[Campagne] Embuscade ! [Terminé]

Mais que faisait cet imbécile de Korv ? Pourquoi n'obéissait-il pas ? Il était en train de faire tout rater, en plus de le déshonorer en l'ignorant de façon aussi ostensible.

- Désolé Korvadiel, mais je n'ai pas le choix. Je te consigne en Cour Martiale pour insubordination et refus réitéré d'obéir à un ordre direct. D'ici là, je me passerai de ton aide et tu ferais bien de te tenir à carreaux si tu ne veux pas être définitivement viré de la Confrérie. Tu va à l'encontre de la mission que m'a confié le seigneur Brisecrâne et ça ne sera pas sans conséquences.

Le chevalier tendit le bras à Kenethil pour le faire monter.

- Tu viens, Kenethil ? Si nous n'y allons pas rapidement notre employeur va s'impatienter, de plus on perd du temps à parler et si il y a vraiment quelque chose dans ces bois, elle a largement eu le loisir de se rapprocher.

Ademor venait de recevoir une information par un corbeau comme quoi il y avait un début d'embrouille dans le convoi.

Ce sera parfait, si en plus ils pouvaient commencer à se taper dessus avant l'embuscade, cela fera plus de sacrifices à faire en l'honneur de Tzeentch à la fin.

Son sourire s'accentua alors que l'impatience commençait à se faire sentir dans les rangs des maraudeurs.

ChaK'zul ayant eu vent d'une probable bataille fut prompt à la réaction. Il enfila tant bien que mal sa lourde armure, se saisit de ses deux kikoup', qui par chance avait été aiguisés toute la journée précédente, qu'il accrochât à sa ceinture et se mit à courir bouclier en main, en suivant la trace imposante de Tyrork



En arrivant sur le lieu de l'embuscade, l'orque fut surpris en apercevant le groupe de peaux vertes silencieux et immobile, comme paralysé sous le regard imposant du chef orque.

" Ben où ki sont lé zén'mis ? "

Alors Tyrork posât son regard sévère sur ChaK’zul en laissant échapper un léger grognement. ChaK'zul compris, non sans mal, que le combat approchait et que pour une fois la discrétion serait de rigueur.

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Avant du convoi

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-Camarade Dangorn la panique vous fait vous égarez, conaissez vous ces puissant magisters que l'on nomme mages de batailles communément dans l'Empire ?
Ils sont redoutablement efficace lorsqu'il s'agit de décimer par paquets entiers les ennemis, mais inéfficaces, la plupart du temps, lorsqu'il s'agit de pister un chevreil sous une pluie tenace et un ciel grisonnant Adressa au chevalier empourpré Korvadiel qui était un peu désemparé face à la fougue tempétueuse de son compagnon bretonnien

-Considéré moi comme inapte et inutile dans la mission que vous m'avez assignée, j'ai par ailleurs ma place à l'avant de la troupe, je souhaiterai montrer à sire Harkon de quelle manière un brigand à la petite semaine grésille lorsqu'il s'enveloppe d'arcs electriques multicolores . Dit l'elfe avec un grand sourire au maître de guilde de l'Aube Eternelle.

- Mais pourquoi ne me l'as-tu pas dit plus tôt, triple buse ! Ca m'aurait évité d'essayer de te forcer à faire quelque chose que je croyais que tu étais capable de faire ! Bon, du coup, Kenethil, veux-tu toujours venir ? Puisque je me suis visiblement fourvoyé quant à la performance des elfes, je pourrai essayer de me débrouiller avec seulement mes trois compagnons kislévites et Martin.

Dangorn était énervé. Non seulement Korv le ridiculisait en public, mais en plus il lui avait fait bigrement perdre son temps par son mutisme.

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Arrière du Convoi
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Got accepta le morceau de viande que lui tendait Hark et le remercia:
« déguster« probablement qu’il ne connaît que quelques mots de notre langue, se dit le nain.
Le morceau avait du voyager sous la selle du répurgateur, à la mode des cavaliers kislévites qui les accompagnaient, cela procurait plus de tendresse à la viande et parvenait même à la réchauffer dans cet environement glacé néanmoins le procédé avait tendance a lui donner un fâcheux goût de cuir . Wandal? Demanda l'humain, Dawr répondit le nain.

Ok ek Umgi Kazhalid Adgandkul ? Se dit Got pour lui-même toujours méfiant, mais peu importait pour le moment de répondre à cette question, car d’autres se faisaient plus pressentes:
Dite moi Hark, comment est l’ambiance à l’avant? J’ai envoyé un homme mais il a été moins rapide que vous apparemment. Ici nous sommes les seuls mercenaires Laconfir, moi et maintenant vous, si un danger nous guette tapis dans la forêt sur cette route sinueuse et qu’il survient ici, je ne donne pas cher de notre peau. Got avait parlé assez bas pour ne pas inquiéter les hommes de troupes de la tsarine.

après avoir attendu , la fin de la dispute entre le chevalier et le mage,
Kenethil attrapa la main tendue par Dangorn et monta sur son cheval.

"Je reste un éclaireur , tu peux compter sur moi Dangorn!"

Encore une journée qui allait se montrer très longue.

Pendant ce temps, Dangorn avait aidé Kenethil à monter derrière lui.

- Parfait ! Nous voilà donc partis. Boris, Dimitri, allez dans les bois sur votre gauche. Martin, Vassily, couvrez la partie droite. Moi et Kenethil prenons le centre de la route et jouons le rôle d'appâts. Si jamais nous sommes attaqués, tout le monde revient sur la route et nous partons au galop prévenir les autres, tout en couvrant nos arrières bien entendu.

Les kislévites n'en attendaient pas moins et firent progresser leurs montures dans les bois. La forêt était dense, et ils devaient avancer prudemment. Dangorn et Kenethil les suivaient depuis la route, au petit trot.

Les Orques s'étaient concertés, et leur plan de bataille était à peu près clair. Orkrage arriva avec une grande bannière dans le plus pur style Orque : décorée avec des trophées, recousue à beaucoup d'endroits et d'une couleur sombre réhaussée par des damiers. Elle avait pour motif central un crâne fendu.

Har har ... Tout l'monde konné l'plan, Orkrage, plank la bannière, j'veux pas k'lé z'ots z'avortons nous r'pèrent avant k'on CHAAAR... heu, k'on charge.

Surtout oublié pas, les boyz. D'la férocité, et un bô WAA... waaagh !

Le chef était frustré de ne pas pouvoir hurler, d'habitude, les Orques étaient fiers de leur cri de guerre

Grumpf, ça m'fé nark c't'histoire d'embuskade, j's'rai d'avis k'on en r'fasse pu ...

* Suite aux propos d'Ogrink :

Mé bien sûr ke j'sais c'ke j'fais ... Enfin, prek, quoi, mais ça chanje rien, hein ?

Il était tout de même un peu nerveux, c'était la première fois qu'il avait à commander une force aussi importante, et le plan n'avait pas été approuvé par Krag ... Beuah ! Tyrork chassa bien vite ces doutes de son esprit étroit : l'heure allait venir, on allait pouvoir KOGNER, KRAZER et DESSOSSER ces " sal'meks de pourritures d'fiente de squigz " *

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Dans la forêt, au nord du chemin
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*Ogrink avait gardé le silence jusque la , inquiet de ne pas voir Krag parmis les boys dans la bataille , il ne voyait pas d'un bon oeil le fait de voir Tyrork à la tête de la waaagh , il ne dessera pas les dents mais lache ces quelques mots sans perdre son sang-froid*

-Tyrork franch'men , j'spère k'tu sé ce que tu fais ...en too ka mon Squig rest'ra a sa plasss si t'fé pa l'%!x£ .
-J'atten té ordres , cé kan tu veu ...


*Ogrink commencait à rassembler dans le calme son contingeant de gobelin et de squigs , tapies dans l'ombre ...pour une fois , le troupe etait silencieuse et attendait son heure*

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A la lisière, à l'avant du lieu de l'embuscade
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Linnavouable se tenait avec ces trois meilleurs guerriers à la lisière de la forêt. Ils avaient eu l’honneur d’être les premiers de la bataille, lorsque que le signal lui sera donné, ils leur suffiraient de s’avancer pour faire arrêter ce convoi de faibles. Et comme un démon sorti du Warp tous chargeraient en même temps et là, le carnage commencera.
Cette idée le fit frissonner son épée démoniaque se mit à trembler dans son fourreau, son armure commença à lui faire sentir son impatience de voir le sang coulé sur les visages des âmes qui lui couraient dessus, leurs traits déformés, comme par la douce douleur de leurs membres arrachées. L’ennemies, lui, à la vue de son armure auraient une très désagréable sensation de malaise ce qui lui rendrait là tache plus facile.

_ Tenez-vous prêt !! Pour Tzeentch !! Tuez tous ses faibles !!

Ordonna t’il a ces guerriers.

Kronor les sentait approcher. Ils arrivaient. Lui ne pouvait pas vraiment les sentir mais l'agitation soudaine des arbres alentours, la tension atteignant un niveau quasi impossible à maîtriser... Tant de signes avant-coureurs, celà pouvait tout aussi bien être un simple acte de l'esprit tourmenté de l'Elu.

_Si Ademor ne s'est pas planté, murmurait Kronor pour lui-même mais assez fort pour que beaucoup entendent, ils sont les mêmes hommes que ceux qui nous ont attaqué au Nord....

Kronor se souvint soudain d'un autre homme, un homme qu'il n'avait put affronter en duel car la retraite avait empêcher le combat. Cet homme savait beaucoup de choses sur lui mais le Champion d'Obscur ne savait rien. Il l'avait appelé Kronor.

_Je vais peut-être le retrouver...

Cet homme s'appelait Borgir Darkmoon.

Sursautant aux aboiements du nain Alana interrompit son chant. Elle profita de l’interlude pour lancer un regard assassin au roquet avant de reprendre sa mélodie tout en prenant bien soin de hausser une fois encore le ton.

Les éclats de voix provoquèrent cette fois l’envol de quelques oiseaux dans les frondaisons proche.
Les plus craintifs des membres du convois y virent la un quelconque mauvais présage ce qui provoqua l’hilarité d’une bonne partie des soldats Kislévites.

Changeant de registre l’elfe entonna cette fois une chanson fort bien connus des impériaux qui fut d’ailleurs vite reprise par ceux se trouvant aux abords de la guerrière fantôme.

Ce petit chemin qui sent la noisette...
Me rappelle soudain ce grand jour de fête
Où plusieurs gredins me prenaient la tête,
Mais comme je suis bourrin, je leur pète la tête,
Je prends tous leurs biens, leur or et leurs guêtres,
Ah c’est tellement bien, de piller ces bêtes !
Je n’oublierais point cette chansonnette
Du petit chemin qui sent la noisette… !

Un buisson fremissa derrière Tyrork, il se retourna vivement pour affronter le danger...

Neraik en sortit des fourrés en jetant des regards furtifs aux Orcs qui le fixaient maintenant, il s'approcha doucement de Tyrork et murmura a son oreille:

"Pardon chaif m'suis perdu dans la forêt, j'suis pas en retard pour la baston ?"

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Milieu du convoi
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Änndgrim sort sa pipe, qu'il bourre de tabac.

Z'en voulez Sehfan, je fume déjà pas souvent et j'aime pas fumer seul, c'est du bon tabac, il vient de......, roh chez plus mais le type qui me l'a vendu m'as dit que c'était de la qualité, moi j'y connais pas grand chose.

Si vous pouviez faire gaffe avec cette arquebuse, ça me fait un peu peur, une bonne arquebuse naine je dit pas, mais je veux pas mourir victime d'un pétoir impérial.





HRP: s'il vous plait n'oubliez pas les positionnement à chaque fois.

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Forêt, au nord
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Tyrork sourit, il aimait bien " c'te franche tête de kon " de Neraik, il l'avait même affronté dans la fosse de combats, avec qu'elle ne soit détruite par l'invention " foâreuze " de son ami de toujours : Nezgal Mad Boon, l'Orque à bonnet.

Nan, et j'sais déjà où k'tu vas être dans l'beau méchoui ki s'annonce ... Reste près d'moi é d'Orkrage, tu vas en voir des belles ... !

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Dans la forêt, accroupi dans une fougère
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Krag avait laissé partir le groupe de Peaux Vertes devant, il avait trop mangé de squigs avant de partir et avait eu quelques problèmes de digestion.

Voilà plusieurs jours que lui et les boyz de son clan avaient répondu à l'appel des hommes du Chaos, ils lui avaient promis une bagarre digne de son clan, une bagarre qui lui apporterait suffisament de renommée pour pousser les Peaux Vertes alentour à rejoindre sa Waaagh sans cesse croissante.

Le Big Boss n'était pas Orque à refuser une bataille de toute façon et cela permettrait au clan de perdre quelques un de ces membres autrement que par cannibalisme ou en de vaines querelles internes.

Krag avança sans faire de bruit, ou tout du moins avec la discrétion dont est capable un Orque, il aperçut enfin les autres Peaux Vertes tapis dans l'ombre des arbres, immobiles, comme morts.... c'est d'ailleurs ce que crut un instant le Big Boss et il fulminait déjà à l'idée qu'il ait pu manquer une bataille, fut elle sa dernière.

Un large sourire traversa son visage lorsqu'il vit les Peaux Vertes tourner la tête à son approche, l'heure du trépas n'était pas encore venue , Gork et Mork, les dieux querelleurs, pouvaient encore attendre ses Boyz.

Voyant que toute l'assemblée Peaux Vertes observait son approche, Krag bomba le torse et sortit son énorme Kikoup tout en s'approchant de leur position, son esprit se perdit un moment dans des rêveries de gloire, il se voyait terrasser les défenseurs du convoit dans un déluge de coups et de sang, après quoi il massacrerait les hommes du Chaos pour ne pas avoir à partager le butin, oui bien sur il pourrait même massacrer ses boyz pour avoir pour lui tout seul toutes ces richesses.... Krag fit une grimace et serra les dents, tout en se grattant la tête, signe chez lui d'une profonde réflexion, quelques minutes passèrent et dans une moue dubitative teinté de résignation, il finit par se dire qu'il ne pouvait pas massacrer tout le monde, non.... comment ramenerait il son butin seul !?

Les rêveries de Krag s'envolèrent au moment ou il se prit le pied dans une racine et s'écroula de tout son long dans les fougères, un bruit sourd accompagna son atterissage et quelques insultes filèrent entre ses dents...

Krag releva difficilement la tête, il avait de la boue et des feuilles collées sur une bonne partie de son visage.

" J'suis pas tombé pigé ??!! ça être tactik de kastagne de Gork, faut s'mettre à l'affut, pis d'avek lé feuilles on se kammoufle !! kom ça lé Nabots y savent pas k'on est là !! "

Quelques Peaux Vertes aux alentours aquiésèrent d'un hochement de tête et se jetèrent la tête la première dans les fougères, avec toute la discretion que l'on connait aux représentants de leur espèce.

Tyrork écarquilla les yeux : son espoir de briller comme étant " l'mailleur takticien k'eul'monde é jamais vu " venaient de s'écrouler ! Au moins, il espérait que Krag s'en tienne au plan qu'il avait si minitieusement préparé et qu'il lui laisserait prendre la tête de la charge

Chef ... Chef ... Douc'ment ... Ouais, cé moi, bon ... Koutez, cé kool k'vous soyiez v'nus, mais les boyz é moi, on a un vach'teu bon plan d'bataill' et tout, ça s'rait pas mal k'on s'les fasse komm'k'on a décidé, vrément, un vach'teu bon plan, tout planifié é tout ...

Le lieutenant de Krag espérait en vain qu'il entende quelque chose à sa requête, sans quoi l'assaut sur la caravane risquerait de se dérouler dans le plus grand désordre ...

EDIT HRP : Rp peaux-vertes suspendu jusqu'au début de l'attaque, contactez-moi ( seulement les Orques/Gobelins ) pour en connaître la raison.

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Avant du convoi
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Borgir comme à son habitude était pensif... Il observait avec un oeil attentif cette superbe forêt , très sombre , qui semblait cacher bien des mistères.
Il sortir son pistolet "Cair de Lune" et le nettoya , l'astiqua , puis le rangea.
Il alla voir Anndgrimm , et lui dit
" Et moi? J'ai le droit à un peu de ton herbe l'ami?"

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Forêt, au nord
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le Big Boss écouta Tyrork un moment un large sourire aux lèvres avant de prendre la parole.

" Le seul ki fé les plans ici cé l'Big Boss é l'Big Boss ici cé moua !! "

Krag attrapa Tyrork par le cou et le serra violemment.

" Kekchose à r'dire à ça ??!! t'Krois ptêt ke té Big Boss ??!! "

Krag rejeta en arrière Tyrork avant de faire signe aux autres de s'approcher.

" Koutez moi tous, les Kass'Kranes y font pas dé plans de zhoms, y font pas dé truks de sournois kom lé rats ki kauses, lé Kass'Kranes y gueulent fort pour ke tous cé minabs sachent ki vont bientôt krever !! Y a ke ça ke Gork & Mork y zaiment, l'reste cé de la fiante de Squigs !! "

Le Big Boss fit signe de la tête pour désigner les hommes du Chaos.

" Alors l'plan k'jé inventionné lé vachemment bien, dés k'on voit cé chtis nhumains é cé Nabots, on sort nos Kikoups et on fonce dans l'tas !! Ca cé stratégik !! Ca cé s'ki plait à Gork & Mork é cé pour ça k'on va pas tous lé krabouiller !! "

Kronor baissa la tête exaspéré...

_Est-ce que quelqu'un sait si le mot : "discret" fait partie du vocabulaire orque ? raillait-il.

En effet, la chute de Krag, les vociférations suivantes et l'agitation dans les rangs orques risquaient de prévenir un peu trop tôt le convoi.

_Decidement, la stratégie et les orques ça fait 36.

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Avant du convoi
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Borgir s'était figé .
Un puissant cri venait de heurter l'horizon ténébreux de la forêt.
Il observa ses compagnons , se demandant si ils avaient entendu ce cri , mais personne ne semblait l'avoir entendu..."Etrange , se dit-il"