[Campagne] Embuscade ! [Terminé]

Le chevalier et sa monture essayaient tant bien que mal d'éviter les projectiles des peaux-vertes. Le caparaçon de Patapon était troué en plusieurs endroits et du sang coulait de ses blessures. Heureusement la protection en mailles et en tissu épais avait fait son office : les flèches n'avaient fait qu'entailler le cuir de l'animal sans pénétrer trop profondément, et les pierres n'avaient laissé que des contusions. Dangorn quant à lui remerciait son armure qui était cabossée en plusieurs endroits où les pierres et les flèches avaient ricoché. Il saignait lui aussi, mais ses blessures étaient superficielles.

Les orques l'attaquaient de toutes part. A l'aide de son épée bâtarde, qu'il tenait comme une arme à une main, son bouclier en main gauche, il s'épuisait à donner des coups dans la masse de peaux-vertes, le poids de son arme écrasait parfois une épaule ou fracassait un bouclier, mais il ne pouvait pas donner de coups précis ni rapides. La plupart du temps ses attaques étaient parées ou esquivées, il ne pouvait pas vaincre tout seul la horde qui l'assaillait.

Heureusement Martin arriva à la rescousse, droit devant lui.

"Martin ! J'ai vu Boris tomber, et aucun signe de Dimitri !"

Voyant la mine déconfite de Martin, il compris que Vassily avait subi un sort comparable.

"Par la Dame ! Attention derrière toi !"

Au dernier moment, il vit le gobelin qui visait le dos de Martin avec son arc, à une vingtaine de pieds de là, sur le bord de la route. Dangorn éperonna les flancs de son destrier pour croiser la trajectoire de la flèche au moment où elle partit. Il eut juste le temps de lever son bouclier devant la tête de Martin et la flèche vint se planter dans l'écu.

Dangorn grimaça. La pointe avait jailli à travers le bois et lui avait un peu percé l'avant-bras à travers la manche de sa chemise de mailles.

"Mon brave escuyer, rejoignons prestement le convoi !"

Il fit faire demi-tour à sa monture sous les coups de Kikoup' qui arrachaient des éclats de bois à son écu et cabossaient ses jambières. Patapon donna de furieux coups de sabots devant lui pour dégager le passage. Un gobelin reçut un sabot ferré en pleine face, son crâne craqua et sa cervelle minuscule ressortit par ses oreilles.

Les deux bretonniens rebroussèrent chemin au galop vers les chariots.



Le Koup'tou avait bondi. Drugnalf Skani fit tournoyer son marteau et se retourna en se décalant sur le côté. L'orque s'écrasa lourdement dans la boue, n'ayant pu modifier sa trajectoire aérienne. Le marteau nain lui éclata la nuque avant qu'il n'ait eu le temps de se relever. Drugni lança à Laconfir :

- Une retraite ? Bien, si ce sont les ordres, alors nous allons nous replier. Fais ce que tu as à faire, fiston ! Je te couvre pendant ce temps.

*********
Milieu du Convoi
*********

"Kyssard regardait a droite et a gauche pour voir l état de la bataille.
Des orques et des hérétiques les attaquaient en masse.

Kyssard fut stopper par un crie venant de sa direction, un maraudeur du chaos le chargea !

Kyssard esquiva de justesse sa lourde pince affuté comme des lames de rasoirs

Se faufilant derrière son adversaire Kyssard le mie en joue.

Quand la créature se retourna la balle du repurgateurs vient se figer dans son épaule.

Le maraudeur regardant sa blessure commença à rire à gorge déployé, aucune douleur ne vient le perturber et il commença même à avancer d un pas assuré en direction de sa prochaine victime.

Kyssard lui attendait sur de lui, l effet de son projectile qui ne mie pas longtemps a fonctionner.

L épaule du maraudeur commençais à fumer se qui provoqua cher lui de grave douleur, puis la chair vient a s enflammer !!

Le maraudeur tapait désespérément sa pince sur les flammes qui sortait de sa blessure, ne comprenant surement pas se qu’il se passait.

Kyssard sourit sous son masque, ses balles était toute refroidit pas de l eau bénit et sa poudre noir mélanger a des cendre des temples de sigmard.
Ses artifices ne provoquait pas d énorme dégâts sur un ennemis mais avait l avantage de le faire souffrir !!

Sortant sa rapière de son fourreau Kyssard fit un moulinet avant de venir percer la gorge du malin de la pointe de sa lame.

Un ruisseau de sang parcourait maintenant sa lame et l adorateur du chaos tomba a genoux devant lui, murmurant des malédiction dans une râle de sang avant de mourir.

Kyssard partie a la recherche d un nouvel adversaire quand il aperçut Hark

Il se mie a sa hauteur et lui donna un coup de revers sur sa cuirasse, lui signifiant qu’il avait un allier sur son coter droit !

Le repurgateurs attendait maintenant d autres hérétiques à juger ! "

Sefhan continuait à fumer sa pipe avec Änndgrim quand soudain un bruit de charge lui fit prendre connaissance que le convoi était belle est bien pris en embuscade. Jetant le tabac restant dans sa pipe et la remettant dans sa poche intérieur Sefhan senti le danger.

"Des orques et hommes du chaos réunis! "
"Par Solkan et Sigmar je savais bien que l'air peser dans le coin!"

Sefhan épaula son arquebuse et tira sur les premiers gobelins qui arrivez de face vers le centre du convoi. Un seul coup suffit pour terrasser un de ses idiots monstre vert, mais la frénésie des orques, gobelins, guerriers du Chaos faisais qu'une deuxième tentative serais impossible.

Sefhan lança son arquebuse dans le chariot ou était accroché sa monture.

Venez salles vermines, je vous attend

Rapière dans une main et dague dans l'autre Sefhan savait que c'était la meilleure solution pour le combat rapproché. Ses pistolets chargés attendraient en dernier recourt.

Au même instant une ombre géante fonda sur Sefhan et lui asséna un coup qui le fit tomber à la renverse la rapière de son père glissa sous la charette.
L'orque qui portait une sorte de bannière commença à parler à Sefhan surpris par le coup puissant reçus.

"t'es z'a moi l'zom, j'vais t'crabouiller"

Sefhan attendit le coup de l'orque pour pivoter au dernier moment et pouvoir ainsi ce redresser, tout en reperant ou était la rapière de son père.

"Tu es trop lent l'affreux..."

*************
Avant du convoi

*************


La bataille à l'avant du convoi faisait rage, les corps des combattants tombés s'aglutinés les uns contre les autres, les hurlements sauvages des Peaux Vertes ce confondaient désormais avec les cris de douleur des soldats blessés. Les troupes de l'ordre se battaient avec vaillance mais les Peaux Vertes étaient trop nombreux et commençaient à submerger leur rangs, tandis que des guerriers du Chaos était parvenu à faire une percée derrière l'avant garde, la privant de toute possibilité de retraite.

Krag observait avec réjouissances les soldats à l'agonie hurler leur désespoir en se trainant au sol comme de vulgaire vers de terre, une douleur à la cuisse lui fit cesser la contemplation du champs de bataille et le ramena à la brutale réalité du combat. Une flêche s'était logée dans sa cuisse gauche, mais le Big Boss, ivre de fureur, la brisa sans sourciller et descendit de la charette pour se joindre à la mélée.

Un Nain se présenta devant lui, bien décidé à ne pas le laisser aller plus loin, il portait une lourde armure de plaques et tenait dans chacune de ces mains un marteau finement ouvragé. L'Orque et le Nain se ruèrent l'un sur l'autre dans le terrible fracas de leurs armures s'entrechoquant, Krag esquiva de justesse un coup de marteau en reculant la tête, puis d'un geste vif il répondit au Nain en abaissant de toutes ces forces son Kikoup sur lui, le Nain ne parvint pas totalement à l'esquiver et l'arme de l'orque lui blessa l'épaule gauche avant de finir sa course dans la terre.

Le Nain hurla de douleur et lacha l'arme qu'il tenait du coté de l'épaule blessée, la douleur était terrible et le simple fait de rester debout était déjà une lutte. Krag l'observa un moment, un sourire sadique aux lèvres, le Nain ne résisterait pas à sa prochaine charge, il pouvait en finir avec lui...

Soudain il écarquilla les yeux avec étonnement, son Kikoup s'était violemment planté dans le sol boueux et il ne parvenait désormais pas à le retirer, le Nain comprit aussitôt la situation en voyant L'Orque tirant comme un fou sur son arme et décida d'en profiter pour fondre sur le Big Boss et l'achever.

Krag n'eut pas eu le temps de retirer son KiKoup du sol qu'un marteau vint sécraser sur son casque, le choc fut terrible et Krag chancela au point de tomber à genou dans la boue, complètement désorienté par le coup qu'il venait de recevoir.

Le guerrier Nain fit quelques pas en arrière et se saisit d'une énorme masse laissée par l'un de ses compagnons mort, le moment d'achever l'Orque était venu et il tenait à être sur de ne lui laisser aucune chance de riposte.

La fureur des combats résonnait dans la tête de Krag et tout semblait flou autour de lui, il parvenait à peine à distinguer son ennemi mais réussit tout de même à voir cette vague forme se saisir d'un objet et avancer vers lui en le tenant bien au dessus de sa tête.

Le Kikoup était toujours planté dans le sol à coté de Krag, la vue lui revenait peu à peu mais le sang qui coulait le long de ses yeux lui brouiller encore la vue, Krag toujours sous le choc tira dans un effort vain sur son arme, elle lui résista encore et le Nain était bientôt assez prêt pour lui adresser le coup de grace.

Le Nain hurla de fureur en levant bien haut sa masse au dessus de la tête de l'Orque, Krag rugit et se saisit d'une pierre au sol avant de frapper d'un geste rapide et dans un ultime effort le visage du Nain, la violence du coup fut terrible et le Nain tomba à la renverse, Krag lui sauta dessus et lui frappa rageusement la figure, bientôt déformé sous les coups de l'Orque.

Krag continuait à frapper comme un fou le corps inerte du Nain qui baignait dsormais dans une mare de sang et de boue mêlée, au fur et à mesure que Krag pouvait laisser libre cours à sa sauvagerie sanguinaire, il sentait ses forces lui revenir et sa vue se stabiliser.

Le Big Boss Orque se releva et cracha sur l'amas de métal sanguinolent qu'il avait laissé derrière lui avant de se jeter de nouveau dans la mêlée.

Neraik avait remarqué dans le flou de la bataille une elfe qui semblais se débrouiller mieux que les autres membre de la caravane...
Mais, alors qu'il s'en approchait pour lui faire manger ses oreilles et son arc, Korgoth s'était rué sur elle et elle était a présent au sol.

Son sang ne fit qu'un tour, comment un Orc qui n'est meme pas encore vraiment du klan avait pu lui piquer son elfe !
Il charga sur le Koup'tou alors que celui ci aller donner un coup fatal a la créature a ses pieds. D'un coup de bouclier violent et renforcé par la charge, Neraik dévia le kikoup, et envoya un bon gros coup dans la machoire de Korgoth !

"S'pece de voleur de n'elfe ! Laisse moi lui frakasser la tête !"

/hrp désolé Korgoth de t'aggresser comme sa mais je m'était mis d'accord a Alana pour l'affronter :p

Korgoth, ahuri par ce qui venait de se produire, mais néanmoins passablement enervé, se releva, une main à la mâchoire, puis décocha un gros coup de poing dans la face verte de Neraik.

"ah oué! té sur cé ki l'voleur?"

il abandonna ses kikoups au sol, pour mettre une terme à ce conflit, comme un orque.

"Alor kom ça on m'empêch' de tué un n'elf hein...tu va voir c'ke j'vé t'met' sal' gobbo!"

Hrp / Vive les alléas de l'animosité ^^

Il fallut plusieurs instants à Kronor pour recouvrer ses esprits. Sa tête lui faisait un mal de nain. Il comprit alors quasi instantanément la manière selon laquelle il avait sous-estimé Änndgrim.

_Grmblmgrblm.... Il fait mal cet enfoiré.

Il lança des regards frénétiques partout pour récupérer sa masse-lame. Il la vit près de lui contre le charriot le plus proche à la roue brisée. Il se releva péniblement et tentant de se remettre en garde rapidement, il ne pouvait pas mourir ici.

"Kronor , viens me voir moi !
Je vais te régler ton compte , et t'envoyer droit chez ton Dieu !
Viendras-tu? "

Il tourna lentement la tête vers l'homme qui l'avait appelé. Sa silhouette, son regard, sa carrure.... Il était loin vers l'avant du convoi et malgré les maraudeurs qui le masquaient de temps à autre il le reconnut aussitôt.

C'était Borgir Darkmoon

_Toi !!!!!!!!!!!!!!

Il empoigna ses deux armes et chargea l'homme avant de s'entraver dans les débris au sol et son pas chancelant l'emmena heurter de plein fouet l'arbre proche. Il était encore sous le coup d'Änndgrim, hébété et étourdi.

_Ce nain payera... chaque chose en son temps...

Il du attendre quelques secondes en s'appuyant contre le tronc d'arbre pour retrouver la quasi totalité de ses esprits puis chargea à nouveau, plus franchement cette fois.

_Toi ! je vais t'écraser !!!!!!!!!!!! Il leva ses armes, près à frapper alors que Borgir Darkmoon s'approchait.

Le cheval de Martin fit une dernière embardée avant de s'effondrer, vaincu par ses blessures. Contrairement au destrier de Dangorn, le cheval de l'écuyer ne portait aucun caparaçon. Jeté à terre, l'écuyer heureusement se trouvait à quelques mètres seulement de l'avant-garde et la mêlée, confuse, lui permit de se relever.
Un kikoup' frappa son dos, le jetant à genoux, mais son bouclier le protégea du tranchant. Martin se releva, l'épée en main, pour se rendre compte que l'adversaire venait de mourir, une lance dans le ventre. Désormais, il n'était plus seul.

Le chevalier avait dû rejoindre les cavaliers du convoi, et à pied l'écuyer ne pouvait plus le rejoindre. Le chaos autour de lui s'intensifiait, les troupes alliées pliant dans un carnage destructeur. Le sang giclait, les corps tombaient, bientôt le fracas du fer devint assourdissant.
L'écuyer para, blessa à la jambe un orque avant de reculer, dos à un autre épéiste. Chaque ombre qui passait pouvait le tuer, et Martin ne se sentait pas à l'abri dans sa cotte de mailles. Pourtant tous les ennemis passaient, comme s'ils ne s'intéressaient pas à lui, et Martin frappait avec fureur sans cesser de reculer, le coeur battant, comptant les secondes qu'il gagnait sur sa mort.

Enfin une figure se montra, petite pourtant mais qui éclaira la face de l'écuyer. Il venait d'apercevoir Drugnalf Skani, le Capitaine des mercenaires, et cette simple présence lui redonna du courage. En peu de temps, il avait rejoint la troupe qui faisait corps avec les officiers, aux côtés des mercenaires survivants de l'avant-garde.
Ils reculaient, incapables de soutenir la pression des assaillants. Derrière eux, les hommes de l'avant-garde ne voyaient plus le convoi, juste des ennemis qui emplissaient la route. S'ils ne réussissaient pas à se dégager, tout était perdu pour eux.

*Ouf ! L'avant-garde !* se dit Dangorn de Castagne, arrêtant sa monture au milieu de ses confrères mercenaires.

- La Dame du Lac s'est montrée clémente envers nous Mar... Martin ?

Mais il se rendit compte que son écuyer n'était plus à ses côtés. Il enleva son heaume qui réduisait son champ de vision, pour mieux observer la bataille et repérer son serf. Ses cheveux blancs étaient collés sur son front et ses tempes à cause de la sueur.

- Martin ! MARTIN !?!

Il se rendit compte également qu'il n'avait plus fait attention à Kenethil depuis l'attaque. L'elfe avait dû sauter à terre pour se défendre, à partir de ce moment Dangorn avait été trop occupé à sauver sa propre peau et Kenethil était sorti de son esprit. Il s'en voulait de l'avoir laissé derrière. Et maintenant il s'inquiétait pour Martin.

Enfin Martin réapparut, sans son cheval, et vint se positionner dans le groupe. Les mercenaires du Reikland essayaient désespérément de revenir vers les chariots, qui étaient séparés d'eux par une masse grouillante d'ennemis.

Krasstek envoyait flèches sur flèches, ne faisant pas de réels efforts pour viser juste mais mettait un maximum de force à chaque tir. Il y avait tellement d'ennemie dans la mêlée que la plupart de ses flèches tombaient juste, blessant si ce n'est pas tuant à chaque fois. Tout a coup, il entendit un bruit qui lui était familier, une sorte de fracassement, ou plutôt, une sorte d'écrasement. Il se retourna et vit les trois gobelins qui l'accompagnaient, au sol, le corps transpercés de toutes parts. Il sentit brusquement une vive douleur à l'épaule, lui faisant perdre l'équilibre et qui le fit tomber, à son tour, de l'arbre. Il mit sa main sur son épaule et compris que lui aussi avait reçu une flèche. Il se traîna dans un buisson, à l’abri, et cassa la flèche.

-Ahhhh ! Kesk k’ca fait mal, sal’té d’zom, j’vais vou fér rôtir kan ça s’ra fini.

Il mit la main à son sac, sorti quelques champignons et les mangea.

-Groblok ! Viens la sal’bete ! J’ai b’soin d’toi !!

Il prit alors une feuille de chêne qu’il gardait soigneusement dans son sac, la mit devant ses lèvres et souffla aussi fort qu’il pouvait.
Groblok qui n’était pas bien loin, mangeait tranquillement du nabot et faisait abstraction de tout ce qui l’entourait. Il entendit alors un sifflement, un sifflement qu’il pourrait reconnaitre parmi des milliers d’autres, et se dirigea sans plus attendre vers son maître.

-ahhh, te v’la. K’esse tu f’sait hein ? Jamais la kan t’il le faut. Tiens, sent moâ ça.

Krasstek donna alors le bout de la flèche à sentir au squig, qui la renifla de bout en bout, et commença à frétiller de la queue. Son maître lui donna alors quelques champignons, et lui tapota deux fois la tête. Groblok fit alors un énorme saut vers le champ de bataille, se dirigeant à l’odorat, et se ruait sur sa cible. Il ne prêtait guère attention aux autres « potentielles viandes fraiches bonnes à croquer », les esquivant une à une, par petit saut ou par petit pas de coté. C’est alors qu’il reconnu sa proie, un archer humain, qui était caché derrière un des chariots du convoi. Il augmenta alors sa vitesse de course afin de prendre un bon élan, et sauta à la gorge de l’homme. Ce dernier, l’ayant vu arrivé de justesse, réussit à se protéger du bras. La douleur lui était insupportable, il criait de toute son âme, tout en se débattant, donnant des coups au squig, mais rien n'y fait, les crocs du squig ne cessaient de s’enfoncer dans la chair et atteignaient l’os.
Krasstek, qui était caché dans son buisson, commençait à sentir l'effet des champignons, la douleur s'estompait petit à petit. Il suivait du regard la course du squig et lorsqu’il vit celui-ci sauté sur l'humain, compris qu'il trouva son agresseur. Il leva alors son arc, prit tout son temps pour viser juste tout en donnant un maximum de puissance, et décocha sa flèche. L’homme tomba au sol, touché à la hanche et sentit que ses forces le quittaient. Le squig en profita pour lâcher son bras et l’acheva en lui brisant la nuque d’un coup de mâchoire.

-Ça s't'un bon Groblok ça, t'merite k'jte foute pas d'koup d'la soirée ça§

Nuro remonter le convois calmement, tel la mouette qui se laisse porter par le vent, tirant fléche sur fléche, ces principales cibles était les gobelins.

A quelques metres de lui, un orque en armure avait enfoncés quelques jeunes soldat Kislévites, il s'appretait a en achever un qui se trouvait au sol, quand l'elfe dégaina une courte épée qu'il lui planta dans la cuisse avant de la faire glisser contre sa nuque, lui otant la vie.
Il saisis ensuite la main du soldat et le releva.

"Tenez votre position quand nous devrons nous replier, de votre courage dépends la vie d'une grande partie du convoi."

Cherchant autour de lui l'elfe aperçus un visage qui lui étais familier, Hardedge le jeune mage étais rester la tétaniser depuis la charge de ses stupides créatures.

"Hardedge, prépare toi a faire bruler les chariots du convois, qu'ils ne tombent en mains ennemis."

Neraik était surpris de voir Korgoth lacher ses armes et garda les siennes bien en main, il envoya un coup de bouclier dans l'orc, ce qui le fit reculer de quelques pas et le sonna un peu (il n'avait pas pu esquiver car il était persuadé que neraik lacherais ses armes avant de tapper)...

Puis l'orc noi (Neraik) se retourna vers l'elfe qui avait profité de cette "incident" pour se relever et s'éloigner un peu.

"RAAAAH! ratrap' la avant k'el' se kass'! Espèss' d'Imbécil'!"

Korgoth eu à peine le temps d'hurler ses mots que Neraik cherchait déjà à rattraper l'elfe pour l'achever.
Finalement ,il ne pourrait pas manger une belle gambette rose.
tant bien que mal , Le koup'tou ramassa ses kikoups, jurant qu'il mettrait une bonne raclée à Neraik la prochaine fois, dans la fosse à kombat du klan.

Il fit alors volte-face, pour empêcher quiconque tenterait de s'opposer à la mort de ce sale elfe.

(Bon j'ai lu ce qui a été écrit depuis mon dernier message, si j'ai commis une erreure n'hésitez pas à me le signaler )



Drugni essuya d'un revers de son gant le sang sur sa barbe. Une balafre de plus venait orner son visage, juste sur l'arrête de son nez. Son adversaire quand à lui gisait mort sur le chemin, ses fluides corporels commençant à se répandre.

Le vieux nain n'avait pas cessé de motiver ses troupes, ordonnant qu'elles serrent les rangs. Et bien qu'à ce moment le cours de la bataille était encore indécis ces hommes semblaient ne pas flancher devant la violence de l'assaut.

Il y eut alors un instant de flottement et une voix brisa toute cette cacophonie ambiante. C'était Laconfir, le jeune mage céleste. Drugni dû prendre quelques instants pour se concentrer sur ce que disait le jeune homme.

Un replis stratégique, mais par où? Il scruta les alentours et ne vit que chaos et tumulte. La bataille faisait rage dans tout le convoi. Il ne semblait pas y avoir d'issu.

"Harkon ! Beugla le capitaine des mercenaires du Reikland à son homologue de l'Aube Eternelle. Trouvons une meilleure position pour combattre ! Faites passer l'ordre dans l'convoi que nos hommes s'préparent !"

Puis Drugni se tourna à nouveau vers Laconfir.

"Gamin tu n'agiras que quand je t'en donnerai l'ordre !"

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L'Avant du convoi
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Harkon entendit le mercenaire et répéta les nouveaux ordres

"Par là !! Amène tes soldats !!"

Le nain montrait l'arrière du convoi, qui était certe dans la bataille, mais les ennemis y étaient moins nombreux.

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Avant du convoi
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La bataille durée déjà depuis un moment, depuis trop longtemps à son gout, si les Orcs n'avaient pas chargés trop tôt, les Impériaux seraient déjà tous morts. Les rangs ennemie faiblisses, leur réserve d'hommes se trouvé dangereusement bas, mais des cavaliers et autre renforts arrivés de l'arrière du convoi. Il n'y a donc personne là-bas pour les retenir ? Il se battait désormais au coter d'Ademor, de Kalhos et du sorciers Garek. Il leurs cria:

"Ces lâches tentes certainement une pressés pour sauver un maximum de leurs Hommes, et se replier par la suite il n'y a personne à l'arrière"

Ses trois compagnons du chaos acquiescer tout en continuant de trancher, paré et de lancer des sorts terribles. Puis Linnavouable leur proposa

"Si nous engageons leurs officiers nous devrions casser leur chaine de commandement et désorganiser leurs retra... "

Il n'eu pas le temps de finir sa phrase qu'une énorme épée trancha la poitrine du guerrier devant lui, le faisant décoller et percuté Linnavouable.
Se relevant, il appercu la cause de tout ceci un destrier surmonté d'un cavalier en armures complète. Il fit demi-tour et se prépara à une nouvelle charge.
L'élu lui se présenta devant lui, la bataille dans son dos. Tasser derrière son bouclier il attendit le dernier moment pour bouger, puis il s'accroupi et d'un bond percuta le cavalier, Mauldred partie en arrier et s'étala lamentablement part terre.

"Je suis Linnavouable, tu est à moi" dit il pour tout le monde

(Désoler pour les fautes pas le temps de corriger)

Änndgrim monta sur la charette avec l'aide de Sehfan et de kyssard et cria:
Rassemblez-vous!!!!!
Il faut tenter de repousser les ennemis vers l'avant du convoi et créer une ligne de défense, ça permettra à ceux qui sont devant de se replier.

Änndgrim sauta de la charette puis s'adressant aux répurgateurs:

Il faut se débarasser des ennemis à l'arrière et au milieu du convoi, cela permettra aux troupes de se rassembler.

Il va falloir faire plus vite, si vous ne vous dépêchez pas,vous allez être anéantis. Ce n'est plus le moment de défendre, il faut attaquer. Faites une percée vers notre arrière garde et vous serez en sécurité. Faites vite, on se rejoint là bas.

Sigmaris éperonna sa monture et partie au galop suivit des huit kislevites.
Elle remonta la bataille, esquivant les adversaires autant de faire se peut.
Mais lorsqu'elle arriva au milieu du convoi elle vit son amie confrontée à deux orques se disputant. Elle la vit disparaitre sous un nuage de fumée.

ALANA cria t'elle. Mais elle n'obtint pas de réponse. Elle ordonna aux
kislevites de poursuivre leur route et chevaucha vers les deux orques. L'un d’eux était parti à la poursuite de la jeune elfe, mais l'autre lui faisait maintenant face.

Sigmaris le chargea, mais l'orques fit un pas de coté pour ne pas se faire
percuter par le destrier recouvert de métal. Sigmaris abattit son épée sur
l'orque, qui la para avec ses deux kikoups.

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Arrière du convoi
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Les troupes à l’arrière du convoi étaient maintenant prêtes à assurer la retraite, le maître des runes s’était arrangé pour que l’on installe un minuscule dispensaire à l’aide de trois chariotes à l’abri du combat pour les blessés qui n’arrêtaient pas de refluer du centre de la bataille. Got choisis trois kislévites bien équipés et armés de haches lourdes.

Toi, toi et toi avec moi! Allons voir ce qui se passe là bas!

Le nain s’élança avec sa « garde rapprochée », chargée de le protéger si jamais il avait à tracer des runes ou se porter au secours de quelqu’un pour le soigner.

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milieu du convoi
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Sur les lieux du carnage l’odeur de cordite et de sang séché était insoutenable, mais la vue était encore le sens le plus mis à l’épreuve, un corps gisait démembré comme si il avait été projeté dans les airs par une force inconnue,à quelques mètres de là des squigs dévoraient la cervelle de ce qui avait du être un représentant de l’espèce humaine, plus loin encore, on voyait un soldat au milieu d’une marée verte hurlant des choses atroces et blasphématoires, entremêlées de pleurs et de vociférations pendant que s’usinait sur lui une dizaine de gobelins le perçant de toute part à coup de pieu de dents et de griffes,bientôt il disparu dans un râle atroce comme un corps noyé dans l’océan.

Le spectacle avait de quoi refroidir le boucher le plus aguerri, cette petite partie de la campagne kislévite n’était plus qu’une gigantesque mare de sang secouée d’une houle de haine et d’atrocités.

Got aperçu soudain de dos, à l’écart de la mêlée, un chevalier en armure avec de splendides cheveux longs couleurs de jais (sigmaris) au prise avec un orc énorme (korgoth). Le maître des runes traça en vitesse un dessin sur le sol, frappa en son centre avec son batôn avant de pointer celui-ci en direction du chevalier. Ce dernier devrait bientôt ressentir les effets bénéfique de la rune de frappe. Got fixa son baton aux sangles placées dans son dos pour se saisir de son marteau runique, il scruta les environs à la recherche d’un adversaire de taille.

Dangorn de Castagne vit des fleurs de lys tourner autour de sa tête, et il lui sembla que le temps s'était ralenti tout d'un coup. Il avait l'impression de voler, mais en fait il se rendit compte qu'il tombait !

Le choc avec le sol fut brutal, d'autant plus que son armure l'alourdissait. Un instant un voile noir passa devant ses yeux. Il lutta pour ne pas s'évanouir. Il avait perdu son heaume.

Se relever lui demanda un effort surhumain, il gémit de douleur car son crâne lui faisait mal. Il tituba pendant que l'Élu du Chaos le regardait d'un air amusé en avançant vers lui, prêt à l'achever.

Dangorn ramassa son épée à deux mains. Il se rendit compte qu'il avait aussi perdu son bouclier. L'Élu avait dit quelque chose qu'il n'avait pas compris.

- Tu veux te battre en duel, sale démon ? Tu es plus honorable que tes alliés. Tu mourras par ma lame, si tel est ton souhait ! POUR CASTAGNE !!!

Levant son arme lourde, il s'élança contre le Tzeentchi.

Tyrork frappait de gauche et de droite, beuglant des ordres au milieu du fouilli de la bataille pour motiver ses troupes plus que pour réellement changer quoi que se soit. Une fois qu'Orkrage, lui même et ses " laskars " qu'il avait choisi pour leur valeur eurent fini de balayer les gardes qui entouraient le premier chariot, ils le retournèrent.

Tyrork donna un grande claque dans le dos d'Orkrage qui l'aida à se propulser sur le ventre du véhicule

Vazy ! Plante la bannière, keske t'attends !

Orkrage planta puissament la bannière, dont la pointe se ficha dans l'épais bois du chariot. Tyrork poussa Orkrage sans ménagement et monta à son tour pour hurler à la ronde

ICI ! Cé pour les KASS KRÂNES, z'êtes tous ke dé lâches é des moviett' ! Y'a PERSONNE ké kap d'me battre !

L'Orque se détachait nettement du reste des combattants, juché comme il était, sa grande taille n'arrangeait pas vraiment les choses et il se fit rapidement prendre pour cible par diverses armes à projectiles. La plupart ricochaient ou ne parvenaient pas à occasioner de réels dégats, le sous-chef Orque semblait lutter contre un essaim d'insectes tout en braillant des défis