[RP] Chemin des Nains

Khima sourit, content qu'on reconnaisse son Clan.

-En effet je fais partie du clan Des Trois Serments,le Serment de la vengeance
Nous sommes en route pour la vallée de krunk,mais dis moi? C'est un peu imprudent de venir ici toute seule, tu es si jeune. Si tu le veux tu peux nous rejoindre,je pense que ça serait plus prudent.

Le Repurgateur , une pipe froide aux levres et toujours plongée dans ses pensée , il s'arreta un instant , entendant au loin la parole d'un Nain qui était resté muet.
Il parlait des oiseaux de malheur ? Les corbeaux ?

Il jura et cracha par terre.

_Toi , je serais ravi de te trouer , manquerait plus que ça soit un Mercenaire... Murmura t-il , un Nain de son Clan se tourna vers lui , mais il était déja replongée dans ses pensées.
Les Mercenaires , ils les haïssait de tout son être , il prefererait surement tuer deux mercenaire qu'un suppot du Chaos.

La fidélité c'était l'unique qualité du Repurgateur...et quelle qualitée !

Il gravit plus vite dans la neige toujours tombante et se rapprocha de son patriarche , lui posant une main sur son épaule.

_Courage , nous serons bientôt arrivé , il me tarde de me degourdir les bras contre les Engeances de l'Ombre. Dit-il en Khazalid avec un petit sourrire qui ne se refletait pas dans ses yeux.

Profitant de l'acalmie, le vétéran retira son haume pour sentir la fraicheur de la neige sur son visage. Malgrés la tempête, il faisait chaud sous sa lourde armure de gromril et le brise-fer transpirait à grosse goutes.

Tandis que Khima intérrogeait la nouvelle venue, Olaf sortit un tonnellet de son baluchon et bu un long trait de bière naine. Maintenant qu'il s'était désalteré, il remit son haume et s'approcha de la prêtresse des runes.

Mes salutations, je suis Olaf Svaardsson du Clan Neanias. Nous accompagnons nos frères du Serment de la Vengeance pour stoper des orcs qui tentent de pénétrer dans notre royaume. Que fais-tu ici seule, n'y a-t-il pas de guerriers de ton clan pour t'accompagner?
Au fait, ne prêtez pas attention à cet humain avec un chapeau en cuir...il est légèrement "succeptible". dit-il à voix base, en vérifiant que personne n'hépiait ses dires.

<<Mordrep avait noté l'attitude de l'humain, sans pour autant comprendre qu'elle était à son égard.
Il regrettait déjà de ne pas avoir son vieux compagnon Urvan ici, il serra d'ailleurs les mâchoires à cette pensée.
Avançant lentement tâtant la neige du bout de sa Hallebarde il arriva à hauteur du groupe discutant avec la demoiselle.
Il leurs adressa à tous alors, en profitant du ralentissement pour ranger sa Hallebarde courte et sortir son fusil, le laissant enveloppé dans son Kilt vert.>>

- La nuit sera bientôt noire, il faut à tout prix se hâter de sortir de cette corniche ou nous subirons les premières pertes. Je serait d'avis ensuite d'organiser une pause aussi tôt que possible, car une fois revenu sur un terrain large, nous aurons sûrement à nous garder des lynx dent de sabre, je connais la montagne depuis mon enfance.
De plus, la neige ne stoppe pas, les risques de subir une avalanche augmentent de minutes en minutes.

<<Puis il rajouta en Kazhalid ;>>

- Dans peut de temps nous seront tous du même clan mes frères, celui de la victoire.

<<Mordrep repris ensuite sa marche, ne relâchant pas son regard du ciel et de la falaise au dessus d'eux, fusil sur l'épaule.>>

Jadis observa bouche bée le repas et l'équipement de trouvant dans la cavité qui s'offrait à eux.
Cela doit appartenir au mort de tout à l'heure! Il a été bloqué par la neige, comme nous, et a rebroussé chemin pour voir s'il y avait une autre solution que de passer par là!
Il s'approche des diverses fournitures réunies sur le sol.
Il y a là de quoi abriter l'un d'entre nous pour ceux qui n'auraiant pas de tente, un peu de bois -bien que je doute qu'on arrive à faire bruler quoi que ce soit vu la couche de neige à nos pieds-, une hache si besoin est. Ainsi que plusieurs fioles et un petit tonneau.
Jadis se frotta les mains avec un air gourmand.
Bon bah on va pouvoir se restaurer et se reposer! Je me charge de monter la tente qu'a laissé ce pauvre nain, si elle est bien à lui!


Edit : Message à modifier, il n'y a pas de quoi abriter plusieurs d'entre vous car c'est une tente pour un seul nain, le bois on peut le laisser, pas de hache, pas de sac à dos et il n'y a rien de mangeable à part peut être le tonnelet ^^.

Aki

Alors que Jadis tentait déséspérement monter un abris, Olaf se rua sur le petit tonneau pour vérifier ce qu'il contenait...c'était sûrement de la bière!

Snif, snif!...Hey! C'est bien de la bière! le nain ramassa un vieux boc qui trainait et se servit, il tendit ensuite le tonneau en direction de la troupe Quelqu'un a besoin de réconfort?

Bon, vu qu'on est bloqué ici, que faisons-nous à part nous partager ces quelques breloques? Va bien falloir qu'on trouve comment atteindre la vallée au plus vite!

leelou les regarda tous un par un de facon curieuse en se disant, qu'ils avaient l'air d'être brave et qu'elle ferait mieux de les accompagner. D'autant qu'ils avaient l'air d'avoir de quoi se rassasier et que cela lui permettra d'économiser ses biens. Elle s'eclaircica la voix et répondu de facon audible à Olaf Svaardsson du Clan Neanias :

- Je viens de vous dire que je suis ici par vengeance et que j'aimerais vous accompagner dans votre quête. Les guerriers de mon clan n'ont pas pu m'accompagner car ils sont déjà en prise contre d'autres clan orques. Ils m'avaient interdis de partir seule, mais je ne suis pas dur genre à écouter des ordres. Cependant je vous avertis je n'ai pas de quoi payer. Il serait tant de partir car nous risquerons d'essuyer une sérieuse tempête de tous les diables

Par ces mots, elle se retourna, et se metta en fin de file pour les accompagner.

Florencio examina le roc de près.

-Hum.

Il sortit deux pieux de métal.

-Je savais que j'en aurais besoin un jour.

Expliquant leur présence.

-Il est extrémement rare de voir un vampire en Tilée. Mais quand parfois il en vient un, malgré l'appat du gain, peu de mercenaires sont prêts à prendre le risque.

Montrant la croix symbolique sigmarite sur le pieu.

-Ils ne m'ont jamais servi, une fausse alerte. C'était une simple manoeuvre d'intimidation sur mon employeur. L'imbécile qui se faisait passer pour une créature de la nuit a failli mourrir de peur. L'idiot. Il a sauté par la fenêtre pour s'échapper.

Posant le premier bien en hauteur contre le roc, il l'enfonça dfficilement par petits coups de marteau.

*Oui bon, un marteau de guerre ce n'est pas trop fait pour ça.*

Il entreprit maladroitement d'escalader le roc à l'aide de cette prise mais n'y arriva pas et tomba lourdement sur le sol. Après quelques instants, il se releva et retira encore plus difficilement le pieu.

-Ce n'est pas escaladable semble t'il ?

Khima remplit sa gourde de bière,puis regardait si il n'y avais rien d'autre mais il ne trouva rien

-Nous ne pouvons pas tous nous reposer,on ne sait pas quelle espèce de bête ou autres trainent par ici...

Leelou entendit la demande de Mordrep Kurdum, et s'asseiya en attendant que des blessés viennent vers elle. Il est vrai qu'elle avait la capacité de lier une rune à un membre pour ensuite attendre que l'effet se déclenche, ce qui libère alors toute la puissance de la rune.

- Allons allons approchez je vous attends, montrez moi vos pieds. Je vous préviens je ne soignerais pas des pieds sales. et je vous avertis que mes rûnes ne sont pas magiques. Je hais la magie ce sont des chimères, des trucs qui servent à rien alors que mes rûnes, elles, elles sont spéciales.

Tous les nains ici présents s'affairaient à creuser leurs trous et pas un la regardait s'égosillée. Quels muffles, ils ne me regardent même pas.

- Je peux vous proposer une rûne de vol aisé, qui permettra l'allégement de vos armures de 50 kilos de son encombrement. Ou sinon une rûne etherée qui vous permet de rendre la douleur insensible sur vos membres. D'ordinaire je le fais à 20 po mais pour vous je vous ferais moitié prix. Car les éléments qui me permettent de le faire sont chers.

Le Repurgateur donna un coup d'oeil en direction de Leelou , puis il fronça le nez de dédain et se détourna d'elle et du petit groupe.

Il enleva sa lourde cape doublée de fourrure et extripa de derrière son dos son épée.

Le fourreau avait une prise reconfortante et sa main trembla légerement quand elle se dirigea vers sa poignée en cuir.
D'une main ferme il dégaina , son épée parfaitement équilibrée , il donna quelques coup de taille dans le vent et avant que qu'il se mette à transpirer il arreta et rengaina sa lame , il passa le fourreau dans sa ceinture pour la garder à portée de main et remis sa lourde cape par dessus.

_Je reste debout. Dit-il d'une voix forte et inflexible.

Belk s'était tenu à l'écart lorsque le roc était apparu au groupe. Il restait en retrait, observant les faits et gestes de chacun et spéculant sur les futurs affrontements qui éclateraient sans doute, tôt ou tard, dans la vallée de Krunk. Mordrep le tira de ses pensées. L'ingénieur invita les Nains alentours de s'enterrer sous la neige de manière à maintenir une température ambiante relativement confortable. Mais cette proposition ne réjouissait guère le Prêtre des Runes. Au lieu de cela, il se blottit dans un coin de la cavité tellurique et s'enroula dans son manteau de fourrure. Seule sa main, tenant toujours son bâton runique illuminé, dépassait de la cape de peau. La puissance de Thurisaz commençait à chanceler : la lumière diffuse faiblissait à vue d'œil. Aussi, Belk prononça quelques mots en Khazalid pour ranimer la rune. Le Nain ferma les yeux. Il eut juste le temps d'entendre, outré, Leelou vendre ses services ; elle faisait honte à son peuple et à Valaya. Mais il n'eut pas le temps d'y réfléchir : déjà l'étreinte du sommeil l'avait saisi....

Ayant rapidement observé les lieux après que Leelou eut fait son marché, le brise-fer se dirigea vers le rocher qui bloquait leur chemin. Puisque l'obstacle ne pouvait être contourné et que la troupe s'installait pour la nuit, il s'accroupit contre la paroie et posa son bouclier sur le sol. Il déballa alors son baluchon et en sortit son tonnelet de bière et une pièce de viande fumée.
Tandis qu'il pick-niquait, Olaf s'adressa à Belk, le maître des runes du clan.
-Dites-moi maître, vos runes pourraient-elles nous permettre de détruire ou de déplacer ce rocher? Cette situation m'exaspère, nos frères ont besoin de nous et nous sommes bloqués ici, impuissants. Il faut absolument trouver une solution!

Belk s'extirpa douloureusement du sommeil lorsqu'Olaf, le Brise-fer, lui adressa la parole. Il mit une dizaine de seconde pour saisir les mots du guerrier et les comprendre. Et il rit :

Vous avez-vu la taille de ce machin ? Jamais aucune rune ne pourra le faire moufeter ou imploser, ou je ne sais quoi... Je crois bien que mes pouvoirs sont bien limités en ce moment. Mais, ne vous en faites pas, nous arriverons sur le champ de bataille en temps et en heure.

Florencio fit du bout du pied et un petit tas de neige.

-J'espère bien, ça me réchaufferait de balancer mon marteau contre quelques adversaires impies.

Il shoota dedans de dépit. Son coups fut un peu trop fort, envoyant de la neige sur Olaf.

-Hum, pardon.

Hark se rapprocha du brise-fer. Décidant d'avoir au moins un ami à qui parler plutôt que rester seul.

Il se mit sur ses talons et lui proposa un petit paquet.

_Mes dernières feuilles de tabac... Je n'aimerai pas qu'elles tombent au main des Engeances de l'Ombre.

Il hésite un instant il ajouta :

_Un excellent tabac du Moot , par contre...avez-vous le moyen d'allumer cette fichu pipe par ce temps desastrueux ?

Il dirigea ses yeux vers Jadis et Belk qui semblaient pret à s'endormir.

_Il en reste assez pour trois. Dit-il avec un petit sourrire d'encouragement à l'égard de ses compagnons.

Belk fut une nouvelle fois dérangé dans son repos. Il ouvrit les yeux pour voir de quoi il en retournait. Hark, non loin de son précédant interlocuteur, tendait dans sa direction quelques feuilles de tabac avec un sourire bienveillant. Le Prêtre des Runes fut déconcerté par cet acte de générosité mais ne laissa point paraître sa surprise. Au contraire, hochant la tête en guise de remerciement, il attrapa une fane de la si précieuse plante et entreprit de la préparer. Une fois roulée, Belk pointa un doigt sur un des deux bouts et incanta une rune inférieure d'Ansuz. Le tabac s'embrasa légèrement et libéra de petites volutes de fumée. Il mit la cigarette improvisée au coin de sa bouche en faisant attention de ne pas brûler sa barbe fournie et proposa son aide à ses comparses pour allumer les leur.

Alors que les autres étaient occupés à siroter de la bière, fumer ou d'autres activitées de repos, Theon était occupé à examiner le rocher. Un tel roc a peu de chances d'être arrivé ici en dégringolant naturellement. Il y a peut-être quelque chose de pas très amicale là haut.

_Excusez moi, dit-il en se retournant vers la troupe, je doute que ce rocher soit arrivé ici tout seul, et je ne pense pas que ce soit une marmotte qui ai eu l'idée de pousser un tel roc sur un chemin. Qui que ce soit il est peut-être encore dans les hauteurs ou pas loin derrière cet obstacle.

Le brise-fer lançait un regard brulant de rage à Florencio tendis qu'il balayait du revers de la main la neige qui avait attérit sur son armure.
-Mouais...un humain en sauve un autre...viens-là Hark, j'ai un briquet dans mon sac. Laisse moi juste le temps de le sortir et on se fera une bonne boufarde, rien de tel pour vous réchaufer l'âme d'un guerrier.

Il chercha quelques instants puis tendit l'objet au répurgateur, avec un sourir entendu. Il bourra alors sa propre pipe avec ce tabac du moot, récupéra son briquet et tira une longue bouffée. Après avoir savouré quelques instants de calme il se tourna à nouveau vers son compagnon, l'air grâve.

-Tu crois que Theon a raison? Il se pourrait bien que quelqu'un ou quelque chose traine dans le secteur, en tout cas je l'espère. J'préfère affronter un troll que la fureur des montagne!

Jadis fut tiré de son repos par le son de son nom. Il se dégagea de sa cape et regarda autour de lui. Il était bien mieux qu'avant son repos: il ne sentait plus le froid, et son sommeil de quelques heures avait été réparateur. Il comprit qu'Hark lui proposait un peu de tabac. Il accepta avec gratitude, Belk en faisant de même à côté. Ce dernier alluma le tabac de ses voisins, s'aidant de l'une de ses runes. Jadis fuma silencieusement pendant quelques minutes puis se tourna vers les autres.

Eh bien, dit-il avec un accent nanesque prononcé, nous voilà bloqués ici. Il fuma un peu. Je te remercie Hark, c'est aimable à toi de nous remonter le moral! Avec un sourire cette fois. Je suis sur que quand le jour se lévera nous trouverons une solution. En attendant je vous conseille de dormir: je viens de le faire et c'est très réparateur, malgré le froid.

Maintenant qu'il le disait, il ressentait à nouveau le froid. Il maudit intérieurement sa langue de l'avoir ramené brutalement dans l'enfer glacé qu'ils traversaient. Tyrion s'adresse à eux à propos du rocher qui les bloquait.

Hmmm, dit il en hochant la tête. Tyrion, je te propose d'élucider ça quand on y verra un peu mieux, et je réitère ma proposition de dormir jusqu'au levée du jour. J'allais dire jusqau'au chant du coq mais je doute qu'un coq puisse survivre ici, ajouta t il dans une note d'humour qui résonna sombrement aux oreilles des nains et compatriotes humains présents. Personne ne rit, la tension était palpable. La journée avait été rude, et maintenant qu'ils pouvaient se reposer, c'était à cause de l'impossibilité d'avancer plus loin...

Le tabac finissait de se consumer. Jadis jeta ce qu'il en restait pour le voir s'éteindre dans l'épais tapis de neige. Ils étaient bel et bien coincés. l n'avait qu'une idée, bien définie, comme si son cerveau y avait travaillé durant son sommeil. Il regarda ses compagnons. Leurs visages étaient sombres, et aucun n'élevait la voix. Incapable de leur remonter le moral d'une quelconque manière, Jadis se traina un peu à l'écart et se tourna sur le côté, sa cape à nouveau sur lui. Il se laissa tomber dans un monde moins sombre...

Mordrep qui avait réussis à se reposer quelques heures, ouvrit un oeil à l'entente de certaines discutions.
Le vieux nain se leva de son trou, se secoua un peut et fit voler son kilt afin de le débarrasser de la neige. Ce dernier était mouillé, pas question de ré-emballer son fusil dedans.
Il regarda le groupe de nains du coin de l'oeil en sortant sa pipe, et adressa d'un sourire malicieux :

- En tout les cas, quoi qu'il y est dans les parages, avec tout ce tabac qui fume tout les yétis des environs sont informés de notre présence voyez vous... Puis ce que certains on hâte de combattre cela leurs en donnera le loisir niehuhu.

Puis le nain rajouta avant d'allumer sa pipe :

- Alors un peut plus ou un peut moins...

Mordrep se tourna ensuite face au vide, le vieux nain tirait sur sa pipe et se mit à entonner un vieil air nain traditionnel. Mordrep pensait à son vieil ami Urvan qui aimait à jouer de sa cornemuse face au vent en montagne.
A la fin de la chansonnette il fit face au groupe, retira sa pipe de sa bouche et adressa à tous, en regardant en direction du Brisefer :

- J'ai une solution à vous proposer. Cette idée est aussi folle que moi, et les risques sont absolus, nous déclencherons sûrement une avalanche, la corniche s'éboulera peut-être, nous seront repérés, cela, entre le tabac et la rune lumineuse dans la nuit ça ne changera pas grand chose, mais si ça fonctionne, nous marcherons vers Krunk dans une heure.

- Nous sommes plusieurs gros bras ici... <<Montrant de sa pipe les nains et Florencio, ainsi que le répurgateur mais avec hésitation>>

- Si vous arrivez à lever de quelque centimètres ce roc, et à y mettre des cales, nous trouverons quelques grosses pierres dans le coin, si vous reculez de 300 mètres sur la corniche ensuite, j'y placerais deux grenades explosives, j'en possède trois. Je pense que cela peut le faire basculer. Ce sera à moi de courir assez vite pour éviter l'avalanche qui fera suite.
Si cela fonctionne nous n'aurons qu'a patoger dans quelques mètres de neiges pour franchir ce point...Si la corniche résiste.

Mordrep replaça sa pipe dans sa bouche et tout en réajustant son kilt vert mouillé autour de sa taille, chercha un instant Karak Alaric dans la foule, puis il adressa en guise de proposition, d'un sourire immense :

- Alors... êtes vous aussi fou que moi ? Si oui, au boulot !