchota t'il avec précaution. Par ma barbe j'ai l'impression qu'il y a du raffut dehors et j'pense qu'on pourrait en profiter pour tenter de se défaire de nos liens."

Le vieux nain scruta la salle du regard. Il n'y avait pas grand chose, ce n'était qu'une vulgaire hutte faite de bois et de cuir tendu.

"Il nous faut trouver quelque chose qui pourrait briser nos chaînes. Une pierre, ou bien quelque chose de dur." Se dit il à lui même tout en continuant de chercher la moindre chose qui pourrait les aider.

Florencio courrait à toute allure mais son armure le rendait moins rapide que les maraudeurs, plus légèrement armés. Regardant par dessus son épaule, il vit qu'un des maraudeurs le rattrappait dangereusement.

"Toi, lache moi j'ai des choses importantes à faire avant de m'occuper de vous !"

Il se retourna brusquement et fit mine de lever le marteau, le barbare leva son bouclier mais Florencio l'abaissa et faucha sa jambe. Avant que l'autre ne se relève, il abattit son marteau sur sa poitrine et cracha dessus.

"Ne m'obligez pas à vous tuer tous, je pourrais me salir !"

Voyant que les maraudeurs étaient encore nombreux et qu'ils n'étaient pas décontenancés par ses paroles, il s'enfuit à nouveau.

Alors que les autres mercenaires étaient occupé à parler, Daimon avait poser plusieurs morceaux de charbons, autant qu'il y avait de mercenaires à vrai dire, et commença a incanter quelques parole à faible voix.
Immédiatement les ténèbres se mouvèrent pour envelopper lentement les mercenaires.
Beaucoup semblèrent surpris, peut être Death-Dodger aurait-il du les prévenir, mais cela n'avait plus d'importance à présent.
L'umbramancien se détendit, bien que cela lui demandait une concentration de chaque instant, il se sentait dans son élément.
À présent, tous étaient tourné vers Daimon, certains le regardant d'un air interrogateur, d'autre avec satisfaction, il se décida à prendre la parole.

"Comme vous le voyez, les ténèbres nous enveloppent.
Lorsqu'il fait jour, cette technique permet de se rendre vraiment très discret, presque indétectable à vrai dire.
Lorsqu'il fait nuit, vous vous en doutez, son efficacité est accru.
Cependant, si le risque que l'on nous voit est écarté, il ne tient qu'à vous de ne pas faire de bruit.
Sur ce, allons-y."

Si Daimon avait offert à ses amis la discrétion, il ne s'en était pas tenu là.
Son familier, un petit renard sombre à la forme éthérée, pas plus grand que l'avant bras d'un homme, courait à présent à la recherche de Drugni et Ankor.
Nul doute qu'il s'avérerait utile.