[RP] La forteresse

Nombre de messages : 48 Date d'inscription : 30/03/2008

HRP : Hop, me revoilou, désolé pour cette semaine. J'fais un petit post histoire de me remettre dans le bain, pas évident ^^

Belk, voyant ses deux frères de Clan en difficultés, n'hésita pas une seconde. Réajustant sa prise sur son bâton runique, le Prêtre traça à toute vitesse Thurisaz, la rune de puissance et l'aposa à distance sur les armes de ses deux compagnons. Puis, sans réflechir, il enchaîna sur Raido et rendit l'armure de Théon plus résistante que jamais.

Florencio errait dans une cave sombre où les rats affluaient des murs. Au loin, il y avait un étrange objet entouré de Lumière. Il courut vers lui et, en avançant, fini par voir qu'il s'agissait d'un étrange sculpture phalique en grès ou en sable, il ne savait pas exactement.

Il se réveilla en sursaut, il avait un mal de crâne abominable, être en combat était la condition sine qua non pour pouvoir utiliser ses pouvoirs : il avait merdé.

La première chose qu'il vit fut une bande de skavens autour de lui et de Jadis. Le groupe fondit sur l'humain hébété et le nain décidé. Florencio, sans même avoir réellement assimilé la situation, envoya par réflexe son poing dans la figure du premier rat venu.

Il se releva en clignant des yeux anormalement, se sentant légèrement nauséeux mais en état de se battre.

-Poi que ? Ils en ont toujours pas assez ? Fa schiffo, va falloir sortir l'artillerie lourde.

Cependant, et à la surprise des deux adversaires, le violent coup porté par le Rat-Géant ne transperça pas l'armure du chevalier qui, sous le choc, s'écroula. Après s'être redressé dans un mouvement vif, la créature blessée fondit sur Theon et commença à resserrer sa mâchoire sur l'épaule de ce dernier. La rune Raido que Belk avait apposé sur l'armure du chevalier évita que les crocs du Rat-Géant ne pénètre trop profondément dans la chair de Theon.

Voyant son arme encore plantée dans la clavicule du rat, Theon tenta de saisir sa lame afin de l'enfoncer plus profondément dans la chair de la créature. Cela eu pour effet l'entrebâillement de la gueule du Rat-Géant qui laissa ainsi échapper un nouvel hurlement.

- Cette fois, on l'achève ! Cria Theon à son patriarche.

HRP : J'accepte la proposition Aki [RP] La forteresse - Page 5 182994

Admin Nombre de messages : 147 Date d'inscription : 20/04/2008

Jadis et Florencio étaient acculés au mur, face à de nombreux esclaves Skavens. La situation était loin d’être désespérée pour ces deux aventuriers mais cela risquait d’être éprouvant si personne ne venait à les aider.

Olaf était dans une mauvaise posture, le Rat-Géant blessé à la mâchoire était sur lui, prêt à frapper. Le nain eu tout juste le temps de dresser son bouclier face à cette immondice qui frappa de toutes ses forces. Une nouvelle fois au sol, Olaf, maintenant très furax, avait prit une teinte rouge très prononcée et à peine eut-il le temps de laisser échapper un grommellement significatif que la créature s’était déjà jetée sur lui.

Kronir qui était resté jusque là inactif et en retrait (Au niveau de Belk) vit la situation dans laquelle Olaf se trouvait. L’angle de tir était inespéré et la ligne de visée parfaitement dégagée et c’est dans une détonation assourdissante que le Rat-Géant s’écroula sur Olaf, la langue collée au visage du nain et le sang dégoulinant sur l’armure de celui-ci.

Du coté de Theon et Arnfiarnunn, la situation semblait elle aussi s’améliorer avec la tournure que prenait les choses pour le second Rat-Géant.

Le Maître de Meutes qui s’était relevé pu voir avec stupéfaction que ses créations étaient dans une très mauvaise posture et que lui-même n’était plus si bien protégé que cela. Sans hésiter, le Maître de Meutes se pressa de retourner dans les profondeurs de la forteresse en intimant l’ordre aux esclaves Skavens de couvrir son retrait. S’enfonçant dans l’obscurité et protégé par les esclaves, toutes actions à distance semblaient vouées à l’échec, seul Mordrep avait la possibilité de talonner le Skaven.

[HRP] Donc, Kronir et Belk sont trop loin pour distinguer correctement le Maître de Meutes et pour engager la moindre action contre lui. (A part lui courir après. ^^)
Olaf est coincé sous un Rat-Géant, Theon c’est à peu prêt pareil.
Arnfiarnunn achève le dernier Rat-Géant. (S'il écoute Theon. ^^)
Jadis et Florencio sont toujours bloqué entre un mur et des esclaves Skavens.
Mordrep peut tenter de le poursuivre mais il y aura des esclaves Skavens pour gêner. [/HRP]

Mordrep voyant son opportunité n'hésita pas, et puis après tout ceci, il de devait pas rester grand chose la bas.
Il se mis à trottiner d'abord en se débarassant de la vermine de quelque fauche de hallebarde, puis il s'enfonça visiblement sans hésitation sur les traces du maître de meute.
Peut-être en avait-il décidé de mourir au combat ce jour...?

Le rat mutant arriva à pleine vitesse sur le brise-fer et frappa de toutes ses forces. Le nain parra l'attaque de justesse avec son bouclier mais la violence du choc l'envoya à nouveau au sol.
Fou de rage, Olaf se redressa vivement, prêt à se venger. A peine eut-il mit genou à terre qu'une détonation retentie, après quoi la créature s'écroula en avant, en plein sur le nain.
Cette fois, il était bloqué sous la bête, celle-ci n'était pas morte mais agonisait, son sang maculait le gromril de l'armure du vétéran et des filets gluants perlaient sur son heaume. Dans un geste de dégout et de rage, Olaf fit rouler la carcasse sur le côté en poussant de toutes ses forces. Ayant dégagé son tronc, il se traîna pour libérer ses jambes. Ceci-fait, il se mit debout d'un bond et donna un coup de pied dans la patte griffue qui gesticulait molement pour essaier de l'agriper.
Le brise-fer libéra alors toute sa rage et sa frustration d'un coup de hache. Le cou de la bête était partielement séctionné, elle ne respirait plus.

Jadis sourit en voyant que Florencio se relevait, l'air hagard mais en bonne santé.

Eh bien, l'ami, je commençais à me demander si vous étiez mort. Sortez votre arme, je pense qu'ils ne vont pas tarder à nous sauter dessus.

En effet, des rats aaient commencés à quitter le cerce pour les attaquer. Jadis les avait embrochés un par un, mais s'ils se lancaient tous d'un coup, ils allaient avoir du mal à les arrêter.
Maintenant que Florencio pouvait le couvrir, il posa l'étendart contre le mur et saisit son arquebuse, ouvrit le compartiment à poudre d'une pression, y fourra de quoi faucher des rangs entiers de skavens, mit la mèche en place, referma, et fit feu en direction des rats. Le tir fut comme un déclencheur: il tua sur le coup quatre ou cinq esclaves en rangs errés, mais le autres se lancèrent tous d'un coup vers les deux aventuriers.

Jadis, pris de peur, lacha immédiatement son arquebuse, et eut le temps de saisir la hampe de son étendart. Il embrocha deux esclaves qui se lancaient sur lui, et commença à gesticuler pour parer les coups et faire reculer les rats. Forencio, quand à lui, avait une arme plus taillée pour la situation, et semblait teniren respect aisèment la horde qui s'acharnait sur lui. Mais Jadis aurait rapidement besoin d'aide.

Il se de jeta en avant et donna des coups avec une hargne spectaculaire, cassant des os et des crânes tout autour de lui, mais il fut rapidement de nouveau acculé , luttant à un mètre à peine du mur pour ne pas avoir à assurer ses arrières. Sa rage retombait petit à petit, et il sntait que ses forces allaient le quitter d'ici quelques mnutes...

Florencio avait toujours un mal de crâne épouvantable et était furieux d'avoir fait un malaise en plein combat. Aussitot le combat repris, il se remit à brailler des insultes.

-Vous voulez encore jouer avec moi ? Le calin tout à l'heure vous a pas suffit ? Va bene, on va continuer !

Il brisa de nouvelles lances avec son marteau, luttant de concert avec Jadis et faisant du bruit pour 10.

-El rato cornuto ! Vous croyez que j'en quelque chose à faire de vos petites lances ? le vostre lancia di merdia ? Faut toute une armée pour m'avoir. Inteso ? Tout une foutue armée avec valca... Cavalerie, artillerie, infanterie, stratège et logistique ! Inteso ? Même des putains di cogliones de stratèges. J'suis Florencio Da Silva, senti ?

Il fit de grands (et ridicules) moulinet du bras, brandit son poing et manqua d'être blessé. Sans prévenir, il se jetta dans la meute d'esclaves et, tout en frappant, sema un désordre monstrueux, ses insultes couvrant efficacement et involontairement les ordres des maîtres à l'arrière.

Theon et Arnfiarnunn avaient frappés simultanément sur la créature à terre, mettant enfin un terme au combat et aux souffrances du Rat-Géant. Néanmoins le coup porté par la bête à Theon le faisait souffrir atrocement, malgré la rune posé par Belk sur l'armure de plates.

Le chevalier se laissa tomber sur les genous pour reprendre son souffle, en attendant d'aller ses compagnons d'armes aux prises avec la vermine skaven.

Nombre de messages : 27 Age : 39 Date d'inscription : 03/06/2007

Afin de protéger son frère d'armes, Arnfiarnunn releva Theon d'un bras et lui laissa comme appui.

Faisant pleuvoir les coups autour de lui, le vieux Nain avait de plus en plus de difficulté à contenir les esclaves et soutenir son ami n'y aidait nullement.

Un son guttural commença à s'échapper de la gorge du Nain.

C'était un chant triste et résolu.

Une complainte qui résonnait dans ces lieux sinistres.

Un chant rituel Nain qui appelait à l'acceptation d'un sombre destin.

Arnfiarnunn chercha Olaf des yeux pour s'assurer une défense solide de dos.

Puis empoignant fermement son marteau il s'adressa à ses compagnons

- Apprenons à ces vermines qui nous sommes et faisons leur comprendre que nous ne tomberons pas facilement.

Sur ces paroles il chassa du revers l'esclave qui venait de lui sauter dessus.

Enfin débarassé du rat mutant qui l'avait attaqué, Olaf s'accorda une seconde de répis pour voir comment ses frères d'arme s'en tiraient. Immédiatement il remarqua la silouhette du chevalier qui s'affessa, comme si les forces de celui-ci l'avaient abandonné mais aussitôt li vit Arnfiarnunn porter secours à Theon, l'aidant à se relever et le protégeant des esclaves qui les entouraient. Le martelier fracassait les boucliers pourris et les crânes avec la même aisance mais il apparaissait clairement qu'il ne pourrait plus tenir bien longtemps sans assistance, d'ailleur la complainte qui arriva alors aux oreilles du brise-fer en disait plus long que tous les discours.

Olaf se resaisit, fit des moulinets dans le vide avec sa hache puis frappa son bouclier avec le plat de la lame avant de se ruer vers son patriarche. Les skavens étaient encore très nombreux mais l'idée qu'un membre de son clan ou lui-même puisse mourrir sous leurs coups était inacceptable, le brise-fer était bien décidé à tout faire pour montrer à ces satanées créatures qui étaient les maîtres des montagnes.

Etant presque à portée de hache des esclaves qui s'en prennaient à ses compagnons, Olaf poussa son cri de guerre avant d'abattre son bras de toutes ses forces sur un rat particulièrement laid.
-POUR LE CLAN!!!
La créature dégénérée ne comprit pas vraiment ce qui lui arriva et s'écroula sans un cris quand le gromril trouva son cerveau atrophié après avoir ouvert son crâne.

Tandis que le Barbe-de-Fer dégageait sa hache de la carcasse puante, les autres esclaves se retournèrent pour faire face à ce nouvel ennemi, oubliant pour un court instant le martelier et le chevalier.

Nombre de messages : 27 Age : 39 Date d'inscription : 03/06/2007

Profitant du court répit que lui octroyait Olaf le martelier brandis son marteau au dessus de sa tête et chargea le chef de ces immondices.

A son passage un esclave lui tenta de le retenir mais le coup qu'il envoya ne l'arrêta pas dans sa course et c'est avec tout son élan qu'il abattit son arme sur l'ennemi.

Admin Nombre de messages : 147 Date d'inscription : 20/04/2008

Le peu d’esclaves Skavens que le groupe n’avait pas tué se mirent à fuir dans toutes les directions possibles. La zone venait d’être nettoyée de toute la vermine qui semblait l’occuper.

Les aventuriers purent enfin se reposer toutefois l’absence de Mordrep ne tarda pas à se faire remarquer. En effet, c’est dans un grand fracas venant des profondeurs de la forteresse que tous s’inquiétèrent pour Mordrep et de ce qui pouvait bien se tramer dans l’obscurité.

Sans hésitation, tous foncèrent en direction des heurts.

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