[RP] Le village nain

Todin arriva à la taverne dont on entendait très peu de bruit, ce qui pour une taverne ne présageait pas de bonnes choses, tard après les autres membres du groupe ...
Sa chevelure rousse était sans dessus dessous et il avait l'air plus joyeux et bien portant qu'au cours des heures précédentes. Sa guérison avait du être plus plaisante que de coutume !

Il écouta d'abord ce que disait ses camarades en buvant une bière.

Ensuite, il se rapprocha de Florencio et lui chuchota :

Un doigt de Sulamanche, c'est assez rare ! Bien taillé et serti sur une chaine en argent, vous pourriez en faire un porte-bonheur ou du moins le revendre à un bon prix. Il se pourrait même que leur légendaire résistance puisse vous protéger dans les coups durs, qui c'est !

Après quoi, il s'adressa aux autres :

Je pense que pour l'instant rien ne nous indique que ces braves Nains aient l'intention de nous freiner en quoi que ce soit. Ils ont décidé de se tenir à l'écart de la vie belliqueuse et c'est leur droit.
Nous n'avons pas le droit de les empècher.
Par ailleurs, vous pouvez pensez ce que vous voulez mais je ne vais pas me cantonner à me barricader dans un petit village sans fortification au lieu d'aller au devant de ces satanées Peaux-Vertes.
Enfin, quoi, par Bugman ! Nous n'allons pas nous terrer comme des rats.
Prenons la nuit de repos que l'on nous offre et boutons ces créatures du Mal hors de nos frontières, ou du moins ce qu'il restera d'eux !

Il regardait autour de lui pour voir ce que son discours fesait comme réaction sur son auditoire, espérant que son clan au moins se rengerait à l'avis du plus ancien en l'absence du Patriarche.

Florencio écouta attentivement et manqua de bondir sur la remarque de l'absence de bellicisme mais se reprit.

-Ahem. Je ne suis pas certain qu'il soit du droit de quiconque de vivre à l'écart des combats. Peut-être qu'un jour quelqu'un le pourra mais j'en doute sérieusement.

Il posa ses mains à plat sur la table.

-On peut entourer sa maison de barrière et faire comme si le monde extérieur n'existait pas... Mais un jour, il vient frapper à votre porte et vous pouvez toujours essayer de le refouler avec votre balai cela ne fonctionnera pas !

Il sourit malicieusement.

-C'est en cela que la vie de combattant est belle, faites en sorte d'être toujours le plus fort : battez-vous au centre de la mélée, sous les tirs d'artillerie et de magies diverses, vous aurez plus de chance de vivre longtemps que ceux qui vivent loin des armes.

Et poussant plus loin son raisonnement.

-C'est pour cela que, par exemple, la Tilée craint beaucoup moins que l'Empire ou le Royaume Nain : nous autres, nous ne nous endormons jamais !

Il désigna d'un geste discret les habitants du village.

-Ceux-là sont prêts à mourrir sans même donner d'autre résistance qu'un reproche effaré à leurs meurtriers, comme si on leur faisait une injustice alors que précisement, il n'y a pas de Justice. Je les connais bien, ces gens là, ce sont parfois mes employeurs. Vous pouvez toujours les défendre de tout votre coeur et de toute votre âme, vous vous rendez simplement un service à vous même et non pas à eux.
La vérité vraie, c'est qu'il n'y a rien de plus dangereux et mortel que d'être en sécurité. C'est leur droit si vous êtes du genre à hausser les épaules quand un camarade vous annonce qu'il part se faire tuer sans même avoir les moyens de se défendre, sinon ça ne l'est pas.

Jadis écouta la conversation qui se faisait à l'écart du vieux nain qui commençaiit à s'agiter pour entendre.
Florencio, ce que vous dites est à mon sens très intéressant et très intelligent. Mais nous devrions remettre cette discussion à plus tard. Nous devons prendre une décision. Je vous ais déja donnés mon avis: nous devons passer la nuit ici, attendre de voir si ces mineurs reviennent et réagir en conséquence. Et nous devons aussi pousser le vieux à nous révéler ce qu'il nous cache, surtout à propos de la "région interdite".
Prenons du repos pour l'instant voulez vous? Mais ne repoussons pas trop notre départ, au moins pour le clan, car nous ne décidons pas pour tous les guerriers de notre expédition bien sur: nous devons avancer vers la forteresse, c'est notre but ultime, et si nous y arrivons avant les orques et autres créatures destructrices, nous pourrons y organiser une défense!
Jadis regarda les membres de son clan un à un, ainsi que Mordrep et florencio qui se remettait à siroter sa bière.
Vous êtes avec moi? dit il, avec un air de défi dans l'oeil.

Florencio leva les yeux au ciel en secouant la tête, déçu du peu d'interêt pour ce qu'il venait de dire, puis repris un air sérieux.

-C'est à mon sens la meilleure option. Je ne m'amuserais pas non plus à défendre un village mal protégé et rempli de gens plus susceptibles de m'encombrer -même en voulants m'aider- plutot que d'autre chose.

Il commença a faire des dessins imaginaires du bout du doigt sur la table.

-En revanche, là où je ne vous suis pas, c'est au sujet de s'enfermer dans une forteresse.

Il sourit, dévoilant la partie supèrieure de sa denture jusqu'aux canines.

-Vous venez pour protèger ces gens alors qu'ils auraient plutôt besoin d'un bon coups de pieds dans l'arrière-train, soit.
Mais faites-le jusqu'au bout dans ce cas ! Que comptez vous faire ? Foncer dans une vieille forteresse abandonnée et peut-être remplie de créatures hostiles ? Et ensuite vous y enfermer peureusement en laissant une meute de bêtes déchainées libres de ses mouvements dans toute la vallée ?
Un peu de pugnacité que diable ! Ou alors est-ce comme face au salumananche ? Vous parlez de fuir et vous lui foncez dessus sans me laisser le temps de comprendre ?

La porte de la taverne s’ouvrit brusquement pour laisser apparaître une Naine au regard empli d’espoir.

S’approchant prestement de la tablée elle s’exprima au groupe d’aventurier :

« C’est vrai ce que l’on dit ? Vous venez des contrées voisines pour nous protéger d’une menace ? »

Sans laisser quiconque répondre, la nouvelle arrivante enchaîna en pointant le chef du doigt :

« Je vous l’avais dit ! Il avait raison !! Et vous ne l’avez pas cru !!! »

Puis, se retournant face aux guerriers :

« Ou est-il ?! Pourquoi n’est il pas avec vous ?! »

La naine avait perdu tout sang froid et c’est dans un silence de mort que sa voix chancelante s’arrêta de raisonner.

Après plusieurs minutes sans aucun bruit, Todin se décida à prendre la parole.

Pardonnez moi mais j'ai l'impression que il y a quelque chose de bizarre.
Qui est ce "Il" ? Qu'aviez vous annoncé auparavant ?
Je ne suis pas contre le fait de vous défendre puisque c'est notre but initiale que de mettre à mal la menace Orcs mais je voudrais quelque réponse auparavant.

Todin attendit que la Naine soit en état de lui répondre ...

Florencio se contenta de lever un sourcil, sentant qu'il se passait des choses mais qu'il manquait d'information.

Il affecta de regarder l'état des vieux pieux dont il s'était servi pour tenter d'escalader le Sulamanche. Il sortit un chiffon et les astiqua d'un air songeur.

*J'ai eu de la chance qu'il ne se réveille pas à ce moment là tout de même...*

Lorsque Todin eut posé ses questions à la nouvelle arrivante, Olaf lui glissa discrètement à l'oreille
-Heu, "il" j'crois que c'est l'glaçon qu'on a croisé en chemin...j'suis pas sûr que ce soit une bonne idée d'le leur dire maintenant, attendons d'voir ce que cette naine pourra nous apprendre.

Après quoi, il se tourna vers les autres membres de l'expedition et vit sur leurs visages que tous en étaient déjà arrivé à la même conclusion quand à l'identité de ce mystérieux "il".

Olaf, qui semblait perdre patience, s'adressa à voix basse à son patriarche, mais suffisement fort pour tous ses camarades de route puissent entendre
-Alors Arnf, qu'est-ce qu'on doit faire? On s'attarde ici pour enquêter sur cette histoire sans intérêt ou on fonce en direction de la vieille forterresse pour établir des positions défendables? Ma hache commence à rouiller...

Passablement en mal d'action, le brise-fer se retourna vers la naine et lui aboya dessus
-Pis d'abord, qu'est-ce que "machin" avait prédit que ces moutons n'ont pas cru?! Que quelqu'un me réponde sur le champ ou par Valaya, je sens que je vais m'énerver pour de bon!!!

Belk avait suivit les événements récents un peu en retrait. L'entrée soudaine de la Naine était pour le moins inattendue mais il ne laissa pas paraître sa surprise. Seule la réaction assez animée de Florencio à propos de la forteresse lui fit prendre la parole.

Vous vous trompez mon bon ami. De deux choses l'une. Premièrement, la forteresse est objectivement LE point de contrôle sur toute la vallée. De cet endroit, toutes les actions peuvent être menées partout dans Krunk ; les Orks l'ont bien compris. Par ailleurs, et ce sera mon dernier point, un Peau-Verte écoute son instinct, pour le moins belliqueux soit dit en passant. Pensez-vous qu'il refuserait un combat si d'avenir il passait sous les remparts en recevant une flopée d'insultes en Khazalid ? Pour moi, c'est clair, la forteresse est le lieu clef de la défense de la vallée.

Il se tourna vers Olaf, soucieux.

Je pense que vous êtes dans le juste. Nous devons en finir avec ces cachotteries et partir rapidement pour la forteresse.

Florencio resta songeur.

-A vrai dire, si nous étions en Tilée et que ces peaux-vertes soumises aux choix étaient sous mes ordres, elles n'iraient pas, quite à ce que j'en tue quelques unes moi-même pour faire comprendre le messsage.

Il haussa les épaules.

-Je suppose que si elles passaient effectivement près des remparts, elles chargeraient... A conditions qu'elles y passent bien entendu.

Il se redressa et croisa les bras.

-Et quand bien même elles y passeraient, qu'est-ce qui les empêche de nous assièger pûrement et simplement ?

Il fit un geste du bras droit pour désigner un horizon fictif.

-Il y a du bois et de la pierre partout autour de nous, cela suffit pour leurs machines de siège.

Il recroisa les bras et commanda à manger.

-Avant que nous ne soyons assiègés et que la faim nous contraigne à manger Alaric, je préfère faire un bon repas.

Olaf semblait agassé par les remarque de l'humain et lui retorqua
-Ici on est pas en Tilée, on est dans nos montagnes. Je ne sais pas comment les zumains se battent mais pour nous, se faire assièger est la meilleur façon de s'assurer la victoire. Les peaux-vertes seront obligés de passer près de la vieille forterresse et ils ne nous éviteront pas, c'est dans leur nature et jamais ils ne parviendront à nous en déloger si nous y prenons positions. N'oubliez pas que le nombre est de leur côté, si vous voulez vous faire encercler en rase campagne, libre à vous mais ce sera sans moi. Et puis, excusez-moi, mais qu'avons-nous à craindre de leurs "machines de guerre"?

Il fixa alors le prêtre guerrier, l'air sévère. Le longue-barbe n'appréciait vraiment pas que l'on remette en cause les stratégies naines.
-C'est pas en gambadant bêtement dans la prairie comme des elfes qu'on arrivera à quelque chose. Nous sommes trop peu, un assaut à découvert risquerait de sceller notre destin alors qu'il ne faut pas beaucoup de guerriers pour tenir un rempart contre une multitude d'ennemis.

Jadis écoutait l'échange. Les répliques fusaient très rapidement, la tension était palpable.
Il est sur qu'organiser une défense à l'intérieur de la forteresse parait intéressant, mais il ya plusieurs facteurs à prendre en compte: déja, nous devons arriver avant les orques là bas, et deuxièmement, elle est peut être en ruine. Cela nous fournirait quand même une protection mais moins importante qu'une forteresse intacte bien sur. Après une tête de pont dans la forteresse et le reste des troupes organisés en petits bataillons pour faire de la guérilla sur les lignes orques, pourquoi pas?
Je vous propose d'en parler plus au calme, de prendre congé de ces gens et d'aller passer une bonne nuit de repos.
Le regard qu'il jetait à Olaf, Belk, Todin, Arnf et les autres de son clan était sans équivoque: il voulait qu'ils se réunissent seuls, le clan Neanias, à l'abri des oreilles indiscrètes.

Florencio haussa les épaules.

-Comme je l'ai dis, mon avis n'a pas d'importance mais non, chez nous en Tilée on évite de se retrancher ou de laisser le champs libre.

Il regarda autour de lui.

-C'est comme ici, incapable de bouger. Mais peu importe que vous refusiez de me parler comme à un égal sous prétexte que ce sont des territoires nains ou que vous connaissez l'ennemi. Je ne crains pas pour ma vie face à ce genre de créature, je vous suivrais quoi qu'il arrive. C'est ironique mais je vous démontrerais certainement que le monde a changé.

Deux nouveaux individus entrèrent dans la taverne afin de se saisir de la perturbatrice mais celle-ci ne l’entendait pas de cette oreille :

« Lâchez moi ! Je veux savoir ! »

Le chef nain semblait encore plus mal à l’aise et s’apercevant que les invités parlaient de plus en plus entre eux il décida d’intervenir :

« Ne vous occupez pas d’elle, depuis que son mari est parti du village sur un coup de tête elle ne se contrôle plus. »

Voyant que les murmures ne cessaient, il continua d’intervenir :

« Je vous assure que ce n’est rien… »

« Rien ?! Mon mari a disparu et ce n’est rien ?! »

La naine ne pouvait plus se contenir et c’est dans un violent coup au visage du chef que le silence se fit à nouveau.

« Vous l’avez traité de fou quand cette histoire de fumée est apparue ! Il avait raison de se méfier et c’est dans une incrédulité sans borne que vous l’avez laissé partir pour le col ! »

Puis la naine se mit à implorer le groupe de combattant vers lequel elle était maintenant tournée.

« Dites moi que c’est mon mari qui vous envoi ! Dites moi qu’il va bien ! Pourquoi n’est il pas avec vous… »

Et c’est dans de profonds sanglots que la naine s’interrompit.

Je me precipitais vers le village plein de crainte :j'avais du partir avec du retard et j'avais craint d'arriver trop tard après avoir trouvé le cadavre du nain gelé sur le chemin, et c'est a moitié exténué que j'arrivais au village nain ,
je demandais alors a une naine près de la porte:
" Des guerriers sont-ils passé par ici recemment ?
la naine acquiesca et dit :
" Ils sont meme encore a la taverne si vous voulez savoir , mais qui etes vous ??"
Je me précipitais vers l'auberge sans lui repondre , et ouvris la porte a temps pour voir mes compagnons se faire prendre a parti par une naine particulierement echauffée ...

HRp: essayer de m'intégrez comme vous pourrez , désolé pour le retard , merci d'avance

Mal à l'aise, Jadis et les autres avaient cessés de s'entretenir sur la défense de la vallée. Ils n'osaient pas regarder la naine en face. Puis Jadis prit son courage à deux mains, étant le possesseurs des derniers restes du mari de la naine.
Vous m'en voyez bien désolé, mais je crains que votre mari n'ait été pris par la montagne. Je peux vous remettre ceci.
Il s'approcha d'elle et lui tendit l'alliance du nain mort dans le col qui les avait mené à la vallée. L'anneau semblait beau.
Mes condoléances, ajouta sincèrement Jadis avant de reculer de quelques pas respectueusement pour laisser à la naine la dignité de pleurer en paix.

Après quelques instants de réfléxion, somme toute assez bref parce que après c'est fatiguant, Todin prit le partie de soutenir la décision la plus sage.

Il nous faut partir et je serais même du parti dès l'aube pour la forteresse.
Nous aurons tout loisir de rencontrer les mineurs quand les Orcs se seront écraser contre les murailles de nos défenses !
Allons tous dormir et tenez vous prêt une heure après le lever du soleil !

Il avait dit sa dernière phrase sur un ton qui n'appelait pas de remarque.

Il fallait prendre des décisions et Arnf ne semblait pas très présent.
Le Partriarche avait du être plus éprouvé par le combat qu'il ne voulait bien le montrer.

Olaf en avait assez d'attendre que les autres se décide, aussi l'intervention de Todin tomba au bon moment. Il savait que la journée à venir serait longue et fatiguante, il fallait d'abord atteindre la forterresse puis mettre en place les défenses. Ne voulant plus perdre de temps, le brise-fer termina sa chope, ramassa ses affaires et se dirigea vers la veuve éplorée.
-Sincères condoléances. Je sais que c'est une épreuve pénible mais sachez que vous pouvez compter sur nous pour venger votre mari. Maintenant, il nous faut prendre du repos car demain nous auront besoin de toutes nos forces. Pourriez-vous nous indiquer un endroit où dormir, s'il vous plait?

Tandis qu'il parlait à la naine, Olaf l'emmena légèrement à l'écart des autres habitants du village qui voulait l'empêcher de parler. Lorsequ'il fut certain que nul ne pourrait l'entendre, il ajouta à voix basse
-Accompagnez-nous. Nous pourrons discuter plus tranquillement de ce que vos "amis" cachent. Faites que votre mari ne soit pas mort en vain.

Après quoi, il fit un signe de la tête à ses camarades, les enjoignant à le suivre, et se dirigea vers la porte de la taverne en entraînant la naine à sa suite.



[hrp : si MJ pas content, Olaf changer post]

Le chevalier allait signaler à la nouvelle arrivante que son mari avait succombé au froid des montagnes et qu'il avait désormais la consistance d'un glaçon mais Jadis intervint le premier avec un peu plus de tact.

Theon vit un nouvel arrivant nain entrer dans la taverne et celui-ci leur adressa un signe, un retardataire, pensa le chevalier qui tira un tabouret à côté de lui et invita d'un geste le nain à s'y asseoir.

Puis il ajouta discrètement à OLaf, qui venait de compléter les paroles de Jadis :
_La venger de quoi ? Il est mort de froid à cause de la montagne, à moins qu'il n'ai forniqué avec un yéti.
Il n'avait visiblement pas parlé assez discrétement, à en juger d'après les regards que lui adressait ses compagnons. Heureusement la naine ne semblait pas l'avoir entendut, car celle-ci avait été écarté par Olaf, qui semblait vouloir obtenir quelques éclaircissements.

Florencio regarda son caillou en sifflotant.

*Si ça se trouve, c'est le salamumanche qui l'a tué. Hors de question de lui en donner un morceau !*

Il bougea en déplaçant sa chaise, elle émit un grincement déplaisant.

-Excusez-moi Khima, auriez vous un peu de temps pour une affaire runique. J'ai un caillou à tailler et sertir dans une chaine d'argent.

Il regarda dans son libram.

-Di la roche... Oui donc je chercherais à graver une rune de pierre dans ce morceau de samulamanche. Pourriez-vous vous en occuper à l'aide du tailleur de pierre ? J'ai l'argent.

Déboussolé par tout ce qui se passait dans la Taverne,Khima entendit qu'a moitié la demande de Florencio.

-Euh...Oui? Quelle runes? Une rune de puissance d'attaque ou peut-être une rune de protection ?J'en ai plein des runes...

Kronir vit que ces compatriotes avait enfin prit positions , et il décida de regler les préparatif de voyage , ils allaient devoir partir tot le matin , et cela le derangait de laisser les naines du village a leur triste sort
Il demanda a l'aubergiste si il y avait un quelquonque arsenal dans le village et l'aubergiste aquiesca :
" Oui , il y en a bien un , mais il faut demander au doyen du village de vous l'ouvrir , il habite sur la grande place "
Kronir decida alors de rassembler ses compagnons le plus rapidement possible , il avait quelque chose a leur proposer ....
Kronir rassemebla les 4 nains qui été resté dans la Taverne : Todin , Olaf , Belk et Jadis , et leur annoca son plan :
"On est tous d'accord que la forteresse est un point stratégique , néanmoins, nous ne sommes pas assez nombreux pour nous assurer de ne pas se faire encercler , aussi je propose que quelques un reste au village et font ce qu'ils peuvent pour l'amenager et preparer tous le monde au combat pendant que groupe par en éclaireur a la forteresse.."

Hrp: si MJ pas content pour le coup de l'arsena , mwa arranger sa !

Florencio paru décontenancé par la response du prêtre. Il regarda soucieusement dans son libram.

-Et bien euh... par définition une rune de pierre est une rune défensive, si j'en crois ma piètre expèrience.

Il tourna les pages.

-A moins que vous en ayiez plusieurs versions bien sûr ! Si c'est cela, je pense que vous devriez juger vous-même de laquelle sera la plus efficace.

Il posa son caillou sur la table.

-Je vous laisse décider mais n'y allez pas trop fort, c'est du slumalanche mais je ne voudrais pas que cela se désagrège sous l'effet d'une rune trop puissante.

Il posa un morceau de toile et un morceau de fusain.

-Un simple dessin pour le tailleur suffira.

Euh oui excusez moi, j'étais dans mes pensées.. Je vais voir ça de plus près.

Khima prit le morceau du sumalanche et l'examina longuement.

Il devrait avoir moyen de poser une rune de protection sur votre objet,mais il risque de casser lors de la taillade, car il est assez abimé.
A vous de décider soit vous voulez absolument une rune dessus mais vous n'êtes pas sur de le revoir ou soit vous garder votre cailloux précieusement en guise de souvenir.

Il reposa le caillou sur la table