[Campagne] Embuscade ! [Terminé]

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En renfort au front avant
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Ademor avait fais jaillirs de nos corps la force de Tzeentch et nous voilà parrés sur nos disque en front de soutien...

Les humains et autres nains semblaient étonnés de la magie que nous faisions jaillir et seul les elfes ou sorcier humain garder encore pour quelques instants leurs positions, mais de plus en plus nous ressentions qu'ils reculaient pour se retrancher,nous devions en tuer le plus possible car une fois replier et quelque peu d'organisation reprise ils rechargeraient et l'effet de surprise ne serait plus en notre avantage...

Les chevaux avaient peur de nos puissants sortilèges et rien qu'en approchant tous en rang, la crainte se faisait déjà forte...


EDIT : Gare aux fautes grossières "j'aillir" au lieu de "jaillir, prière de faire un petit effort de relecture ne serait-ce que par respect pour les gens qui prennent le temps de te lire merci

Aussi quand vous dites les elfes il n'y a que Korv et Alana, Kenethil s'étant "égarré"

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Avant du convoi
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Korvadiel et Ankor se dirigèrent comme un seul homme accompagné des restes de la troupe kislévite lourdement armée vers le groupuscule défensif formé de nains braillants et éructants des ordres avec rudesse parmis lesquels, reconnurent instantanément l'elfe et le nain, Morgrimsson le mercenaire à la barbe de neige et Brisecrâne aux traits déformés par l'âpre combat.
Ankor, dont le marteau était éclaboussé de sang sombre et de bouts de peaux éclatées, vint s'accouder à Drugnalf tandis que les mercenaires et les kislévites de l'avant garde entamé un mouvement de repli vers l'arrière garde.

Et, fendant la foule d'ennemis avides de tueries grotesques et de carnages impies, les mercenaires expérimentés et les kislèvites robustes armés d'haches lobayer et de long sabres à large plat chargèrent en une brutale et désespérée cohue hérissé de lames les rangs alors interloqués de peaux vertes et de cultistes.

La percée visant à la retraite progressive de l'avant garde vers l'arrière garde vira à l'hécatombe : les officiers charismatiques intimant aux hommes du Kislev d'opérée une charge ininterrompue, de courir tout en bataillant.

Korvadiel substitua son enveloppe physique à la douce matrice éthérée de l'Aethyr et, ainsi dématérialisé du monde physique, fendit à toute allure la masse indistincte de combattants et , se mettant au niveau de la selle d'un destrier puissamment caparaçonné mais sans cavalier, fit battre ses jambes immatérielles contre ses flancs avant de réintégrer son corps depuis l'Aethyr dans la réalité physique.
Il chevauchait le fringant destrier à la robe d'ivoire, harnaché de métal poli et argenté entacher de liquide vermeil.

Il réalisa alors qu'il se trouvait au milieu de cavaliers disparates, l'un d'eux soudain bifurqua droit sur les monstruosités vertes, c'était une femme fougueuse : Sigmaris Von Erckert, néanmoins Korv continua sa course parmis les kislévites :

- Amis du Kislev ! Continuez jusqu'à l'arrière du convoi si vous voulez réchappez à la tenaille fatale des forces obscures !

Sur ces mots l'elfe et sa monture improvisée distancérent les kislévites, et Korv, flattant l'encolure de la bête, rejoignit bientôt l'arrière du convoi, l'ouverture était maigre et semblai se rétrécir de minute en minute, il faudrait faire montre de célérité pour en réchapper vivant...

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Arrière du convoi
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"Änndgrim attend ! La rapière de mon père sous la charette..."

Sefhan fit une cabriole pour récupérer sa précieuse rapière familliale, l'Orque avec la banière était toujours présent occupé par des hommes de garde.

"Änndgrim, c'est pas %!x£ ce que tu dis, de faire revenir les gars de tête vers l'arrière, mais nous, nous irons pas loin avec une charette avec une roue cassé !"

Sefhan repris son arquebuse lancé dans la charette et la pointa vers l'avant du convoi.

"Occupez-vous des affreux qui nous entourent, le temps que j'en dégome quelques-un de l'avant! J'ai l'impression de voir Harkon beugler des ordres de replis en arrière."

Pendant qu'il parlait à ses compagnons, Sefhan visait les Gobelins et Orques qui entourraient l'avant du convoi afin de pouvoir dégager le chemin d'Harkon et des autres.

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Avant du convoi
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Tyrork venait finalement de se faire blesser par une flèche qui s'enfonça dans son flanc. Il la retira avec un grognement et regarda autour de lui : les Orques avaient des difficultés à l'avant, une sorte de " zom zarbi avec un chapo rigolo " semblait être à l'origine du problème.

Orkrage, restt'issi avek la bannière, j'vais aller klater dé krânes, Neraik, avek moi !

Aidé d'un des rares Orques suffisament dur pour avoir gagné l'estime de Tyrork, le barbare vert bardé de métal commença à se tracer un chemin sanglant vers le noeud supposé du problème : Sehfan.

mise à jour de la carte

"Kyssard armé de sa rapière et d'une dague terrassait autant d'ennemis qu’il le pouvait, les hommes devaient se replier pour survivre, cette idée ne lui convenait pas du tout car il détestait par dessus tout reculer dans une bataille."
"Kyssard se chargeait de préparer une ligne de défense efficace pour assurer la retraite des hommes à l'avant du convoi, hurlant aux hommes de resserrer les rangs et de tenir bon Kyssard senti que tout les hommes regardaient une seul et même chose ............. la bannière du Klan Kass Kran qui était plantée dans un chariot comme une épine dans le courage de ses troupes."

Bien il va falloir remédier à ça !!

"Kyssard chargea en direction de la bannière Orques esquivant les coups des Orques et hérétiques passant à portée."

Voyant qu’il ne pourra jamais arriver au contact de la bannière Kyssard hurla des insultes à l'Orc qui se trouvait prés d'elle.


Heeeeee tète de lard ! Pauvre bougre vert ! Gobelin de bas étages ! Merde de Squig !!

"Kyssard sortie un petit cadeau de son amie tromblon d'argent qui lui avait dit de l'utiliser qu’en dernier recours."

Il lança la grenade explosive sur le chariot et celle ci tomba juste aux pieds de l'orc !

Dans quelques secondes la bannière ne sera plus qu’un morceau de tissu brûlé !

[hrp] Un conseil tyrok tire toi du chariot et vient m'affronter si tu l'ose ! [hrp]

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sur un chariot
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Koy, y zen veulen à ma banniere de mon klan!

L'ork attrapa la bannière, l'extirpa du chariot, et sauta maladroitement du chariot, mais ne tomba pas à cause de son poids qui lui donnait un bon centre de gravité.

Jvé mettre ta tête sur ma bannière, et après, j'trouverais un o'tre chariot pour la mettre!

L'ork commença à charger kyssard, la bannière tenu solidement dans la main gauche, et un kikoup dans la main droite, prêt à décapiter qui en voudrait à sa bannière, mais son arme la plus redoutable était sans conteste son immense mâchoire, qui faisait figure de piège à loup.

Merde ma première mission avec les mercenaires et il faut que je sois à la traîne. Sigmaris vas me tuer voir pire.
Hors d’haleine Châtiment courait depuis vingt bonnes minutes essayant de rattraper la queue du convoi.

La jeune femme commençait à apercevoir à quelques dizaines de mètres devant elle les chariots du convoi et quelques hommes gardant ceux-ci, mais ce qui lui parut bizarre c'est qu’ils étaient à l’arrêt. Puis elle entendit le bruit des combats et comprenant ce que cela signifiait, elle accéléra encore sa course.

Arrivée à hauteur des derniers gardes Châtiment le souffle court demanda: Que se passe-t-il ? On est attaqué ?
Puis pour elle-même : Ce coup là c’est sur si je ne tombe pas au combat Sigmaris s’en chargera personnellement.
Dégainant ses pistolets, Châtiment chercha un officier du regard.

[HRP : voici le duel entre mon perso et celui de Linnavouable. Je précise que nous l'avons écrit à deux.]



Le choc fut d'une violence inouïe, la lame émit un son terrible au contact du bouclier de l'élu, comme un hurlement de terreur mais bien plus déformé, l'élu profita de cela pour mettre un coup de garde dans le nez de son adversaire, c’est là qu'il réalisa un détail au sujet de son ennemi. Celui-ci recula, le nez déformé et en sang. Outré par cet affront, le noble chargea de nouveau droit sur l'élu, en position pour son estoc préféré, à la bonne distance il commença à frapper de tout ses forces une fois puis deux, trois, quatre fois.

L'élu para la première fois avec son épée, qui tomba à cause de la violence du coup, le reste fut intercepté par son bouclier, qui fini par céder pour se fendre en deux. L'élu déstabilisé par attaque, etant à genoux et désarmé, Dangorn de Castagne crut le combat gagné, il lança son épée a deux main avec tout le peu de forces qui lui restait vers le cou de l'élu, totalement désarmé. Le Bretonnien ne réalisa pas tout de suite ce qui se passa, l'avant-bras de l'élu se dressant en travers de la trajectoire de l'épée, le son strident qu'elle fit en déchirant le métal corrompu, puis celui étouffé de la chair en train de se faire broyer, et pour finir le long râle de douleur du champion du chaos, de sang jaunâtre coula de ses veines ouvertes.

« Comment ? Ce n’est pas possible » se dit le héros de l’ordre pour lui-même.

Linnavouable avait mal, il était fou de rage à cause de sa douleur. Son faible adversaire avait l'air décontenancé par son action. L'élu profita de ce répit pour se relever, prendre son épée au sol et détacher sa masse de sa ceinture. Puis aussi rapidement qu'il le put, il évita l'énorme lame dirigée vers sa poitrine. Emporté dans son élan, l'homme passa devant lui, l'élu lui assena un grand coup de masse sur l'épaule, qui fut amortie par son épaisse armure. Se retournant avec vigueur, le chevalier lui lança une attaque avec son épée tenue d'une main qui entailla la cuisse de son adversaire. Le guerrier du Chaos désormais a genoux, il lui lança un magistral uppercut, qui envoya son casque voler à plusieurs mètres de là.

Dargorn de Castagne avait son ennemi dans le dos, même s'il aurait pu être étourdi par son dernier coup il devait toujours l'avoir à vue. Son épaule lui faisait un mal de chien, il était fatigué, blessé mais pour rester en vie, il devait continuer coûte que coûte, il devait avoir le chaotique en vue. Se retournant il aperçut le casque de se dernier par terre. Il leva les yeux pour regarder le visage du champion. Les larmes lui montèrent aux yeux, déja que la vue de son armure lui était désagréable, mais là rien, rien n'était comparable. Son visage ne comportait plus de globes oculaires et ses paupières étaient cousues, sa langue garnie de dents acérés et de bouches hurlantes ressortaient telle un serpent, de sa bouche sans lèvres.

« Je te connais » hurla-t'il « C'est toi, monstre, te souviens-tu de moi ? »





Cinq ans plus tôt, alors qu'il n'était qu'un écuyer, Dangorn avait accompagné son maître et tuteur à la Guerre Sainte contre la Tempête du Chaos qui menaçait de faire tomber Middenheim. C'est lors de la bataille de Zundap qu'il avait tué son premier chaotique, un immonde adepte du Dieu des Plaisirs. Mais c'est aux portes de la Cité du Loup Blanc que se déroula le plus gros et le plus intense conflit qu'il lui ait jamais été donné de voir. Les armées des Quatre unis sous la bannière de l'Apocalypse, tenue bien haut par Kordel Shorgaar, et à leur tête le terrifiant seigneur de la Fin des Temps, Archaon.

Alors que la bataille faisait rage, il vit son bien-aimé Roy Louen Coeur-de-Lion charger héroïquement le Prince-Démon Be'Lakor. Tous ceux qui avaient survécu à cette guerre s'en souviendraient à jamais.

A un autre moment de la bataille, plus tôt dans le conflit, il avait rencontré Linnavouable.





Avec le poids de ce souvenir, la fatigue, la douleur, c’en fut trop, il se plia en deux et vomit.

Linnavouable se trouvait à quelque pas du pleurnichard. Il s'approcha en boitillant, son corps entier hurlant d'une fraîche douleur, et il se prépara à le tuer. Il lança sa lame mais l’arrêta à quelque centimètres de la nuque du chevalier. Le détail, il devait vérifier le détail qu'il lui avait remarqué. D'un geste brusque, il souleva son adversaire du sol pour porter son visage, plus précisément ses yeux bleus, au sien. Cela ne pouvait pas être une coïncidence, il l'avait déjà vu, et aujourd'hui il l'avait à sa merci.

« Pourquoi, pourquoi ne m'achèves-tu point, monstre ? » hurla le bretonnien, pleurant de douleur et de rage, un filet de vomi sur son menton.
« Tu es marqué de la couleur de mon Dieu, bientôt tu aura l’honneur de le servir »

L’élu leva son épée et appliqua la pointe sur la joue du chevalier. Il entailla la chair, et Dangorn ne put réprimer un grognement de douleur. Linnavouable traça deux traits parallèles, et la peau coupée se mit à saigner.

« Désormais, tu appartiens à Tzeentch quoi que tu entreprennes. Tu es maudit. »

Dangorn de Castagne fut lâché sans ménagement, il tomba à terre inconscient et laissé là, pour mort.

[Hrp] J'ai réécrit mon message car l'autre contenait quelques anachronismes. Je m'en excuse si certains étaient en train de poster. [Hrp]

Tout n'était plus que confusion. La retraite opérée par les forces de l'ordre semblait difficilement converger vers l'arrière du convoi. Drugni et Harkon qui menaient leurs hommes avaient toutes les peines du monde à rallier le reste des troupes.

Les râles des mourrants, le choc des armes, les cris... Toute cette cacophonie résonnait dans la tête de Drugni. Le vieux nain revit émerger des souvenirs enfouient dans sa mémoire, une rage froide illumina son regard et il commença à entonner un vieux chant de guerre nain.

Bientôt il pu apercevoir les visages de ceux qui défendaient l'arrière du convoi. Ils seraient bientôt en relative sécurité et pourraient opérer un repli stratégique pour trouver un meilleur endroit où se défendre.

Laconfir était en danger, ne maîtrisant pas l'art du combat comme ses compères, il décida de reculer encore et de lancer un sort.
Il commença à focaliser les énergies aethyriques, l'azyr était présent aujourd'hui... Il concentra les énergies sous forme d'orbe entre ses mains, le vent commença à souffler et les combattants se demandèrent ce qui se passait..

Il prononça alors la formule en Magick, une langue compréhensible seulement par les mages, alors, il lança l'orbe devant lui et une tornade se forma, assez large pour remplir la route mais pas assez haute pour bloquer les flèches.

Laconfir se sentait satisfait, il avait réussit à l'invoquer et ce sans tomber dans les pommes, c'était rare.

Alors il se tourna et dit aux personnes qui pouvaient l'entendre:
- Vite, à l'arrière, retour aux charriots, cette diversion ne tiendra pas une minute.

Alors il commença à courir vers les chariots, évitant de peu les projectiles autour de lui, il y était presque....

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Milieu du Convoi
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Le Repurgateur décharga ses armes afin de couvrir ceux qui battaient en retraite.
Plus de poudre. Jura t-il.
Ses balles néanmoins avaient fait des ravages parmis les rangs du désordre tellements ils étaient rapprochés.

_RETRAITE ! Hurla t-il aux courageux Nains qui se postaient encore pres à recevoir la charge destructrice.

_MONTRONS LEURS ! Dit-il simplement en laissant tomber ses deux armes et en saisissant sa fine épée elfique.

Neraik avait reçu quelques fleches de la part de l'elfette et commencer a avoir de sérieuses envies de meurtre de brindille qui tire des flèches...

Alors qu'il arrivait tant bien que mal a s'avancer pour frapper la petite créature, Tyrork se mit a brailler du haut d'un chariot...

Neraik arrivait maintenant au corps a corps et, alors qu'il se préparais a frapper son adversaire, Tyrork lui cria de le rejoindre et il dû a regret arreter son geste violent pour rejoindre le Boss du Klan !

"Tyrork tu m'zénerve a m'empecher d'découper d'l'elfe, ya interet k'la baston soit fun d'vant !"

En courrant, il enlevais les fleches qui avaient traversé son armure et son cuir sans vraiment ressentir de douleur tant il était absorbé par les combats...

Borgir restait calme malgré l'imposante carure de Kronor...
Il pointa son pistolet et fit rugir le tonnerre de "Clair de Lune".
Une balle partit en direction de Kronor.
Maintenant , il s'attendait à encaisser la puissante charge de l'Elu.
Il regardait Kronor droit dans les yeux affrontant la fureur de son Dieu à travers lui.
"Viens Kronor , viens affronter ton jugement , lui hurla-t-il"

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Flanc gauche du convois et au centre de ce dernier.
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Acculée aux débris d’un chariot, Alana observa la lente et inexorable progression de son ennemi. Tout perclus de traits qu’il était le peau verte s’acharnait à avancer, ne semblant pas ressentir la moindre douleur.
Sortant sa dernière flèche de son carquois l’elfe mit en joue son ennemi une ultime fois et de nouveau l’orc leva son bouclier prêt a cueillir le projectile inoffensif.
De désespoir l’elfe abaissa son arme sans même prendre la peine de tirer puis laissa sa main glisser vers la garde de son épée mais même le contact rugueux de sa garde ne parvint pas a la réconforter.
Elle tira la lame du fourreau d’un geste vif espérant tirer un quelconque courage du murmure glacial de l’acier frottant le cuir.
Prête a livrée son dernier combat la guerrière fantôme releva les yeux vers le monstre lui faisant face.
Quel ne fut pas son étonnement lorsqu’elle le vit lui tournant le dos s’enfuyant, semblant chercher refuge vers les siens.

Alana poussa un long soupir puis prit le temps de contempler la bataille faisant rage autour d’elle. Partout il n’y avait que massacre, sang et pleurs. L’ennemi était en tout endroit, submergeant les lignes des défenseurs de par leur nombre.
Enfin a travers le chaos omniprésent elle aperçu ce qui lui sembla être le salut.
Sigmaris chevauchant son magnifique destrier, dont la blancheur habituelle contrastait violemment avec l’écarlate le recouvrant, croisait le fer avec un orc colossal. Elle rendait coups sur coups aux assauts de la créature et cela sans jamais que son bras ne faiblisse.

SIGMARIIIIIS !!!!! Hurla Alana complètement désespérée.

Tournant la tête la cavalière aperçut son amie, elle rompit alors le combat non sans prendre le temps de tenter une dernière fois de pourfendre son ennemi.
Poussant sa monture dans un galop effréné la noble fendit la foule compact jusqu'à enfin atteindre l’elfe en détresse a laquelle elle tendit la main.

Jetant sa lame, Alana s’élança vers cette main tendue, la saisissant avidement elle l’utilisa pour se hisser derrière la mercenaire. Assurant tant bien que mal son équilibre elle passa ses bras autour de la taille de Sigmaris puis se pencha vers son visage.

Mon preux chevalier… Lui murmura t’elle d’une voix langoureuse tout en éffleurant tendrement la joue de la guerrière par delà la visiére relevé de son casque.

(HRP : fait avec l'accord de sigmaris pour ce qui est de l'utilisation de son personnage)

Tzoing !

Une balle ricocha sur le casque de Kronor, laissant une marque de rayure convaincante.

_Qu'est ce que.... raaaahhh !

Il parvint tant bien que mal à la hauteur de Borgir Darkmoon, après avoir frappé deux défenseurs de la caravane.

Il envoya sa masse-lame vers Borgir en coup d'estoc et comme pour resserrer l'étau, frappa en coup droit avec Kurst, sa lame magique.

[HRP Rien de particulier dans ce sujet HRP]

L'écuyer était entré dans une furie meurtrière. Le sang, la puanteur de la mort et les râles à ses oreilles bourdonnantes lui faisaient battre son coeur à un rythme démoniaque. Il frappait avec violence les ombres qui passaient autour de lui, en voyant les autres soldats tomber comme des gerbes de blé fauchées, balayées. Les silhouettes passaient, innombrables, et il n'avait pas mal, et il n'était pas blessé.
Personne ne semblait l'attaquer.
Martin se sentit comme un fantôme, à frapper dans le vide, et il ne cessait plus de reculer, cherchant un camarade, quelqu'un vers qui se tourner, mais à chaque fois les chaos de la bataille l'isolaient. Sa vue trouble lui faisait voir des spectres noirs déchirés qui hurlaient autour de lui, aux entrechocs sinistres des tranchants.

"Dangorn !"

L'écuyer ne pensait même plus à la hiérarchie, et ne se souvenait plus qu'il disait d'habitude "monseigneur". Avoir abandonné le chevalier lui était douloureux, mais se sentir abandonné au milieu d'une bataille, sans pouvoir arrêter le flot des ennemis, sans savoir seulement quoi faire, sans entendre la voix des autres, lui était insupportable.

"Dangorn !"

Son cri se brisait au milieu de la gorge, à cause de la fatigue et de l'enrouement dû au combat. Il lui restait juste la force de frapper, appliquant des gestes répétés encore et encore dans autant de batailles. Des corps tombaient, ils ne savaient pas lesquels, des contours sombres qui l'assaillaient.

Dangorn de Castagne ramassa discrètement son épée et rampa pour se mettre à l'abri des arbres et des fourrés. Cela lui prit un certain temps, car il ne voulait pas se faire remarquer des ennemis qui heureusement étaient tournés vers les défenseurs du convoi qui s'éloignaient.

Il faisait le mort, puis quand il voyait que la voie était libre, il rampait un peu plus à couvert.

Il finit par atteindre l'ombre et la relative protection des fougères et buissons. Quelle ne fut pas sa surprise quand il vit que sa monture, Patapon, l'attendait sagement en broutant des feuilles de genévrier. Le destrier s'approcha du chevalier qui avançait difficilement à quatre pattes, et se baissa pour laisser son maître blessé monter sur son dos. Après un effort qui lui arracha quelques grimaces de douleur il parvint à se hisser sur la selle, le dos courbé par l'épuisement.

- Merci mon ami. Allons retrouver les autres.

Patapon se redressa, et Dangorn le dirigea à travers les bois, à bonne distance de la route pour ne pas se faire voir. Il passa ses doigts sur sa joue, et sentit les deux entailles qui suintaient encore un peu.

- J'espère que nous arriverons à rattraper le convoi, se dit-il pour lui-même.

Borgir ne put que constater l'incroyable force de son adversaire...
Il devrait jouer sur l'intelligence pour le vaincre.
Les deux puissantes attaques de Kronor l'avaient obligé à parer de toute ses forces.
Il luttait pour se préserver des coups de son adversaire...
Il se dégagea de l'étau de l'Elu et tenta de l'atteindre avec son épée , il lanca un coup de toute ses forces entre l'épaule et la nuque de Kronor , là où son armure avait une faille."Meurt démon !!"

Châtiment qui voyait les combats se rapprocher de l’arrière garde se dit à cet instant que les chariots étaient tous perdus ou presque.
Sur l’un de ceux-ci elle voyait un ork massif qui tenait une bannière à la main et hurlait dans sont langage primitif.
Rangeant ses pistolets dans les holsters qu’elle portait sur la poitrine la jeune fille fouillât dans sa besace et en sortit deux fioles pleines d’un liquide poisseux, prenant son élan elle jeta celles-ci dans les deux chariots les plus loin vers l’avant. Les deux récipients éclatèrent tous deux répandant leur contenu sur les toiles et le bois des deux attelages.
Elle récupéra alors deux torches qu‘elle enflamma à l’aide de son briquet, puis les lança à la suite des flasques.

Au moins vous n’aurez pas de butin criât-elle à l’adresse de tous les ennemis à portée de voix.

Récupérant ses armes à feu, Châtiment se dirigeât vers les combats pour prêter mains forte à ses compagnons se repliant vers l’arrière du convoi.

Quand cesseras tu me taquiner ? C'est comme cela que l'on remercit son sauveur chez les elfes

Sigmaris pressa ses molets contre les flancs de sa jument qui partie au petit trop. Elles passèrent par la fôret pour éviter le gros des troupes ennemie car bien que dense, n'interdisait pas les déplacements à condition que ceux là ce fassent à allure réduite

La prochaine fois Alana, j'aimerais que tu sois plus gentille avec ton chevalier servant. J'ai quand même traversée trois royaume, combattue des armées entière et des dragons à cinquante têtes pour venir liberer la jeune et jolie princesse que tu es. Donc une fois une chateau, tu iras me faire à manger et te mettre dans de bonne condition pour me faire un héritier mal, est ce clair ?

Eh bien, dame Sigmaris ?
Me mettre en condition… Hum, souhaiteriez vous que je me transforme en homme histoire de vous donnez ce petit garçon que vous auriez tant voulu être ?

Oh oui tu as raison, j'aurais tellement voulu être couvert de poil, j'aurai tellement voulue perdre mes cheveux à quarante ans, j'aurais tellement aimée avoir un penchant naturel pour l'alcool, ah oui et enfin j'aurai tellement souhaitée que mon esprit soit dirigé par des pulsions primitives. Oui je pense que tu as raison, je ne suis qu'une vilaine jalouse. Sigmaris sourit en prononçant ces mots, mais l'elfe ne pu le voir

"Kazukan Kazakit Ha ! Kazuk ! Kazuk ! Kazuk !"

Drugni faisait danser son arme, l'abattant sur ses ennemis les plus proches. Chacun de ses coups était ponctué par un cri de fureur. Pris d'un accès de rage le vieux nain se jeta à corps perdu dans les combats.

Un orque noir lui fit face, son imposante carrure écrasante celle du nain. Ce monstre de muscle donna un premier coup de kikoup que Drugni para avec son arme. Le regard des deux guerriers se croisa l'espace d'un instant. La fureur illuminait les yeux du vieux capitaine.

L'orque frappa encore et encore obligeant Drugni a parer chacun de ses coups de "boutoir". Le vieux nain profita d'un instant d'inattention pour passer une de ses bottes mais il avait à faire à un adversaire rusé, l'orque para son attaqua et lui donna en réponse un violent coup de pied dans l'estomac.

Drugni s'écroula alors à terre, crachant du sang. En se relevant il lança un regard plein de hargne à son adversaire, ce dernier poussa quelques grognements.

A ce moment Drugni chargea en hurlant un juron en Khazalid. Pris par surprise le peau verte leva son bouclier mais un coup de marteau le fit voler en éclat. Profitant de cette occasion il dessina un arc de cercle avec son arme qui se logea en plein dans le crâne du monstre vert. Mort sur le coup l'orque s'affaissa et tomba à terre.

Soudain Drugni sentit des picotements remonter le long de son dos jusque dans sa nuque, les poils de sa barbes s'hérissèrent. Laconfir non loin de lui usait de la magie. Une tornade se matérialisa en plein au coeur des combats laissant le passage libre.

"Harkon ! Par ici !" Hurla Drugni à l'attention du chef de l'Aube Eternelle non loin de là.

"Kyssard sonnait par la force de l'orc ne dut la survie de ses dents qu'à son masque qui se trouvait fissurer par la force de l'impact .il se retrouva sonner près de deux défenseurs de la caravane, son chapeau n'ornait plus sa tête laissant voir les trois sangles qui fixait son masque sur son visage et sa chevelure noire "

Se relevant difficilement il se résolu à retrouver son adversaire pour l'achever.

Kyssard encore fébrile sur ses jambes marchait droit vers l'avant du convoi avant que les deux hommes ne le stoppe

Messire l'ordre de retraite a été envoyer, nous devons nous replier a l'arrière !

"Kyssard n'avais comprit que un mot sur deux des paroles de l homme et continuai à avancer "

Retraite !............... non pas de retraite pour les repurgateurs .............


" Kyssard manque de tomber, se rattrapant sur sa lame de justesse "

Messire vous n'êtes plus en état de vous battre vous aller vous faire tuer insista l'homme

"Kyssard tentant de retrouver ses esprits "

Alors qu’il en soit ainsi !

" Sur ces paroles les deux hommes prirent une décision unilatérale et Kyssard reçut un coup du droit dans son masque avant de tomber dans les bras du second défenseur "

Allons partons derrière nos lignes vite !

"Cria l'homme qui venait d'assommer Kyssard "

"Kyssard fut transporté derrière les lignes à l'arrière du convoi a demi inconscient ! "


edit : Salutations ami Kyssard, manquerait-t-il des touches à ton clavier ?
En tout les cas tu devais être dans un sérieux état de torpeur lorsque tu as rédigé ce message