[Campagne] Embuscade ! [Terminé]

Kronor avait été légèrement étourdi par l'impact, il rouvrit les yeux pour apercevoir un nain face à lui, apparemment décidé à en découdre. Il sourit.

_Des nains... c'est encore mieux que ce qu'on avait prévu... Votre courage est admirable nabot ! Mais vous ne pouvez pas vaincre ici !

Sur ces mots il s'élança vers Änndgrim l'épée Kurst levée pour frapper et la masse-lame tendue devant son torse afin de se protéger d'un éventuel retour.

(voilà la tête de la masse-lame pour ceux qui ne savent pas )

http://img99.imageshack.us/my.php?image=massekronoryd8.jpg

Tyrork percuta de plein fouet les rangs ennemis, sa rage bestiale conjuguée à sa masse et à sa taille envoya bouler au loin les premiers assaillants. Il regarda si Orkrage, le porte-bannière, était toujours derrière lui et constata avec satisfaction qu'il avait déjà commencé à se battre et qu'il se cramponnait fièrement à la bannière.

Cé bien ! * Coup de kikoup' * Kontinue, tiens la bien ho k'tu l'monde * parade * la voit BIEN !

Tyrork était ennuyé par le zom qui l'empêchait de discutter, aussi se reconcentra-t-il sur le combat en cours

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A l'avant du convoi
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Aux armes !

* Le nain se mit debout sur le chariot pour dominer la situation. Il pris sa hache dans une main. Son bras libre s'agitait pour accompagner et appuyer les ordres qu'il hurlait. *

Kossars ! Abbattez-les !, cria-t-il au régiment d'archer en désignant les quelques gobelins qu'il apercevait.

Dawi en klad ! Arc de défense !

* En beuglant cet ordre aux nains en armure qui l'entourraient, Harkon sauta avec lourdeur du chariot arrêté pour former un arc de cercle à l'avant du convoi. *

Rien ne doit passer !! Drung !!!

*Le bloc qui se formait se préparait à encaisser la charge alors que BriseCrane surenchérit *

Régiment Kovard ! , désigna-t-il le régiment de kislévite aux haches lourdes, Derrière !! Prêt à contre attaquer !!

* L'idée était que les archers abbattent un maximum de gobelins. Effectivement cexu-ci mourreraient facilement si ils étaient touché par des flèches et cela permettrait d'effacer la force de frappe à distance des attaquants.
Quand au demi cercle, le but était de stopper la charge grâce aux soldats les plus endurants pour permettre aux kislévites équipés d'armes lourdes de charger à leur tour les assaillants, pour frapper fort. *

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Milieu du convoie, derrière Tyrork et Orkrage
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Neraik avais perdu un peu de temps car il ne savais pas vraiment si il fallait attendres les obscurs ou foncer.... Tyrork lui avait donné un ordre direct pour la bataille, il finit donc par foncer derrière la bannière du Klan Kass Kranes !

"..."

Il ne faisait pas de bruits en courant... Comme a son habitude... Et des qu'il arriva au corps a corps, il se mit a utiliser Kras'pif (son épée contondante) afin de "déchiraktationner du Zom" !

Il variait ses attaques en mettant de temps en temps des coups de boucliers... Mais les soldats étant plutot faiblars, Il préferai trouver un adversaire connaissant mieux le combat !

"Nabots?" Vous parlez comme un orque!
Je ne cherche pas la victoire!
Änndgrim chargea Kronor en hurlant, s'enchaîna alors une suite de parades de coups, rythmés et sacadés, qui ne semblaient donner l'avantage a aucun des deux duelistes.
Kronor finit par lui donner un puissant coup de coude dans le torse Änndgrim recula sous le choc d'un demi-mètre avant de se relancer.
Il réussit à écarter les bras de l'élu et finis par à lui ficher sa hache dans le ventre.
Mais la hache était resté coincé dans l'armure du chaotiques ne faisant qu'une blessure superficielle.
Änndgrim ne réussit pas à récupérer sa hache et attrapa le vieux marteau qui était accroché à sa ceinture.

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Milieu du convoi dans un chariot
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"Kyssard avait fait la route dans un chariot, transformant un tonneau en bureau .il écrivait des rapports et des commandes pour l aube eternel, un travail long et fastidieux que lui imposait sa charge.

Alerter par le bruit infernale de la bataille il bondit hors de chariot, remettant son masque correctement sur son visage et arma aussitôt le mousquet de son pistolet "

" Hurlant pour qu’un grand nombre d homme l entendent "

IMPERIAUX!!!!!!!!!!!!

L HEURE EST VENU DE PROUVER VOTRE LOYAUTER ET VOTRE COURAGE POUR L EMPIRE !!!!!!!!!!!!!

QUE NUL NE RECUL !!!!!!!!!!!!!

OU IL PERIRA DE MA LAME !!!!

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Charge à l'avant du convoi
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Linnavouable se mit en position comme prevu. Sa haine était grande on lui avait volé l'honneur de la charge. A l'avant du convoi il se rendit compte de la situation, un nain, un certain Harkon, lui avait soufflé les Demons avaient formé un cercle pour proteger les archers qui tuaient tout à distance. Ce sera sa proie. Suivant les nouveaux ordres d'Ademor, Linnavouable se mit en position avec ces guerriers leurs boucliers formant un mur pour proteger des Maraudeurs préts à submerger les défences une fois à portée de charge.
Puis il cria à ses Hommes
"En avant !! Pour Tzenntch !!! Pour Obscur !!! En avant !!!"
Commencant à avancer, les maraudeurs firent entrechoquer leurs armes, pour porter un message de mort à leurs futures victimes.
Leurs boucliers commenca à raisonner des sons sourds que produisées les fléches qui s'ecrasées dessus
Une fois à leurs porter, les pertes etaient faibles, les elus abaisserent leur bouclier et chargerent suivis de tous ses guerriers assoiffés de sang

Kronor porta une main sous ses plaques lourdes pour la ressortir couverte de sang. L'Elu avait tout fait pour se laisser porter par son corps et non par la haine car il était un des rares serviteurs du Chaos à considérer la rage comme un frein au talent martial. Mais la vue du sang et la douleur, certes largement supportable mais existante, faisait monter en lui-même des bouffées de rages intenses.

_Espèce de sale cloporte barbu....

Jurant, Kronor chargea Änndgrim en frappant de haut en bas, le nain esquiva. Kronor recula et sourit alors.

_Voyons si celui-là tu vas l'esquiver... murmura Kronor pour lui-même.

Il bondit sur Änndgrim, la masse-lame levée en avant. Il la lança vers la tête du nain. D'un mouvement relativement agile, il fit le tour du nain afin de le surprendre, ce dernier étant concentré sur le projectile mortel.

Kronor, Kurst brandit sourit, il visa l'arrière train d'Änndgrim.

_"Crains l'intelligence et la toute-puissance de Tzeentch !" murmura t-il.

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Au Nord, dans la Forêt

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Flashback : " ou ké cé ki cé passé pour de vré, é pas cé konneries inventées par lé Zhoms !! "

Les Peaux Vertes attendaient à la lisière du bois, sur un point qui culminait au dessus de l'étroite voie commerciale, le temps se faisait long et les Peaux Vertes s'ennuyaient, certains s'étaient assoupis, d'autres jouaient au lance Snots ou aiguisaient leur Kikoups.

Le Big Boss s'était allongé contre une souche d'arbre et regardait en soupirant un petit groupe de snotlings qui avaient décidé de lui dévorer le pied.

Soudain un hénissement parvint aux oreilles de l'ensemble des Peaux Vertes, le temps sembla se figer et l'ensemble des Peaux Vertes arrêtèrent leurs activités et tendirent l'oreille.

D'autres hénissements se répétèrent, à intervalles de plus en plus réguliers, puis des bruits de sabots les accompagnérent, eux même suivis de la cadence désordonnée des pas que peut faire une armée de miliciens en marche.

Les arbres empêchaient d'apercevoir la troupe qui avançait sur le chemin, mais il ne faisait plus aucun doute pour les Peaux Vertes que leurs ennemis arrivaient, les Peaux Vertes se ruèrent dèrriere les premiers arbres à la lisière de la forêt, le chemin était à environ 5 mètres en contrebas et Orques et Gobelins étaient désormais allongés, nerveux, attendant d'apercevoir les premiers "Zhoms".

L'exitation du combat était à son comble, certains Orques ne parvenaient pas à contenir leurs grognements tandis que les gobelins laissaient passer entre leur dents pointus de petits rires sadiques.

Krag renifla l'air bruyamment avant de s'adresser à ses boyz :

" Je sens leurs chaires puantes d'ici, y a dé tas d'Zhoms, dé tas d'Nabots... ( renifle encore ) ... y a même dé zelfes d'avek eux !!! "

Krag porta son regard sur les guerriers d'Obscur, ils ressemblaient à des statuts de pierre, immobiles mais tournant tous la tête en direction du convoi qui arrivait, leur ordre et la froide sereinité qui les habitait contrastaient avec la nervosité et le chahut continu des peaux Vertes.

La coalition constitué d'Humains, d'Elfes et de Nains était désormais en vue et commençaient à défiler devant les yeux des Peaux Vertes qui mordaient leur Kikoups, leurs Kogn'Durs et autre Kras'Pifs pour contenir leur rage.

D'énormes gouttes de sueurs glissaient le long du front de Krag, le Big Boss n'en pouvait plus comme les autres Peaux Vertes de voir défiler devant lui autant de proies potentielles, ses yeux étaient injectés de sang et de long filets de bave glissaient le long de sa bouche.

Un Orque s'approcha alors de lui et lui parla à voix basse :

" Boss, ké cé k'on attend ??!! lé zhoms d'Chaos cé eux ki vont avoir lé meilleurs morceaux si on reste planké là !! "

A cette idée de devoir partager la bagarre le Big Boss devint fou de rage, il se leva soudainement et hurla aussi forts que possible de sorte que tous puissent entendre.

" KOUTÈ MOI BOYZ !! CÈ NOUS LÈ PLUSS BALAYZ !!! CÈ NOUS LES PLUSS KOSTO !! "

Krag leva alors son énorme Kikoup en l'air en poussant un terrible rugissement.

" LÈ KASS'KRANES S'PLANK PAS KOM DÈ RATS !! LÈ KASS'KRANES FONCENT DANS L'TAS !!!! "

Krag se précipita alors et sauta par dessus le monticule de terre qui dominait le sentier en poussant un puissant WAAAGH !! puis termina sa course en s'acrasant dans l'un des chariots qui transportaient des volatiles de basse cour. Le choc fut terrible, et des plumes volèrent dans tous les sens, Krag donnait des coups de kikoups pour se débarrasser des oiseaux qui volaient autour de lui.

Les autres Peaux Vertes l'accompagnèrent en chargeant eux aussi l'avant du convoi, poussant des hurlements et jetant tout ce qui leur passait sous la main.

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Avant du convoi
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HRP: Voilà, Mon Personnage est indépendant, il a sa volonté propre et n'est pas soumis aux ordre d'Obscur, donc désolé pour cette entorse chronologique, mais la prochaine fois que vous souhaitez m'attribuer des intentions ou des propos, consultez moi au préalable.

Sigmaris était tout aussi paniquée que sa jument. Elle avait suivit les hommes quittant le champs de bataille, non pour fuir mais pour comprendre la
situation. Elle se rendit vite compte que les orks avaient agis
précipitement et que le piège n'avait pas été totalement refermée, il y avait donc un espoir de fuite, il y avait un espoir de survie, mais il fallait se replier au plus vite. Les officiers faisaient bien leur travail. Les chariots en fait de convoi avait commencé à faire demi tour et les kislévites se préparaient déja à proteger la retraite. Après avoir échangé quelques mot avec le boyard kislevite, Sigmaris repartie vers l'avant du convoi pour donner l'ordre du replis.
Malheuresement le retour ne fut pas aussi aisé que l'allé. La bataille avait déja commencée et le premier assaut avait été meurtrier. De nombreux hommes battaient déja en retraite.
Un orque surgit devant elle et voulu planter son horrible lame dans sa jument, mais celle ci fait un pas de coté de évita le coup vertical. Sigmaris plongea sa lame dans la gorge de la chose, mais celui ci ne fut pas terassé pour autant. Il assena un violent coup de poing dans la poitrine de la jeune noble. Celle ci eu le souffle coupé, Son épée était toujours bloqué dans la trachée de l'orque. Elle tira un violement pour la dégager, mais il était trop tard, l'orque avait brandit son kikoup l'abbatait sur elle. Une flèche apparue subitement dans la tête de l'orque qui s'effondra instantanément

Sigmaris se retourna et vit la dizaine de cavalier mercenaires qu'ils avaient engagés à Kislev et qui avaient été placés sous ses ordres. Elle aurait jurée qu'il aurait fuit dès le début de l'attaque, mais elle du reconnaitre qu'elle était heureuse de les avoir à ses cotés.

"A l'avant du convoi" cria t'elle.
La dizaine de cavalier s'élancèrent au galop à travers la mélée.

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A l'avant du convoi

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Borgir fut d'abord surprit de la charge innatendue des ennemis.
Sans chercher à savoir , il sortit son épée et tira Clair-de-Lune.
Il abbatit un soldat enragé qui manqua de le pourfendre.
Puis , se rappelant ce Kronor , il scruta le convoi , et l'appercu.
Il chargeait Anndgrimm.

Il courrut vers lui et lui hurla :
"Kronor , viens me voir moi !
Je vais te régler ton compte , et t'envoyer droit chez ton Dieu !
Viendras-tu? dit-il sous un ton de défi"

Il regardait Kronor d'un air sadique.

Heu tu est à l'avant du convoi et kronor et le nain sont au milieu, déjà en temps normale tu ne pourrait sûrement pas le voir car vous êtes beaucoup mais en plus la dans la bataille je ne sais pas comment tu à fait...

Kalhos

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Avant du convoi
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Tyrork poussa ses guerriers a avancer afin d'atteindre le premier chariot et les motiva par des rugissements et des insultes aux adversaires. Le combat se déroulait bien, c'était pour ça qu'il vivait : charger dans le tas et écraser les crânes de ses adversaires avec son kikoup'

Allé lé meks ! J'veux k'on puisse planter not'bannière sur leur chario' tout minab' ! A L'ATTAAAAK !!!

Le gros Orque dominait tout le monde d'une tête au moins et il était assez visible, il réussit toutefois l'exploit de presque disparaître dans la mêlée

Linnavouable était avec ses hommes dans une mêlée indescriptible, frappé, paré, esquive à droite à gauche, ils commençaient à crée une brèche dans la défense ennemie, les archers commençaient à être au corps a corps, il s'apprêta à tuer encore une fois un de ses faiblards quand un violent coup lui fut assener à la poitrine. Ses pieds quittèrent la terre, il s’écrasa sur un maraudeur qui le suivait. Se relevant, visiblement pas blesser il leva la tête pour voir un elfe au-dessus d'une charrette, un bâton de sorcier dans les mains encore fumant de sa magie.

"Enfin" cria t'il "Enfin un adversaire de taille !!! Il est à moi!!" cria t'il à ses guerriers tout en désignant le mage. Mais si ce n'était qu'un mage, pas un vrai guerrier, il devrait y avoir de l'honneur dans se combat, Tzeentch ne l'avait pas placé sur son chemin pour rien

"Meurt !!!! Pour Obscur, Pour Tzeentch !!!" hurla t'il tout en chargent son nouvelle ennemie

Il était loin derrière les troupes ennemies mais il l’aurait, il en fit la promesse à Tzeentch

EDIT : Fautes corrigées, pense à te relire à l'avenir ou utilise le correcteur d'orthographe de Word merci .

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Avant du convoi
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Les hallebardiers remplissaint leurs rôles de troupes servant à amortir la charge adverse et déjà les têtes de leurs armes d'hast s'abaissait en un sifflement d'air farouche bien que largement couvert par le tumulte de la bataille qui se passait sur les flancs et plus loin sur l'arrière-garde du convoi.

Korvadiel avait dissiper l'égide aethyrique, les projectiles ennemis s'étant fait plus rares, la majorité des troupes étaient engagé dans un corps à corps sans merci.

Il suivit Ankor Barberousse et son marteau rutilant qui s'engagea alors avec une trentaine de kossars aguerris dans la mélée frontale ou hallebardies, peaux vertes et guerriers du chaos se livraient un combat acharné.

Ankor, le bouclier solidement plaqué contre son torse d'un côté le marteau contondant dressé ostensiblement de l'autre, chargea l'ennemi à vive allure accompagner du groupe de kossars armés de long sabre courbe à deux mains.

Cette contre-charge soudaine pris de surprise les cultistes du chaos qui, bardaient dans leurs sombres armures ornementées, virent les effets de leur charge considérablement amoindris du fait de cette soudaine sortie.

Bientôt les hommes, bien que vaillant et tenaces, perdirent du terrain face aux adorateurs des dieux sombres, pourtant Ankor Barberousse faisait virevolté son maillet runique avec un mélange subtile de brutalité et de virtuosité, mais lorsque l'escarmouche à l'avant sembla tournée clairement en sa défaveur et celles des kossars, le brisefer s'en retourna sans néanmoins briser la nuque l'échine de quelques chaotiques agonisants au passage.

Korvadiel l'entropiste sybillin attendit que tout les hommes se soient mis à l'abris dérrière la ligne de front avant, et ne distancant que de quelques douzaines de mètres les chaotiques poursuivant leur lancée démoniaque, il fit soudain jaillir de larges et vivaces langues de flammes blanches et pures devant lui, les spires flamboyantes soudain se rassemblèrent et une ondée ardente parti avec fulgurance à la rencontre de la soldatesque chaotique, consumant instamment les premières lignes de combattants féroces.

Un frisson de panique parcourue la troupe ennemie, mais bien vite elle s'évanouie, et les abberations du chaos chargèrent avec une vélocité accrue, laissait à peine le temps au mage de se réfugier dérrière les combattants du front avant...

L'elfe regarda le nain qui commencais a lui donner des ordres..

Je prends les orques, tentez de garder en vie un maximum de soldat.


L'elfe commenca a remonter le long des chariots, tout en envoyant des fleches, sur tout ce qui pouvais bouger dans la forêt. Son choix avait étais rapide ses fléches aurais plus de chances de transpercais des gobelins ou des orques que des chaotiques en armure.

Korgoth , toujours la bave aux lèvres, se rua dans la bataille.
Un hallebardier eu le courage de lui faire face. Il souleva sa lourde hallebarde ,pour l'abattre sur le monstre.
Celui-ci effectua un pas sur le coté tout en continuant sa course, en ne manquant pas de décocher un immense coup de coude au passage dans la tête du pauvre hallebardier, qui s'effondra aussitôt à terre, assomé.

L'orque jetta un oeil au reste des peaux vertes tranchant et taillant, il pu apercevoir tyrork, qui dominait tous les autres orques, ainsi que le porteur de la grande bannière, se battre comme des beaux bougres.
La vue de ce spectacle sanguinolent donna alors à Korgoth une fougue renouvelée.
Celui-ci s'apprêta alors à se jeter sur un autre soldat de l'empire, lorsque il entendit un bruit famillier.
La charge d'une cavalerie, parant alors le coup non assuré de l'épeiste, il tourna la tête pour apercevoir un chevalier en armure foncer dans sa direction, toute une unité de cavaliers à ses cotés.

Il n'eut pas d'autre solution que de se jeter au dernier moment à terre, après avoir fauché les pattes d'un cheval, qui alla s'étaler de tout son long quelques mètres plus loin.

affalé à terre, Korgoth avertit ses compagnons;

" Eh! lé boyz! y'a lé boit' de konserv' sur lé pti chevals ki s'point' sur vous!"

Le prophète de Gork et Mork se releva alors, un sourire au coin, pour achever le cavalier qui était précédemment tombé de sa monture, maintenant gisant au sol, recroquevillé contre une charrete, essayant de fuir la bête sanguinaire.

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Arrière du convoi
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_NON ATTEND ! Pesta l'humain mais l'elfe était déja trop loin.
Stupide elfe. Tous pareil se dit-il.

Il mit pied à terre et attacha sa monture avec celles du chariot.
Il vérifia bien ses armes puis pris assez de poudre et de munition pour recharger deux fois ses pistolets a un coup.
Il se muni aussi de deux longs poignards.

_Tache de rester en vie pour la faveur de Grugni. Dit-il au Nain.

Hark courru d'un pas modéré , afin d'éviter de perdre toutes ses forces, il ne fit pas attention aux guerriers qui détalaient de peur d'être tué , dans ce monde il n'y avait pas de place pour les laches.

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Milieu du Convoi
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Il se posta derrière l'assaut , a côté des archers.
Les orques et les chaoteux étaient en masse , et la ligne de défense des Nains semblaient sur le point de se rompre a tous moments.

_KHAZUKAN GROM BOKI AF DRUNG DOH GROBAL ! Hurla t-il afin de leur donner du courage.

Il dégaina un de ses long pistolet et de la main droite visa un orque assaillant un nain. La petitesse de nobles longues-barbes était idéale pour tirer son attaquant.
Ainsi la balle partit , dans un détonnement impressionnant qui fit sursauter les boyards a côté du Repurgateur. Le projectile en argent fit mouche et vint s'inscruster dans l'épaule non protégé du grand orque noir dans une gerbe écarlate. La stupide créature observant un instant de ses yeux rouges l'humain , avant de mourrir , les intestins répandus sur le sol , une hache dans l'abdomen.

L'homme rengaina son arme, inutile maintenant de gaspiller des balles , et il risquait surtout de toucher un compagnons tant la mélée était dense. Dès qu'un orque mourrait , un autre le remplacé.

Il dégaina de son fourreau de cuir sa douce lame elfique. Fit quelques passes dans le vent pour bien sentir l'air coupé par l'arme parfaitement égalisée , puis il se posta derrière un boyard venant d'être sauvagement tué par un disciple du Malin.

_WANAZ ! Cria t-il en lançant l'assaut sur le guerrier du chaos qui le jugea d'un mauvais oeil.

La véritable bataille pouvait enfin commencer pour le Repurgateur.

[HRP: Qui a dit que je ne savais pas parler Khazalid ? [/HRP]

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flanc gauche
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Les doigts de la guerrière fantôme relâchèrent soudainement la corde captive de son arc, libérant le trait meurtrier qui se rua avidement à l’encontre de la marée verte où il s’y égara ne causant ne serais ce pas même l'ombre d'un remous au sein de cette mer de combattant déchaîné.

Le corps à corps était inévitable, rien ne pouvait arrêter de telle bête. Les soldats Kislévite se préparèrent à encaisser l’assaut, le regard clair, l’arme à la main, guettant le moment fatidique.
Bien que cela lui semblait vain Alana arma derechef son arc et s’apprêta de nouveau à faucher une vie pourtant parfaitement consciente de la futilité de son geste.
Les orcs n’étaient maintenant plus qu’a deux pas de la ligne des défenseurs, le temps sembla se figer pour tous les combattants.
Un mouvement uniforme se propagea dans les rangs de l’ordre, chaque soldat Kislévite brandissant puis abattant sa lourde hache d’arme tel un seul homme. Face à cette discipline implacable les Orcs ne répondirent que par la sauvagerie bestiale et inapaisable qui caractérise si bien leur race.

Le rang d’homme protégeant Alana sembla littéralement exploser sous la violence de l’impact, les frêles humains avaient étaient bien incapables de supporter la charge des puissants Orcs.
Enhardit par ce succès les orcs se déversèrent aux travers des lignes des défenseurs, cherchant désespérément de nouvelles victimes.
Libérant une fois de plus la corde de son arc Alana tira sur un Orc se ruant sur elle et sans même attendre de voir si elle l’avait ou non touché dégaina son épée courte puis se jeta sur lui dans un hurlement sauvage.

A peine korgot' s'etait-il relevé, que le pauvre homme qu'il allait achever courut à toutes jambes.
Voulant le poursuivre , il courru, faisant tournoyer ses kikoups et hurlant fort sa rage.
L'homme disparut dans un combat entre des peaux vertes et des orques.

Le peau-verte fou, impuissant face à la disparition de son adversaire, se retourna, puis aperçu une appétissante victime, derrière la marée d'orques et de kislévites se battant à mort.

Distribuant des baffes droite à gauche, à hommes , orques, ou gobelin, L'profet' d'la Waagh, il se dirigeait vers sa nouvelle proie. Avançant, il remarqua que son adversaire l'avait repéré, bandant son arc, et tirant une flêche allait derechef se planter dans le gras de l'orque, la douleur , heureuseument attenuée par la rage sanguinaire qui l'habitait, et la flêche, en partie plantée dans son armure ,et dans sa chair l'énervait, comment ce frêle oreille pointue osait l'agresser?

Il courut vers son assaillant , en hurlant, malgrès le fait qu'il soit au courant de l'avantage que lui procurait une position surélevée.

HRP / il s'agit bien sur de toi Alana !

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Arrière du convoi
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Le regard de l’elfe avait mis le nain mal à l’aise. Nuro n’avez pas du appréciez qu’un nain lui expose son avis ou lui fasse part d’un quelconque projet tactique. Ce dernier avez foncé sur l’ennemi a une vitesse que seul les elfes peuvent atteindre tout en tirant des flèches en direction des bois alentours.

C’est lorsque celui-ci avait pris une centaine de mètres d’avance que Got réalisa: il avait dit « je m’occupe des orques » c’est donc que son regard perçant avait distingué une autre menace. De toute façon il était trop tard pour le lui demander. Got voulu se tourner vers le répurgateur, mais celui-ci aussi parti à l’assaut, non sans lui avoir souhaité la faveur de Grungi:

Humpff ! un nain lui a peut-être appris notre langage mais il aura oubliez de lui apprendre la discipline. Comment croient t-ils que je vais commander les cents froussards qui restent avec pour seul aide un illusionniste en jupette, sympathique certes, mais en jupette et imberbe de surcroît… marmonna le nain l’air sombre et contrarié. Allez messieurs! l’honneur nous appelle! Et n’oubliez pas la Tsarine compte sur vous!!! vos femmes et vos enfants aussi. S’écria Got essayant d’y mettre toute la conviction qu’il pouvait lui rester. Après tout l’issu de la bataille dépendrait peut-être de ce renfort inespéré, censé garantir la retraite de tous.

Le bataillon se mit en marche remontant de chaque coté du convoi le long de la route qui les séparait du lieu de la bataille, les visages des kislévites étaient fermés, une résolution froide et splendide illuminaient leurs visages, Got se senti ému par cette force que l’on ne trouve que sur les champs de bataille et par le courage de ce peuple rugueux et brave, non définitivement ce n’était pas des froussards…

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Flanc Nord du convoi préparant la retraite des troupes.
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L’avant garde du convoi avait été magnifiquement
tenu notamment grâce à la présence de Harkon et de Drugnalf Skani. Malheureusement
ce n'était pas le cas partout. Petit à petit plus de la moitié du convoi se
retrouvait encerclé et menaçait de se retrouver totalement isolé. Certains
hommes perdaient courage et tentèrent de fuir, mais en vain.

A l'arrière du convoi, la préparation de la retraite prenait forme, les troupes
de l'ordre serait capables de tenir ces bêtes assez longtemps pour permettre
une retraite correcte.





La cavalerie traversa laborieusement les rangs,
tuant des ennemis s'ils en avaient l'occasion.
La monture d'un Kislevite fut fauchée par un orque lui ayant tranché la patte.
Le cavalier mourut écrasé par sa monture. Mais ils n'avaient pas le temps de s'arrêter, il fallait prévenir l'avant de se replier.

Ils avancèrent dans la mêlée en ordonnant aux hommes de se replier en bon
ordre pour rejoindre la ligne de défense située à l'arrière.

Huit cavaliers survécurent à la premier traversé et Sigmaris pu transmettre
l'ordre de repli aux capitaines de l'aube éternelle et des mercenaires.

Les sorciers d'Obscur n'avait pas encore lancer leur attaque et restaient comme convenues *******au nord des combats********** , ils observaient le combat et murmuraient leurs incantations pour préparer leurs puissantes attaques grâce au vent de magie...

Garek gardait d'un coin de l'oeil Ademor et Kalhos pour attendre leurs ordres...

*Attaquer en deuxième vague après les ork alliés et aider les maraudeurs et autres élus du chaos déjà en combat

*Attendre le sous nombre de l'ennemi pour leur régler leur compte

*Ou au contraire renforcer les rangs si l'ennemi reformer ses rangs, car même sérrés, les rangs d'archers elfes ne résisteraient pas aux attaques des sorcier de Tzeentch...

Certains cultistes positionnaient leurs charges de regénération, ou leurs maléfices pour diminuer la force de l'ennemi sans qu'ils ne se rendent compte et ce comme une peste imprévisible.......

Une chose de sure, Garek était près à déferler sur son disque sacré et "coupé" la route aux cavaliers qui approchaient...

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L'avant du convoi
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Dans la mêlée, Harkon BriseCrane c'était vu blessé sur plusieurs parties du corps. Equimoses et plaies s'accumulaient. En effet, le choc de l'affrontement était des plus violents. De plus le Belegar était piètrement équipé. Pour seul armure sa peau durcie par les années de minage et pour seul arme sa hache de modeste manufacture. Mais il tenait bon.

Le travail des soldats autour de lui était remarquable. La fuite de certaines "longues jambes" comme il les appelait, était compréhensible, pour une réaction d'homme. En effet les rangs se resseraient de plus en plus. La situation devenait intenable.

L'arrivée et l'annonce de Sigmaris fut un soulagement pour les troupes. Tous éspéraient battre enfin en retraite. Mais Harkon ne l'entendait pas de cette oreille. Fuir devant des peaux vertes ? Hors de question ! se dit-il.

Tenez les rangs !! A mort !!!

La barbe noir du nain était recouverte de sang. Le sol marron prenait lui aussi de plus en plus une teinte rougeâtre. Le regard sombre de BriseCrane était devenu celui de la haine.
Il frappait à tout va, de toutes ses forces, le nain assainait ses coups puissants à la moindre opportunitée. Il fut alors coupé dans son élan frénétique par un orc qui percuta son bras gauche et fit valser sa hache deux mètres plus loin.

OOUUuuaaAAGHH !!

Harkon percuta le ventre de la peau verte d'un coup d'épaule, version "Blue White's Grim" lors d'une partie de Blood Bowl.
Un combat à main nue s'engagea. Dans la lutte, le nain avait fracassée la tête de l'orc une dizaine de fois contre un bout de rocher qui dépassait du sol. Il cessa obligatoirement, car bientôt, le nain n'avait plus que de la cervelle et des morceaux d'os brisés entre les mains.

Le dirigeant de l'Aube Eternelle releva la tête. Il était toujours à califourchon, sur le corps de son adversaire lorsqu'il revit Sigmaris sur sa monture.
Sa soif de carnage légèrement étanchée, le nain décida malgrès tout à contre coeur, de donner l'ordre de battre en retraite.

Drugnalf ! Par là !! , il était impossible au nain de prononcer les mots "retraite" ou "fuite".

Régiments ! Suivez nous !

Krasstek voyant ses compagnons s'éloigner vers l'avant du convoi,tout en écrasant tout ce qui se trouvait sur leurs passages, décida de les suivre.

-Allé les gobz, ça commence à s'faire vide ici, on suit les n'orks et on r'monte vers l'avant.

Ils commencèrent alors à sauter de branches en branches, d'arbres en arbres, essayant de se mettre au niveau de leur congénères spongiques. C'est alors que Krasstek eu une idée qu'il estima de "géniallirissime": il s'arrêta, attendit que l'un des gobelins près de lui le dépasse, pris son arc, et visa la branche sur laquelle ce premier aller se poser. Le gobelin n'ayant plus d'appui tomba lourdement sur le sol.

-Gwahwahwah, r'gardé le s'krazé comme un nabot qui s'fé 'krasé par un n'ork.

Le gobelin, completement sonné, essayait de remonter l'arbre, vociferant insultes et menaces.
Krasstek repris son avancé et après quelques "embranchement" remarqua tyrork accompagné de quelques orks, s'engouffrant dans le tas de nains et d'humains qui se présentaient devant eux.

-Tiens les gob'z, v'la tyrork, on s'met la et on tire sur tout c' ki l'attak, il m'doit enkore un bon paket de dents d'nabot faut pa k'il meurt ici.

Krasstek choisit un endroit lui permettant d'avoir une bonne vision du champ de bataille et s'y installa, posa son carquois à ses cotés, et commença à décroché flèches sur flèches, visant dans le tas tout ce qui n'était pas vert.

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Arrière du convoi

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Laconfir avait vite compris, étant à l'arrière, il avait pu analyser la situation.

Les chaotiques et les orcs étaient largement en surnombre et nous n'avions aucune chance, mais Laconfir n'avait aucun pouvoir de décision.
Mais les ordres de harkon firent vite le tour du convoi et entendant l'ordre de suivre les deux compère qu'étaient harkon et son chef, drugnalf, Laconfir commença à courir à travers les lignes amies, n'attaquant personne, il préférait ne pas utiliser la magie de suite.

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Avant du convoi

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Arrivant au niveau de drugnalf, il devait esquiver les tirs ennemis, heureusement, les tirs venaient d'orc, donc peu précis...

- Chef, chef, je crois que les ordres sont d' opérer une retraite stratégique... Lorsque nous déciderons d'y aller, dites le moi, j'invoquerais ce qui ma valut pas mal de raillerie dans une taverne il y a quelques temps...vous voyez de quoi je parle, d'ici là, je reste à couvert... et... Attention ! un koup tou étaient en train de sauter sur les deux compères, toute mâchoire apparente, Laconfir devaient s'en remettre aux qualités martial de son chef maintenant...