[Campagne] Embuscade ! [Terminé]

Sefhan écoutez Änndgrim lui faire une proposition de tabac, tout en étant ailleurs.

Regardant Änndgrim lui tendre le tabac, Sefhan réagit.

Oui oui tout à fait l'ami, du bon tabac pour ce détendre ne fait de mal à personnes.
Mais en tout cas n'ai aucune crainte sur l'arquebuse, celle-ci et de l'armée de garde de Nuln, un très bon ouvrage et de plus mon cousin m'a appris comment sans servir.

Sefhan sorti une pipe blanche d'une de sa poche intérieur et la bourra du tabac qu'Änndgrim lui avait donné.

Après quelques bouffées de sa pipe...

Très bon arôme l'ami, vraiment un très bon tabac.
Faudra revoir votre ami pour en faire revenir.

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Nord de la forêt
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Tyrork s'étala de tout son long au sol, à moitié étranglé. Ca n'allait pas, ça n'allait pas du tout ! Le Chef l'avait prévenu, si il ne faisait pas bien, il allait lui manger son bras - encore qu'il lui laissait le choix du bras -, non ! Tyrork n'allait pas perdre son bras, Tyrork n'allait pas devenir inutile !

Chaif, skuzez moi, cé pas k'j'voulais dir' ! Chef, chef ... ?

Le voyant repartir dans ses accès de colère habituels, Tyrork glapit et commença à bredouiller des mots incompréhensibles

Nan ... NAN ! Cé pas s'ke ... Pas le ... Nan ! Chef !

Craignant plus que tout de se faire massacrer comme tous ceux qui déplaisaient à Krag Kroc'Nabot, l'Orque Noir cessa de battre l'air avec ses jambes et se releva avec la ferme intention de " foutre le kamp pour pas nourir lé z'astikots "

"Grrrrr... Je déteste les forêts... C'est plein d'arbres ! " Ne cessait de pester Drugni depuis un moment déjà.

"Il fut un temps on pouvait voyager d'un bout à l'autre des montagnes du bord du monde sans même mettre le nez dehors. Vous les jeunes vous êtes encore insouciant et préférez courir les forêts... Bien vous en face, mais vous verrez qu'un jour j'avais raison !"

Pour se changer les idées le vieux nain sortit sa pipe d'une petite sacoche attachée à sa ceinture, il la bourra de tabac (la pipe pas la sacoche :p) et l'alluma.

La réflexion de Kronor en rajouta un peu plus au sentiment d'Ademor sur la discrétion des Peaux Vertes.

"Nom de Tzeentch ! Ils ne vont pas se taire ! Tu parles d'une embuscade, autant mettre des panneaux à l'entrée de la forêt"

Que le Duc couvre leur vacarme aux oreilles des faibles.

Sur ce, il reprit ses psaulmes à l'attention de son Dieu.

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Nord de la forêt
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Krag continuait à faire de longs discours sur " lé tactik dé zorks "

" Voyé Boyz, vous mettez dé feuill' kom ça sur la tronche, 'prés ça vous fouttez de la boue pour ke ça kolle... "

Krag continuait de se badigeonnait d'un mélange de terre liquide et de feuilles de divers végétaux.

" Allé zy fermez vo zieux... ( pas de réaction )

" J'AI DI K'VOUS D'VIEZ FERMER VO ZIEUX BANDE D'LARVES !!! "

Les Peaux Vertes s'exécutèrent, Krag se déplaça alors bruyament quelques mètres sur sa gauche et s'accroupi dans le fracas de l'entrechoquement des plaques de son armure. Il était là, juste devant les boyz avec trois feuilles de fougères sur la tête en guise de cammouflage.

" maint'nant saiyé d'viné ou cé ke jsuis planké !! "

Un Gobelin s'approcha de L'Orque avec enthousiasme :

" Zetes là Boss, cé moi ki vous zé trou... Garpll !! "

Le Gobelin tira une longue langue en dehors de sa bouche, ses yeux sortaient de leurs orbites et un long filet de bave coulait depuis son menton jusqu'au sol. Krag lui tenait le cou fermement et dans un craquement répugnant il lui brisa la nuque.... le Gobelin s'écroula au sol en bougeant les pieds un ultime spasme.

Le Big Boss releva la tête et observa les autres Peaux Vertes.

" Ki Cé d'ot Ki m'Voit ??!! "

Les Peaux Vertes restèrent silencieux, s'observant les uns les autres avant qu'un Gobelin ne s'avance de nouveau à un mètre à peine du Big Boss et prenne la parole :

" Zetes planké ou Boss ?? Eh oh ?? "

Le gobelin fit semblant de chercher autour du Big Boss, puis d'autres Peaux Vertes l'imitèrent et bientôt on entendit une succession de " Youhou le Boss ?? " et autres " Mé ou cé ki s'plank ?? " tout aussi hypocrites.

Krag était ravit, son cammouflage fonctionnait à merveille et il ne put réprimer un éclat de rire grossier.

" J'tés just' là boyz, voyé d'avek mon kamouflag vous d'vené Mi-Ork, Mi- Fougères, pour ça ke vous pvé po me vouar !! "

Quelques Peaux Vertes se laissèrent aller à un "OOooooohhhhHHHH" admiratif.

Tyrork avait assisté à la démonstration, qui l'avait coupé dans son élan. Il était forcé de reconnaître que le Big Boss était sacrément malin. Si les Orques étaient capables de disparaître comme ça et de devenir invisibles, ils deviendraient invincibles !

Il se dit néenmoins que maintenant que Krag s'était passé les nerfs sur un gobelin - comme il le fait habituellement - il pouvait tenter de rester pour prendre part au combat.

Mwé, j's'rais d'avis k'on fass' tous komme le boss ! Komm'sa on pourra les surprandre, s'kon é malins, kan même ...

Tyrork croisait les bras, lui n'avait aucune envie de se barbouiller la tête, mais il attendait que les autres Orques imitent leur Big Boss

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Nord de la forêt
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Orkrage se barbouillait le visage quand il eu le courage de demander:

J'peu prend ma banniere boss, lé belle, ca fra peur au zot et donnera du courage au boyz, cé la klasse

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Nord de la forêt
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Aprés s'être "déguisé "en buisson, Krasstek s'approcha de son squig, le pris fermement et le jeta dans la boue puis dans le tas de feuilles.

Gwahwahwah, r'gardez ca, jé un squig à plume.

Sentant que son boss se retenait pour ne pas l'étrangler, Krasstek s'éloigna et essayait de ne plus se faire remarquer.

Kronor s'était mit les mains sur la tête.

_Mais nom de Tzeentch... Qu'ils la ferment ! C'est miracle si le convoi ne nous a pas encore repér...........

Kronor se figea. Il sentit quelque chose bouger non loin derrière les buissons, et au détour de la route, des ombres grandissantes approchaient.

_Ils approchent... tenons-nous prêt et par pitié si quelqu'un sait comment faire taire un orque sans le tuer qu'il se manifeste et intervienne !

Un tumulte agita les rangs des Orques alors
que l'heure fatidique approchait. Les rangs étaient essentiellement
composés de Guerriers Orques : des grosses brutes dont les pulsions
sont aussi primaires que leurs capacités de raisonnement. Tyrork avait
émis l'idée de doubler les Chaotiques en chargeant avant le signal, car
il ne voulait pas que " dé brav'z'orks s'fassent prendre pour dé squigz
de gard' ". Cette idée fut acclamée et qualifiée de brillantissime -
enfin, l'équivalent orque -, cependant, quelques réfractaires se
cramponnaient aux ordres premiers de Krag, qui étaient de faire avec
les Chaotiques ...

" J'm'en fous, moi j'veux allé krazer lé sal'meks ! hurla Nuzgob
- Tyrork é d'venu fou, l'a dû boire trop d'bière d'champignon, l'big boss a dit k'y fallait pas ! répliqua Snikzod
- Tu traite'eul'boss de bourré ? hin ? Cé sa !!! TU TRAITE'EUL'BOSS DE BOURRE ! "

La
dispute prit immédiatement de l'ampleur, et bientôt une demi-douzaine
d'Orques afflua, plus désireuse de se battre que de résoudre le
conflit. Nuzgob hurla que Snikzod était " Un sal'mek komm'cé él'veurs
de squigz du Chaos " ce à quoi l'interpellé répondit " K'il était
maboul' komm'un fanatik' ".
Les Orques en virent bientôt aux mains,
et cédèrent à leurs instincts guerroyeurs en mattraquant méthodiquement
la tête de l'infortuné Snikzod, qui s'écroula à terre, assomé. L'Orque
bélliqueux avait désormais la voix libre, et il s'élança contre le
caravane avec à la bouche le fameux cri de guerre Orque : WAAAGH !
Le
signal tant attendu fut donné alors même que Krag revenait pour donner
des ordres à l'armée Orque, et tout le monde s'empressa d'envoyer les
projectiles qu'il possédait en l'air, conformément aux ordres de
Tyrork. La bataille venait de commencer.

***********




Un vent de panique souffla sur le convoi, les cris de guerre
semblaient provenir de partout. D’autant plus totalement encerclés. Il n’y
avait pas assez d’espace pour se battre et encore moins lorsque l’on est encerclé, Ils
allaient être obligés de former des cercles défensifs et prier pour que les
orques ne soient pas en supériorité numérique. Les officiers rugirent leurs
ordres et les soldats commencèrent à se mettre lentement en formation


« FUYEZ ! FUYEZ ! NOUS SOMMES PERDUS !
ILS ARRIVENT »


Etait ce un ordre ? Fallait-il fuir ? Un grand
nombre d’hommes pensa que c’étaient le cas. Avant même le début des combats,
c’était la débandade. Les hommes prenaient les jambes à leur cou et se
dirigeait vers l’arrière du convoi. Les chevaux étaient paniqués par toute
cette agitation. Deux des dix chariots, devinrent totalement hors de contrôle.
Les chevaux qui les tiraient partirent au galop et écrasèrent les malheureux
hommes qui se trouvaient devant eux avant de se retrouver bloqué par les
chariots devant eux.


Les officiers criaient leurs ordres, mais ils semblaient que
cela soit trop tard. Seule une poignée d’homme vaillant resta auprès des
officiers et se prépara à un difficile combat.


******
Rappel des règles

• seulement deux messages par jours
  
• pensez à indiquer votre localisation au début de CHAQUE message
  
• si vous voulez combattre un joueur, arrangez vous avec lui par MP
  

Voici les armements des PNJ

• Kossars : arc de base, Hache à deux mains, tunique de cuir brut et fourrure
  
• Guerriers kislevites: hache lobayer lourde, gilet de maille ou Brigandine
  
• Gobelins : Arme de base, boucliers
  
• Certains sont équipés de lances, d'autres ont échangé leurs boucliers contre des arcs courts.
  
• Les plus chanceux ont une armure légère.
  
• Guerriers Orques : Kikoup' ( donne un surplus de pêche lors des charges par rapport à une arme classique ), armures légères
  
• Certains ont des lances, d'autres une deuxième arme, et d'autres des boucliers
  
• Une petite partie des guerriers sont des " Kostos ", ils sont plus forts que les autres Orques.
  

Voici la nouvelle carte de bataille, qui indique la localisation des troupes de l'ordre et du désordre



excusez moi pour ce post un peu brouillon mais figurez vous que je dois aller au restaurant et que je pars immédiatement
retour en fin de soirée. Les autres MJ ont toutes autorité pour faire régner l'ordre ou vous donner des indications.

A ce soir et amusez vous bien

Tyrork hurla sa joie : on allait enfin pouvoir KOGNER ! Il aggripa fermement Orkrage et donna un coup de pied dans le séant de Korgoth pour qu'ils se " magn' le kul " et entraîna le porte-bannière à sa suite en hurlant comme un animal fou

WAAAGH !!!! ALLEZ Y A FOND BOYZ ! WAAAAAAGH !!!

Le gros tas de métal et de muscles apparut bientôt à l'orée de la forêt, faisant tournoyer son énorme kikoup' dans les airs

[Hrp] Bastoooon et bon appetit pour Sig' [/HRP]

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Toujours a la même place
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Confusion.
Au devant du convoi ce n'était que bruits de heurs et fracas métaliques parsemés par des ordres confus étouffés par des cris guturaux.

A l'arrière pourtant c'était étrangement calme , le cochet avait stoppé les cheveaux et avait dégainé sa lame.
Helas le Repurgateur ne voyait pas les agresseurs , il fit pivoter sa monture pour se mettre â gauche du dernier chariot.
Ce qui devait arriver arriva... Ce dit-il. Comment les officiers avaient pu être si imprudent et ne pas envoyer d'éclaireurs ? Il jura dans sa barbe de quelques jours et astiqua concenscieusement ses trois pistolets.
Il vérifia l'étanchéitée de sa poudre et le fil de sa lame elfique.

_Je suis pret bande d'enflures ! VOUS ALLEZ TATER DE MA LAME FOI DU CORBEAU DE DRAKWALD ! Cria t-il.

Rendu fou par les cris de ses congénères, la bave aux lèvres et les kikoups au clair, l'orque massif chargea comme un dément en poussant le cri tribal le plu sterrible du groupe déjà élancé
(peut êtr e aussi pasqu'il était le plus proche)

"WAAAAAAAAAAAAAAAAGH!!! J'VAIS REDUIR' VOTRE KRAN' EN BOULLI!"

L'orque faisait tournoyer ses lourdes lames, en courant à toute allure vers les premiers défenseur du chariot, qu'il comptait bien écrabouiller.
Cavalcadant à travers les arbres, il cherchait à être le premier au corps à corps.
Ses yeux étaient injectés de sang, et sa rage inhumaine le possédait , il avait soif de sang et de carnage.

"GORK ET MORK, Y PEUV' PAS PERDR' ET LES ORKS NON P'US!!!!"

Enfin, il atteignit l'orée de la forêt, et il apparut aux kossars éloignés comme un démon vert , que seule la mort pouvait appaiser.

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charge le milieu du convoie depuis le nord
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[i]Orkrage ne lachait pas Tyrork d'une semelle dans la baston. Le spectacle des 2 gros orks chargeant à toute vitesse était effrayant, Orkrage vit une bande de Kossar à part, il remarqua une silhouette noire:

Tyrork, celui la lest pour moa, vien toi, le gran tnébreux

[i]Un kossar essaya d'arrêter tyrork qui se ruait sur le répurgateur,mais la hache du guerrier ricocha sur l'épaule de l'ork. L'ork énérvé asséna un violent coud de tête à l'agresseur, qui se retrouva au sol. Orkrage continuait sa route vers le répurgateur.

En fait d'éclaireur, Martin se sentait soudain TROP en avant du convoi. Vassily venait de verser, deux flèches dans le ventre, et son cheval cabré resta en l'air un instant, dans son hennissement douloureux, avant de s'effondrer sur le sol, le flanc percé. L'écuyer lança une très brève prière à la Dame avant de tourner bride, non sans s'époumonner :

"Orques ! Orques !"

Bénie soit la Dame, Martin trouva son seigneur visiblement vivant, au milieu des traits et des hurlements, suivi par un des kislévites. L'écuyer oublia le danger et le serrement lâche de son ventre, pour se jeter au galop jusqu'au chevalier. Les ennemis approchaient, sortant des bois, et bientôt écraseraient la minuscule patrouille.

Il fallait fuir. Vite. Rejoindre la colonne avant d'être coupés, ou ils rejoindraient tous le pauvre Vassily.

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A l'avant, avec Harkon et Ankor

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- Le marteau et l'enclume ! Cria l'elfe tout en apercevant de compact et massifs groupuscules verts fondrent tout autour de lui sur les hommes pris de paniquent et sujet à la débandade, l'impact serait brutale et sans merci, il fallait que les hallebardies jouent avec efficacité leurs rôles de tampon afin que les hommes plus au centre puissent manoeuvrer sur les flancs adverses qui se créeraient inévitablement une fois l'affrontement débuté.
-Nous sommes le fer froid que ces abominations perverses veulent voir choir à terre en nous brisant, mais nous sommes ardents défenseurs et capables de nous adapter ! Former le mur de lances de part et d'autre du convoi hallebardiers !

L'elfe vu soudain que devant aussi, sur la route enneigé parsemé de brindilles mortes, les peaux vertes se massaient en troupes vociférantes, lançant toutes sortes de projectiles létals, aussi canalisa t-il instamment l'Aethyr afin de créer une pellicule translucide à même de le protéger lui et les hommes l'entourant directement des tirs ennemis .

[HRP] Ademor n'étant pas la ce soir je ferais un peut de son rp [/hrp]


Ademor vit au loin la mare verte qui avait commencé l'offensive. Il ordonna au deux premières troupes de maraudeurs de chargé et se retourna vers l'état major pour leur posé ses marque maléfique (bien que bénéfique...)

_Kalhos reste avec moi, pendant que je donne mes ordre, demanda Ademor.

Kalhos s'approcha alors d'ademor et était prêt à protéger son maître du moindre ennemis qui se montrait devant lui.

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Dans la forêt, au sud du convoi, à l'écart de l'Etat-Major
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Kronor observait toujours agenouillé derrière les épais buissons au sud du convoi. Il lançait des regards aux troupes Dolgans qui avaient été mises sous ses ordres.

_Moui... laissons-les se tourner vers les orques, nous les prendrons par surprise.

Les premiers fracas se répercutèrent à travers la forêt, les premiers cris de rage, les premiers gémissements et la première victime.

Kronor se leva, toujours caché du convoi par les hauts buissons et tendit une main vers l'Etat-Major.

_Attendons encore.... quelques... secondes !

Les défenseurs se tournaient et commençaient soit à fuir, soit à faire face aux orques arrivant du Nord. Bientôt le moment d'attaquer pour Obscur serait venu.

_Attendez.......................................

Les orques affrontaient déjà les premiers défenseurs, ceux-ci étaient nombreux, parfait.

_MAINTENANT !!!!!!!!!!!!!!!

Kronor bondit. Il ne savait pas vraiment si les autres le suivaient mais il était le premier au début.

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Charge le milieu du convoi
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_AFFRONTEZ LA COLERE DE TZEENTCH ! CRAIGNEZ LA PUISSANCE D'OBSCUR !!!!!!!!!!!!!!!!

OBSCUR OBSCUR OBSCUR OBSCUR !!!!!!!!!!!!!!!!!!

Brandissant sa masse lame de sa main gauche, il frappa une première fois la roue d'un chariot, il ne pourrait plus partir. Ils mourraient ici sans pouvoir fuir.

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Milieu du convoi
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Änndgrim se lança contre les hordes de chaotiques, il lança la contre charge, se retrouvant face à un imposant maraudeurs, le chocs l'avait un peu assomé, et il ne put porté le premier coup et subit une pluie de coups des bras mutés. Il ne pouvait pas faire grand chose, mais en parant un coup avec la lame de sa hache il trancha à moitié le bras du chaotiques, ce dernier, été plié de douleurs son bras pendouilait dans le vide.
Änndgrim eu alors le temps de frapper et lui assena un coup vertical entre l'épaule et le coups sa lame s'enfonçant d'une vinghtaine de centimètres.

-Gwahwahwah, ça m'fait 5, k'es c'ki sont bêtes ! Et oublié pas lé gobz, s'lui ki en tue l'plus aura droit d'se servir en prem's.

Krasstek et trois autres archers étaient perchés sur des branches d'arbres, à la limite du champ de bataille et ne se focalisaient que sur les fuyards ou les proies isolées.

-Tiens Groblok, prend c'te champi et va dekortiker du nabot, montr' leur s'koi un skig !

Krasstek pris un des nombreux champignons qui était dans le sac et le jeta a son squig qui était au pied de l'arbre. Après avoir gobé son champignon, Groblok devint rouge, tel un feu ardent, la gueule toute de bave et s'élança dans le champ de bataille, mordant et déchirant toutes les viandes sur pattes qui se trouvaient sur son chemin.

Et oublié pas lé gobz, s'lui ki en tue l'plus aura droit d'se servir en prem's.

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Arrière du convoi
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Il n’y avait plus aucun doute que le convoi faisait l’objet d’une attaque surprise. Got tendit l’oreille… Parmi les cris de panique et les râles des agonisants il reconnu comme un son familier l‘horrible vocifération que produit la race des plus sanguinaires et des plus stupides combattants du vieux monde: les ennemis héréditaires de tout son peuple: les Orks… Ses muscles se tendirent la haine l’envahissait peu à peu, son regard se durcit d’une manière inquiétante au fur et à mesure qu’il se remémorait les rancunes à venger, voyant des soldats kislévites fuir vers sa position sans avoir combattu, l’envie lui pris de déchaîner sur eux la colère des runes. Cependant il fit un effort pour se contrôler, les humains sont parfois faibles et fuient sans se battre, mais il savent aussi faire preuve d’un courage étonnant dans les situations désespérées si on leur dit les mots justes.

Fils de Sigmar! Vos frères se battent à l’avant vous pouvez entendre leur cris! Ecoutez ces cris! Ecoutez ces voix! Ce ne sont pas des cris de panique! Non mes amis, c’est le chant mélodieux des braves et des justes qui luttent pour leur patrie! Qui luttent pour Kislev! Qui luttent pour la Tsarine! Pour la Tsarine!

Certains des hommes qui avaient fui reprirent courage à ces simples mots, et se mirent en chœur à crier:

Pour la Tsarine! Pour la Tsarine!

Got se tourna vers le mage et l‘elfe à ses cotés,

je pense qu’il faut diviser nos forces en deux groupes et remonter ainsi de chaque coté du convoi jusqu’au lieu de la bataille en essayant de rassembler les hommes qui sont en état de se battre ou qui ont fuit dans les bois, qu’en pensez vous?

*****
Flanc gauche du convoi.
*****

Le cœur de la jeune elfe se serra lorsque le cri puissant et guttural de la waagh s’éleva des bois environnant couvrant aisément les chants euphorique des guerriers.
La note sauvage resta suspendu dans l’air un long moment, laissant pleinement le temps aux auditeurs d’en comprendre le sens.
Les vociférations des monstruosités verte ne tardèrent guère a prendre la relève du terrible et tant redouté cri de guerre. Jaillissant des fourré, transcendé par l’approche du carnage, les brutes assoiffés de sang s’élancèrent au devant des rangs des hommes, nains et elfe créant un mouvement de panique parmis ces derniers.

Les regrets d’avoir abandonné son poste d’éclaireur, laissant la compagnie tomber dans ce piége mortel, submergèrent la jeune elfe avant qu’ils ne soient balayé tel de simples fétus de paille par le vent déchaîné par cette rage nouvelle naissant à travers l’image de ces monstres.

Tirant une flèche de son carquois la guerrière fantôme l’encocha soigneusement à son arc avant de braquer ce dernier vers la marée verte s’apprêtant à déferler telle une lame de fond sur les défenseurs.
Cependant, avant d’avoir pu décocher le moindre trait une main la saisie la tirant violement en arrière. La voix bourrue d’un soldat Kislévite s’éleva, l’empêchant de répliquer.

Vouloir mourir, elfe ? Premier rang pas être pour toi, mais pour soldats Kislévite ! Da !

Sur ces mots les rangs des guerriers se reformèrent, opposant un véritable mur d’acier a l’ennemi ils se campèrent fermement sur leur positions.
Encochant une nouvelle flèche, cette fois à l’abri derrière les hommes d’épées, Alana crut entendre a travers le tumulte le timbre rêche du Kislévite psalmodier lentement.

Ce petit chemin qui sent la noisette…

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Arrière du Convoi
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L'homme avait écouté le discours du sage Nain.
Démagogie , mais néanmoins il avait eu son effet sur les boyards.

_Bien , Maître Nain je vous suivrez car je peux compter sur vous , néanmoins je prefere éviter les Elfes ... j'ai comment dire...Mauvaise réputation parmis eux. Il sourit avant de reprendre son air sérieux.

_Je propose qu'on laisse deux hommes ici et qu'on remontent comme vous l'avez expliquez. Malgrés ma réticence a la discipline , je suivrais vos ordres car vous êtes sage et fort comme une longue-barbe , quels sont vos directives ?


[HRP] J'aurais plus de 2messages par jours , je previens pour eviter de crier ! [/HRP]